Jeux Vidéo - Bilan 2016

Bilan 2016 des Jeux Vidéo, 1ère partie – 3DS & Steam

C’est parti pour le bilan annuel des jeux vidéo, pour la huitième année consécutive, tout de même ! Je précise que ce sera un bilan assez long qui suivra plus ou moins le même modèle que les précédents, mais pour éviter de finir avec un pavé de 13 000 mots comme l’année passée, ce sera la première fois que je le découpe en plusieurs billets, en terminant par le top habituel.

Comme d’habitude là encore, il sera question des jeux joués en 2016, mais qui ne datent pas forcément de cette année. Et avec des tas de jeux japonais un peu louches dans le lot ! \o/ Parmi les consoles absentes, il y a tout de même la Wii U : je n’ai acheté qu’un seul jeu dessus en 2016 (Tokyo Mirage Sessions #FE) mais je n’y ai toujours pas joué, pour ne pas frôler l’overdose à cause d’autres RPG d’Atlus plus ou moins similaires également faits cette année (les Persona, en l’occurrence).

Je vais donc commencer cette première partie avec un tour d’horizon des jeux joués en 2016 sur 3DS et Steam, sans aucun ordre de préférence, chaque jeu comportant quelques impressions plus ou moins longues. Enfin, plus longues que d’habitude, c’est sûr et certain. J’ai vraiment du mal à ne pas écrire des tartines.

Voilà, bonne lecture (et bonnes fêtes de fin d’année) à ceux qui passeraient par là ! Cette fois-ci, le gros du texte est caché sous une balise spoiler : il suffit de cliquer sur chaque titre pour lire mon avis dessus.

 

NINTENDO 3DS

Le nombre de titres auxquels je joue chaque année sur la portable de Nintendo diminue de plus en plus, mais c’était à prévoir ; de mon côté, le pic avait été atteint en 2012 et 2013, années durant lesquelles elle était ma console la plus utilisée. L’autre problème avec la 3DS en 2016 est que certains jeux qui m’intéressaient beaucoup dessus sont sortis tardivement, quand ce n’est pas au mauvais moment. C’est le cas notamment de deux nouveautés de décembre : Shin Megami Tensei IV: Apocalypse et 7th Dragon III Code: VFD. Le premier, je préfère le réserver pour quand j’aurai assez de temps à lui consacrer, surtout s’il est aussi chronophage que le précédent jeu (je regrette un peu de ne pas l’avoir pris dès sa sortie japonaise). Le second, j’hésite tout de même car la démo disponible sur l’eShop ne m’avait pas vraiment convaincue.

Les autres titres 3DS sortis en 2016 en Europe que je remets également à plus tard sont Stella GlowThe Legend of Legacy et… Langrisser Re:Incarnation Tensei. Oui, je suis masochiste. Quant à Project X Zone 2, sorti cette année en Occident, il est pour le moment en pause indéterminée… mais je sens qu’il va finir dans ma liste de jeux abandonnés.

Voici donc quelques impressions sur les jeux faits en 2016, le seul absent étant Chase: Cold Case Investigations ~Distant Memories~ étant donné que j’ai déjà écrit des impressions plus détaillées dessus.

BRAVELY SECOND - END LAYER

J’avais quand même bien aimé le premier Bravely Default malgré sa deuxième partie très controversée, et ce Bravely Second avait l’air de proposer une aventure dans la même veine avec en bonus une nouvelle héroïne au design que j’aime beaucoup. Malheureusement, même si j’ai apprécié Magnolia et que revoir Edea m’a fait plaisir, cette dernière n’est plus très amusante quand il n’y a pas Ringabel dans l’équipe. Et un nouveau Bravely sans Ringabel, c’est assez… fade.

Idem au niveau de la bande-son : Ryo du groupe Supercell a remplacé Revo/Linked Horizon, et j’ai trouvé le résultat nettement moins marquant, sans être mauvais non plus. Je n’ai pas non plus été fan du mélange entre le ton léger et sérieux, ni du déroulement du jeu en lui-même, finalement bien trop proche de Bravely Default. Il y a tout de même des rebondissements très sympas, le gameplay est toujours aussi addictif et les nouveaux jobs sont assez chouettes même si pour ne pas changer la censure est passée par là, mais je me demande quel est l’intérêt de ce nouveau volet qui ressemble plus à une sorte de gros DLC qu’à un réel second épisode. Et que dire de la fin, qui laisse sous-entendre la possibilité d’une nouvelle suite…

POKEMON LUNE

Il s’agit de la mouture 2016 de Pokémon, et j’ai de mon côté pris Pokémon Lune parce que je trouvais Lunala plus classe que Solgaleo. Pour le reste, ce volet apporte des changements assez appréciables, mais la grosse nouveauté que j’ai préférée, c’est la disparition des CS. C’était assez moyen de devoir sacrifier à chaque fois une capacité d’un Pokémon pour pouvoir les utiliser, donc c’est une très bonne chose de ne plus avoir à se soucier de cela. Je trouve que la difficulté a également été nettement relevée par rapport aux précédents jeux, ce qui se remarque surtout sans le Multi Exp : j’ai eu droit à un game over lors du Conseil des 4 et ça m’a fait tout drôle.

