Impressions sur les séries du printemps 2011 (3/3)

Près d’un mois et demi après le début des nouveautés de ce printemps 2011 en terme d’anime, voici donc avec un peu de retard la suite et fin de mes quelques impressions hautement subjectives, avec cette fois-ci douze titres.

Une saison qui aura donc au final compté pas moins de 52 nouveautés, ce qui est assez énorme… A noter également que ce sera la toute dernière saison d’anime à être diffusée en analogique étant donné que la télévision japonaise passera au numérique en juillet prochain.

 

NICHIJOU

Cette comédie tranche de vie adaptée d’un 4-koma est la nouvelle série de chez Kyoto Animation pour ce printemps. Malgré le titre, cet anime ne parle pas vraiment de la vie ordinaire de personnages tellement ces derniers sont eux-mêmes loin de l’être. Le tout baigne dans une ambiance assez étrange avec un humour qui l’est tout autant, bien que je trouve justement cet humour beaucoup trop « random » pour que j’arrive à y adhérer une seule seconde. C’est simple, les deux premiers épisodes m’auront laissé de marbre et jamais je ne suis restée aussi perplexe devant un anime censé être drôle.

Assez déçue donc au final, et je n’ai vraiment pas pu dépasser les deux premiers épisodes alors que j’avais prévu d’essayer d’aller au moins jusqu’au quatrième. J’ai pourtant bien aimé le style graphique utilisé (pas au niveau des personnages mais plutôt au niveau des décors), et je trouve ça quand même dommage que Kyoto Animation mette autant de budget dans une série censée être une tranche de vie et qui donc à proprement parler n’a pas spécialement besoin d’avoir une excellente animation…

En tout cas, la série possède un humour trop spécial auquel je n’arrive pas du tout à accrocher : je n’irai donc pas plus loin que les deux premiers épisodes.

 

ASTAROTTE NO OMOCHA !

J’ai longuement hésité avant de regarder le premier épisode de cette série, parce que je savais d’avance que ce n’était pas du tout mon genre d’anime et que je n’allais pas aimer : une série avec une héroïne succube de dix ans, tsundere de son état et doublée par la trop prolifique Kugimiya Rie, et dont le but est de se trouver un humain mâle pour commencer à constituer son harem, ça n’allait pas forcément donner une série qui vole bien haut.

C’était toutefois bien plus soft que ce à quoi je m’attendais malgré l’humour un peu WTF, mais ça reste dans le fond du vu et revu franchement pas très original. Cet anime-là ne fait visiblement tellement rien pour se démarquer qu’il sera certainement très vite oublié d’ici quelques semaines. Bref, une série qui ne se regarde visiblement que pour son casting de doubleurs. A oublier, à moins d’aimer les lolis tsundere plates doublées par Kugimiya.

 

AO NO EXORCIST

Ao no Exorcist fait partie de ces séries que je n’attendais absolument pas au tournant et qui au final s’est avérée être une bonne surprise. Cette histoire d’un garçon de 15 ans qui apprend être le fils de Satan et décide de devenir exorciste pour botter les fesses de ce dernier, le tout sous fond d’affrontements entre humains et démons, ça aurait pu donner un bête shônen comme tant d’autres. Heureusement ça n’a pas l’air pour le moment d’être le cas, d’autant plus que la très bonne réalisation permet quand même de placer cette série dans le haut du panier des titres de ce printemps, certains décors étant vraiment magnifiques.

Aux commandes de l’anime on retrouve même Okamura, le réalisateur de Darker than Black et Wolf’s Rain, qui arrive je trouve à rendre la série plus intéressante que sa version papier (d’ailleurs sortie en France chez Kaze sous le titre Blue Exorcist) avec toutefois quelques petits changements au passage. En tout cas je trouve que cet anime est un bon divertissement avec tout ce qu’il faut comme dose d’action, de mystère et de comédie, sans être non plus le chef-d’œuvre de l’année, loin de là.

 

DEADMAN WONDERLAND

Ça va être un peu difficile de parler de mes impressions sur Deadman Wonderland… Tout d’abord, au vu des premières images et du synopsis, je m’attendais à quelque chose de plus « adulte » : un jeune garçon, Ganta, atterrit dans une prison qui fait aussi office de parc d’attraction après avoir été accusé à tort du meurtre de ses camarades de classe, et y rencontre une mystérieuse jeune fille albinos appelée Shiro, qui semble le connaitre.

En fait j’ai trouvé que l’on avait plutôt droit ici à un shônen tout ce qu’il y a de plus bateau et pas très original, mais avec une bonne dose supplémentaire de sang et de scènes gores très souvent gratuites (et censurées de partout) pour faire croire justement à une œuvre mature, alors qu’en fait non… Même Ganta est un pur héros de shônen, rien qu’avec sa volonté de fer et sa détermination, même si je le trouve assez irritant et tête à claques.

Pour le reste, de nombreux trucs m’ont fait tiquer, comme par exemple le fait que tous les personnages semblent se ficher complètement de la présence de Shiro ou encore que les parents et même la famille du héros ne soient mentionnés nulle part (ils étaient où pendant le procès du héros ?), à moins que je n’ai raté un truc. En tout cas, j’imagine et j’espère que le manga (sorti en France chez Kana) est quand même supérieur à la version anime, parce que pour le moment je ne sais pas trop quoi penser de cette adaptation de la part du studio Manglobe.

VERDICT : pour le moment je regarde tout car cela m’intrigue quand même, mais le fait qu’il n’y aura que douze épisodes me fait un peu peur pour le scénario.

 

DENPA ONNA TO SEISHUN OTOKO

Cet anime est la dernière nouveauté du studio Shaft de ce printemps aux côtés de la saison 2 de Maria Holic, se basant sur un light novel qui raconte l’histoire d’un lycéen qui se retrouve à vivre chez sa tante, cette dernière ayant une étrange fille, Erio, qui se dit être une extra-terrestre. Bizarrement l’histoire m’aura un peu rappelée Arakawa Under the Bridge à cause de l’héroïne qui prétend venir d’une autre planète, mais les ressemblances s’arrêtent là ; la série est une légère comédie avec toutefois des moments sérieux qui tend un peu trop à se focaliser sur la mystérieuse Erio et son côté plutôt adorable.

Je ne suis en tout cas vraiment pas fan de cet anime mais ça se laisse regarder, cependant lorsque je me suis rendue compte qu’au bout de quatre épisodes qu’il ne s’était quasiment rien passé et que ce que j’en ai retiré c’était une grosse impression de vide, ça m’a un peu attristée. Ceci dit j’ai quand même bien aimé le personnage de Meme, la tante du héros, mais c’est tout.

 

YONDEMASUYO, AZAZEL SAN.

Ayant beaucoup aimé les deux OAD sorties l’an dernier, et lisant également le manga, j’attendais donc pas mal de cette adaptation en série TV de Azazel-san dont le scénario n’a pas bougé d’un pouce, mettant en scène Rinko, l’assistante du détective privé Akutabe qui utilise le pouvoir des sciences occultes pour résoudre ses affaires en invoquant notamment des démons, qui prennent une apparence plutôt inoffensive une fois qu’ils sont dans le monde des humains.

Pour le moment je ne suis pas déçue : c’est toujours aussi stupide et avec un humour qui ne vole pas bien haut, parfois même un peut trash, mais dont je suis fan, étant plus tournée vers ce genre d’humour plus proche d’un Detroit Metal City que d’un Nichijou, pour citer un exemple récent. La série adapte également le manga depuis le début, au contraire des OAD, et on doit de plus la réalisation à Mizushima Tsutomu (Haré+Guu, Punie-chan, Dokuro-chan, Genshiken…), un habitué des séries bien barrées. Dommage toutefois que les épisodes ne durent que 10 minutes chacun.

 

HEN ZEMI

L’été dernier était sortie une OAD basée sur le manga du même nom, et qui m’avait laissé un bien meilleur souvenir de cette adaptation TV, peut-être aussi parce que les thèmes choisis étaient un peu moins vulgaires. Le scénario reste le même, à savoir des étudiants qui participent à une étude sur les comportements humains les plus étranges.