Dans ce nouvel épisode, tout a été fait pour rendre les menus plus pratiques (avec des raccourcis vraiment appréciables là aussi), et je vais peut-être choquer les puristes en disant que j’ai beaucoup aimé la possibilité de voir directement si une attaque est efficace ou non contre un certain type de Pokémon. Pourtant, je ne peux m’empêcher d’avoir été un peu déçue par le jeu : le joueur est encore plus tenu par la main qu’à l’accoutumée, le personnage de Lilie est un véritable boulet (désolée pour les fans) même si j’aime beaucoup son design, Motisma est lourdingue, la Place Festival est moins pratique et intuitive que le PSS des deux jeux précédents, le Pokédex National est absent, le jeu rame souvent à mort sur une 3DS classique…

Mais le truc qui m’a coupé l’envie de collectionner les Pokémon et de remplir mon Pokédex, c’est ce nouveau système d’appel à l’aide : maintenant, les Pokémon peuvent appeler leurs congénères quand leurs PV sont bas, ce qui rend parfois la moindre capture interminable. Et ça ne m’a pas donné envie d’insister. Malgré cela, j’espère tout de même qu’un hypothétique « Pokémon Star » sortira sur la future Nintendo Switch !

GYAKUTEN SAIBAN 6 - ACE ATTORNEY : SPIRIT OF JUSTICE

Le sixième épisode de la série, Spirit of Justice, est arrivé une fois de plus chez nous en démat’ uniquement et en anglais. C’est très égoïste, mais de mon côté je ne regrette pas l’absence de traduction française, surtout si c’est pour se retrouver avec des phrases bourrées de fautes et autres erreurs de grammaire/conjugaison. Il y avait eu du progrès avec le quatrième volet, mais bon, c’était pas encore trop ça. La version anglaise n’est pas exempt d’erreurs non plus, malheureusement, même si sur ce point ce Spirit of Justice a été plus soigné que Dual Destinies.

A mon grand soulagement, ce volet n’était pas l’épisode fan service bourré de références que je redoutais (rien qu’avec le retour de Maya), mais LA grosse nouveauté que j’ai appréciée, c’est… la possibilité d’accélérer enfin les dialogues. Plus besoin d’attendre que le texte s’affiche lettre par lettre, on peut enfin l’afficher d’un coup ! Cela peut paraître stupide, mais c’est vraiment le petit détail qui me gênait un peu depuis les premiers jeux.

Quant au reste, et bien mon avis sur ce sixième volet est assez mitigé : il y a de nouvelles musiques très chouettes et des nouveautés appréciables (les séances divinatoires), mais quelques trucs m’ont pas mal rebutée. A commencer par le nouveau procureur, Nahyuta, que j’ai trouvé être le plus fade et le moins intéressant de toute la série. Il y a aussi la surabondance d’analepses : je n’ai pas trop compris l’intérêt de faire un flash-back d’un événement qui s’est déroulé cinq minutes avant. Si ce n’était qu’une seule fois, pourquoi pas, mais on y a droit assez souvent tout au long des différents procès. Les procès en eux-mêmes sont également assez inégaux, et de mon côté j’ai beaucoup aimé le second et le troisième. La cinquième affaire était bien trop longue, la première également, et la quatrième affaire était assez particulière par rapport au reste.

La série arrive à surprendre malgré tout, et ce nouveau volet est en fait un Apollo Justice 2, mais j’ai été assez attristée par la quasi-inutilité de Maya. La petite nouvelle, Rayfa, était de son côté une tsundere pénible dans la grande majorité du jeu, et ce personnage m’a assez énervée malgré son histoire (bon, je suis allergique aux tsundere, donc mon avis est très subjectif là-dessus :D). Un épisode à mettre tout de même dans le haut du panier de la série, même si de mon côté je n’ai pas accroché tant que ça. En tout cas, vu la fin, je suis curieuse de voir ce que proposera le futur septième épisode.

POCKET CARD JOCKEY

La grosse claque inattendue de 2016. Sortie en 2013 au Japon sur l’eShop uniquement, cette petite curiosité que l’on doit à Game Freak (oui, le développeur des Pokémon) est arrivée en Occident seulement cette année. Elle propose une idée originale mais ô combien casse-gueule : un mélange entre un jeu de course de chevaux et de… solitaire.

Le concept me paraissait franchement moyen et pas très intéressant, jusqu’à ce que débarque une démo sur l’eShop, reprenant la première partie du jeu. J’essaye par curiosité, et là, c’est la surprise. Du coup j’ai acheté de suite le jeu complet sans aucune hésitation : c’est extrêmement addictif, que l’on aime ou non le solitaire. Le genre de jeu où on se dit  »allez, une dernière partie », puis une heure plus tard on est encore dessus. Et au passage, même la bande-son est fantastique, avec aussi bien des thèmes jazzy que des thèmes qui auraient eu plutôt leur place dans Xenoblade Chronicles X. Merci Game Freak de proposer des concepts tout simples et de les rendre aussi intéressants !