J’ai rien contre l’humour pipi-caca vu que j’aime beaucoup pour cette saison les séries de Enma-kun et Azazel-san, mais là c’est un peu trop avec ces discussions de l’odeur des pets dans son bain, du type qui se pisse dessus durant différentes situations et de la fille qui élève des mouches dans son oreille… Je trouve ça un peu trop de mauvais goût et vulgaire et franchement pas drôle, impossible donc de regarder au-delà des deux premiers épisodes, d’autant plus que je n’accroche pas vraiment aux personnages qui ne m’avaient pas non plus marquée dans l’OAD.

A noter que étrangement pour l’OAD et cette version TV les réalisateurs sont différents, et pour le cas de la série TV on a le droit à la même personne responsable d’un certain Rio Rainbow Gate

 

HIDAN NO ARIA

Une série avec des jeunes filles et des flingues, ce n’est pas un énième ersatz de Noir ou une production Bee-Train mais un pur produit de chez J.C. Staff, basé sur un light novel qui aura également donné naissance à un manga.

Si au départ le premier épisode m’avait un peu surprise, ce n’est qu’à la fin de ce dernier lorsque l’énervante héroïne dit au héros qu’il est son esclave et qu’elle commence à squatter son appartement que le maigre espoir que j’avais envers cette série est parti comme une fumée. Et ce malgré mes efforts pour surmonter le chara-design très générique et le fait que l’héroïne soit une fois de plus une tsundere doublée par Rie Kugimiya.

On a cependant pour une fois dans ce genre de série un semblant d’intrigue sous fond d’élèves qui appartiennent à une école qui forme des détectives armés, et même un héros masculin qui n’est pas le boulet habituel. Mais la série reste dans le fond vraiment peu originale dans son traitement, techniquement assez pauvre et pas vraiment marquante. Et bizarrement, ca m’aura rappelé Shakugan no Shana avec des flingues, mais le fait que ce soit le même réalisateur dans les deux cas n’aide pas non plus…

 

HOSHIZORA E KAKARU HASHI

Kazuma et son petit frère déménagent dans un petit village à la campagne à cause de la santé de ce dernier. En se perdant dans une forêt à la recherche de la casquette de son petit frère dérobée par un singe, Kazuma tombe littéralement sur Ui, l’embrassant accidentellement. Il apprendra qu’elle fréquente le même lycée que lui et, comble du hasard, se trouve dans la même classe.

Cette énième adaptation d’eroge créée par le même studio responsable de Akane-iro ni Somaru Saka n’a rien d’original, et ressemble elle aussi à tant d’anime du même genre créés avant. Mention spéciale au héros, tellement anecdotique et générique que ça en est franchement pitoyable.  On tient donc là un anime harem bateau avec des personnages bateaux et une histoire qui ne s’annonce pas non plus spécialement extraordinaire. Même Hidan no Aria fait figure de chef-d’œuvre par rapport à ce truc que les studios d’animation devraient avoir honte de produire encore en 2011, et dont tout le monde aura oublié l’existence d’ici quelques mois.

Le premier épisode était mauvais à en pleurer, inutile donc de préciser que je ne regarderai jamais la suite.

 

A-CHANNEL

Une comédie tranche de vie adaptée d’un manga de type 4-koma et racontant la vie de tous les jour de quatre jeunes filles, qui sont bel et bien lycéennes malgré ce que pourrait laisser supposer le chara-design.

Au départ je m’attendais à quelque chose du niveau de Mitsudomoe, mais en fait heureusement que non, et j’ai trouvé que cette série était même largement moins pire que ce à quoi je m’étais attendue. Ça reste toutefois un anime qui ne m’intéresse absolument pas, n’étant à la base pas vraiment fan de série dite tranche de vie à quelques exceptions près, et je me suis donc vraiment ennuyée devant d’autant plus que les personnages et les différentes situations ne m’ont fait ni chaud ni froid. Et puis c’est d’un mou…

Ça se laisse regarder, mais il faut vraiment aimer le genre et le style du chara-design, qui personnellement me repousse beaucoup.

 

SOFTENNI

Un anime tiré d’un manga et ayant comme thème le tennis tout en mettant en scène des protagonistes féminins, cela peut donner des trucs très bien comme Ace o Nerae! (Jeu, Set et Match au pays des camemberts), mais ça peut aussi donner un résultat affligeant comme avec ce Softenni. Jouant dans la cour des anime qui lorgnent à la fois du côté de l’humour et de l’ecchi, Softenni a tout de même le mauvais goût de faire de nombreuses références aux œuvres sur lesquelles Osamu Dezaki a travaillé et, par conséquent, à Ace o Nerae! aussi.

Bien que l’on puisse qualifier ces références d’hommage, vu le niveau affligeant de cet anime je ne trouve pas que ce soit du meilleur goût. Au final je n’ai vraiment pas aimé le seul et unique épisode de cet anime que j’ai pu voir, n’ayant pas eu le courage d’oser regarder plus loin.

 

MOSHIDORA

Moshidora, contraction de son titre à rallonge Moshi Kōkō Yakyū no Joshi Manager ga Drucker no Management o Yondara, est un anime tiré d’un light novel à succès qui a connu une diffusion particulière : cet anime a en effet été diffusé tous les jours sauf le week-end pendant deux semaines et il est donc déjà terminé. C’est le seul dans ce billet pour lequel je pourrais me prononcer sur son intégralité parmi les séries de cette saison, mais je vais quand même essayer de rester brève.

L’histoire a donc pour originalité de mettre en scène Minami, une jeune fille qui se retrouve du jour au lendemain le manager du club de base-ball de son école afin de remplacer son amie Yuuki, qui a la santé fragile. Prenant son nouveau poste très au sérieux, elle achète un livre qu’elle croit traiter de la gestion d’un club de base-ball mais qui parle en fait de gestion au niveau commercial : peu importe, étant donné le prix du bouquin en question elle décide donc de le lire et d’essayer de gérer son club de base-ball comme si elle gérait une entreprise, et ce afin de lui faire gagner le championnat national inter-lycées. L’anime aura été agréable à suivre, notamment grâce aux efforts qu’essaye de faire l’héroïne pour faire gagner son équipe.

C’est toutefois l’une de ces nombreuses séries qui, si elle n’est pas extraordinaire en soit et que je ne considère personnellement pas indispensable, se laisse regarder facilement malgré quelques épisodes mous vers le milieu. Un petit vent de fraîcheur parmi les nouveautés de ce printemps, et dont une adaptation en film live va également sortir cet été au Japon.

 

EN VRAC

Voila donc pour les séries de ce printemps, et parmi celles que je n’ai pas regardées il y a beaucoup de titres pour enfants : Danball Senki, un anime produit par Level 5 et servant visiblement de publicité pour leur futur jeu qui devrait sorti en juin. J’image qu’ils espèrent obtenir le même succès qu’avec Inazuma Eleven…

Il y aussi Duel Masters Victory, la 8ème saison de la série à base de duels de cartes Duel Masters, Tottoko Hamtaro Dechu qui en fait n’est pas une nouvelle série de Hamtaro mais une rediffusion de l’anime original avec un générique remixé et entièrement refait en 3D, Metal Fight Beyblade 4D qui est la troisième série de Beyblade, le très mignon mais gamin Suzy’s Zoo Daisuki! Witzy, le bizarroïde Fujilog qui suit l’histoire d’un NEET trentenaire, la nouvelle saison de Yugioh qui s’appelle Yu-Gi-Oh! Zexal et enfin la nouvelle saison de Inazuma Eleven.

Sans oublier les suites de séries que je n’avais pas suivies, à savoir Seikon no Qwaser 2 et Kämpfer 2 ainsi que la nouvelle saison de Gintama (mais regarder la première est prévue) et de Tono to Issho. A noter également la présence d’une nouvelle série basée sur Ring ni Kakero.

Et au niveau des OAV sorties, je n’en ai vu que trois…

Il y a donc l’OAV de Nichijou fournie avec le tome 6 du manga, et faisant office d’épisode zéro. J’ai trouvé l’OAV encore moins amusante que la version TV et vraiment pas très intéressante…

L’OAV de Highschool of the Dead, fournie elle aussi avec le dernier tome du manga sorti, et que j’ai regardé pour je ne sais quelles raisons. Le résultat n’en valait vraiment pas la peine tellement c’était du gros n’importe quoi destiné à mettre le plus de fan service possible en avant, bien plus que dans la version TV.

Et enfin la dernière OAV vue est Morita-san wa mukuchi, fournie elle aussi avec le manga, et racontant la vie de tous les jours de Morita, une fille qui passe pour taciturne car elle ne parle pas beaucoup. Ce n’est cependant pas par timidité, mais plutôt parce qu’elle passe trop de temps à réfléchir à ce qu’elle va dire et aux conséquences de ses paroles sur son interlocuteur. Ça se laisse regarder sans être transcendant, et il va également y avoir une adaptation en anime TV pour cet été.

Pour résumer ce printemps :

  • Coup de cœur de cette saison : aucun. Oui, c’est bien la première saison pour laquelle je n’ai eu aucun gros coup de cœur, aucune série ne m’ayant pris aux tripes ; mais paradoxalement, c’est aussi la saison pour  laquelle je trouve qu’il y a un bon petit nombre de séries intéressantes. A la limite Kaiji aurait pu entrer dans cette catégorie mais étant donné que c’est la suite de la première saison il y a eu l’effet de surprise en moins, et je savais déjà à quoi m’attendre. :p
  • Anime que je suivrai en entier : Kaiji 2 (toujours autant de tension, et je suis fan du narrateur), AnoHana (toujours aussi intéressant à suivre), Ao no Exorcist (très sympa), Fireball Charming (j’aime beaucoup l’héroïne), Steins ; Gate (j’aime beaucoup le scénario, inspiré d’un fait réel), Yondemasu yo Azazel-san (dommage que les épisodes soient si courts), Hanasaku Iroha (c’est mignon mais par pitié, virez-moi l’écrivain pervers du casting…), Tiger and Bunny (assez divertissant).
  • Anime que je vais tenter de suivre en entier : Shôwa Monogatari (trouver un épisode demande de faire des fouilles archéologiques sur internet), Deadman Wonderland (ça va dépendre de l’évolution du scénario), X-Men (si je ne me démotive pas en plein milieu de la série), C : The Money of Soul and Possibility Control (je suis pour le moment restée bloquée à l’épisode 2…).
  • Petit plaisir coupable de la saison : Dororon Enma-kun Mera Mera (plus c’est con, plus c’est bon, et je regarde aussi la série originale de 1973 en parallèle~)
  • Anime que je suivrai en cachette : Jewelpet Sunshine (même pas honte… mais au moins c’est drôle et divertissant).
  • J’abandonne sans regret : tout le reste.

 

30 commentaires

  1.  » L’histoire a donc pour originalité de mettre en scène Minami  »

    je suis le seul a avoir eu un rire nerveux?

  2. menlovemen > parce qu’il ne l’est pas, et ne le sera probablement jamais. Tu auras plus de chance d’attendre qu’il arrive a la tele en France, vu que la 1ere saison de Jewelpet y est diffuseee. ^^;

  3. Je pense que nous sommes nombreux à ne pas avoir accroché sur cette saison d’animés, rien de fabuleux et aucun ne restera dans le spécial disque dur à Anime !

    Pour moi les 3 sortant du lot sont Denpa otoko, Hanasaku et Ano ni mita, qui sont tout mignon et frais, mais c’est vraiment histoire de suivre quelques série les longues nuits d’insomnie !

    Sur Ishizora, « le premier épisode était mauvais à en pleurer », mais totalement :’) Et dire que j’ai osé regardé le 2… *shame on me*

  4. T’as laissé tomber Astarotte nô omocha? Regarde le deuxième épisode, et tu comprendras que l’héroïne n’est pas complètement tsundere, et que cest un mignon Gomery-slice of life. Aucune réelle surprise au niveau du storyline, mais ça reste symphatique a suivre, avec presque aucune scène de fanservice. (si on ignore la grosseur des seins de la mère de lotte)

  5. Idem que toi pour Deadman Wonderland. Une grosse déception, après tout le bien lu sur le manga. L’anime n’arrive absolument à faire ressortir de la terreur ou de l’oppression au spectateur (moi en tout cas ^^). Après 4 épisodes, alors que l’histoire avance à toute vitesse et que le rythme est trés soutenu, j’ai presque l’impression de m’ennuyer.
    Msohidora > Décidément, une série qu’il ne me serait même pas venu à l’esprit d’essayer de regarder. Un copain le recommande déja chaudement sur son blog http://finalfan51.free.fr/ffs/?p=1013, alors c’est décidé, je vais regarder!

  6. > Dororon Enma-kun Mera Mera (plus c’est con, plus c’est bon)

    Et c’est assez fabuleux de voir à quel point ils peuvent aller dans le très con ^^

  7. Lisant Deadman Wonderland en parallèle, je suis également plutôt déçu de cette adaptation. Impossible de retrouver la même ambiance ni le même Ganta, beaucoup moins chiant et pleurnicheur dans la version papier. Qui plus est, avec Toriko, cette série m’a fait prendre conscience que j’exècre Romi Paku dans la grande majorité de ses rôles, ce qui n’arrange rien. L’emballage est plus ou moins fidèle (et encore, le design de certains personnages a parfois tendance à partir dans le n’importe quoi, me rappelant certains épisodes de Michiko e Hatchin) mais ce qui fait la force et le succès du titre lui, est aux abonnés absents.

  8. Question existentielle: Pourquoi il y a marqué « anime de l’hiver » pour les liens vers des articles intitulés « anime du printemps »? :)

  9. Pazu > ca m’apprendra à écrire des articles à 3 heures du matin…C’est corrigé, merci de l’avoir remarqué. :)

    X4713R > la source de l’image est indiquée à la fin du billet :p

  10. Ano Hana a disparu de la liste des animes que tu comptais suivre ? Les deux premiers épisodes m’avaient enchanté et j’attendais d’avoir « la totale » pour dévorer l’ensemble. Les épisodes suivants sont-ils décevants ?
    +1 pour Showa Monogatari: j’attends patiemment les rares sorties de cet anime qui sort vraiment du lot (pas de coup de coeur cependant pour toi..).
    Il faudra aussi (enfin) que j’essaie Stein;Gate, puisque la série semble tenir ses promesses sur la longueur (au contraire de sa cousine).

  11. inico > hein ? Non, Ano Hana est bien dans ma liste des anime que je suis. ^^;
    Showa Monogatari est tres sympa mais de la a avoir un coup de coeur, quand meme pas. En tout cas j’attends aussi la suite. :)

  12. Oououps, effectivement: à moins que tu n’ai malicieusement changé le texte, AnoHana est effectivement bien dans ta liste des séries suivies.
    Note pour moi: penser à ouvrir les yeux ^__^.
    En conclusion de tes trrrrois revues des animes du printemps 2011, on pourrait alors en tirer la conclusion: la quantité prime sur la qualité, et la quantité n’est pas de mauvaise qualité.

  13. Moi je retiens Hanasaku, Denpa Otoko et AnoHana !!
    Je fais aussi Xmen et Moshidora pour passer le temps ;)

    Mais tu m’as convaincu d’aller jeter un oeil pour Ao no Exorcist !

  14. Pas changé d’avis sur Nichijou ? Il y a du bon à en tirer, de l’épique, du pas random et du très bien foutu. Pourtant je ne suis pas client des scénettes scolaires à la Azumanga (à part en yonkoma à la limite).

  15. Hello
    Je commence seulement Steins;Gate, et j’avoue être tombé sous le charme du mélange entre l’ambiance étrange/mystérieuse, le côté scientifique assez sérieux, mais le tout avec de l’auto dérision et une bonne dose d’humour. Mais jamais trop, afin de ne pas gâcher l’histoire.
    Et les personnages, quoique semblant caricaturaux dans une première approche, s’avèrent en fait tous bien faits (« tututu » cf. Mayuri).
    Tu dis que l’histoire est inspirée d’un fait réel. Je n’ai pas réussi à trouvé d’infos à ce sujet (mauvais mots-clefs dans Google, surement). As-tu plus d’infos ?

  16. Merci pour le lien :)
    Rien donc sur un micro-onde, ou encore sur l’effet de manger des légumes pendant la grossesse ^^.

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