MEITANTEI PIKACHU : SHIN COMBI NO TANJOU (Great Detective Pikachu)

Une autre petite curiosité sortie en 2016 : Meitantei Pikachu, un jeu disponible uniquement sur l’eShop japonais. Je suis d’ailleurs surprise qu’il ne soit pas (encore) sorti en Occident ! Il s’agit d’un titre très court qui se termine en un peu moins de cinq heures, mais qui coûte tout de même 1 500 yens (environ 15 euros). Donc d’un côté ça fait un peu mal, d’autant plus que le tout se termine sur un « à suivre »…

Ce jeu d’enquête dans l’univers des Pokémon met en scène un jeune garçon accompagné de Pikachu, et l’intérêt du truc vient du fait que Pikachu parle notre langue. Ils lui ont donné une voix plutôt virile et suave, c’est assez surprenant au départ, mais c’est tout ce qui fait le charme de ce jeu. Dommage que ce ne soit pas très compliqué au niveau des énigmes et que le gameplay soit aussi limité, mais j’attends tout de même de voir s’il y aura vraiment une suite, un jour (sur Switch ?).

MEGAMI MEGURI

Dernier « jeu » fait sur 3DS cette année, Megami Meguri est en fait une application gratuite de Capcom disponible sur l’eShop japonais, avec des éléments de free-to-play. Je pensais au départ que c’était réservé à ceux qui ont un passe de transport en commun japonais (comme les cartes Suica ou encore Pasmo), mais en fait on peut tout à fait y jouer sans. Enfin, « jouer » est un bien grand mot car il s’agit avant tout d’une sorte de simulation au chara design signé Mino Tarō, que l’on connait surtout pour son travail sur la série Love Plus (ou, plus récemment, le visual novel « Root Letter » et le RPG « Exist Archive »).

Le but est de guider une apprentie déesse personnalisable à souhait, et de faire en sorte qu’elle devienne une divinité à part entière. On peut également lui enseigner du vocabulaire et s’occuper de sa prononciation (Megami Meguri utilise son propre logiciel de synthèse vocale, le Megami Speak Engine, développé conjointement par Capcom et Toshiba), tout en s’occupant de missions permettant de l’approcher de son but. Ces missions s’exécutent sur une sorte de jeu de l’oie géant où il faut se rendre sur une certaine case donnée, le jeu de l’oie en question représentant en fait tout le réseau de train du Japon. Et là, on comprend mieux le système à base de lecture de titre de transport…

Les éléments de free-to-play s’intègrent de manière assez vicieuse là-dedans, car il s’agit de payer avec de l’argent réel pour faire en sorte que le dé tombe sur la face que l’on souhaite. Il en est de même pour certains bonus, comme des tas de tenues différentes pour personnaliser sa petite protégée, même si certaines s’obtiennent aléatoirement.

Le truc n’a pas beaucoup d’intérêt si on n’habite pas au Japon (même s’il reste parfaitement jouable en dehors du pays), mais je trouve dommage de voir Capcom gaspiller ses ressources sur un tel projet éphémère qui me donne l’impression de faire surtout de l’œil au public qui avait apprécié Love Plus.

Megami Meguri – générique d’ouverture

 

STEAM

Des jeux faits sur PC cette année, ça se fête ! L’an dernier, Undertale était mon unique jeu Steam, mais à vrai dire je ne cache le fait que jouer sur ordinateur, ce n’est absolument pas mon truc. A part les visual novels et les vieux C-RPG.

Her Story

Un jeu au principe original et qui me tentait depuis pas mal de temps. Afin de comprendre l’histoire d’une jeune femme interrogée plusieurs fois par la police, le joueur doit utiliser une base de données remplie de clips vidéo : rechercher de nouvelles vidéos se fait en tapant des mots clés (entendus le plus souvent dans les clips vidéo déjà vus). C’est au joueur d’affiner sa recherche afin de découvrir par ses propres moyens le fin mot de l’histoire, mais il est toutefois dommage que tous les mots clés soient acceptés, y compris les pronoms et adjectifs démonstratifs.

C’est une expérience narrative originale où essayer de comprendre ce qui s’est réellement passé était un exercice des plus intéressants, mais personnellement je n’ai pas accroché plus que cela, d’autant plus que le principe est très similaire au « jeu vidéo » de Serial Experiments Lain sur PSone. Je le conseille tout de même à ceux qui n’y ont pas encore joué et qui voudraient essayer un jeu qui bouscule un peu les codes narratifs habituels. 

Planetarian ~the reverie of a little planet~

Un kinetic novel (visual novel sans choix) de Key qui commence à dater, avec comme histoire de fond la rencontre d’un homme avec une fille robot qui s’occupe d’un planétarium dans un monde post-apocalyptique. C’est surtout la sortie des récentes OAV diffusées uniquement sur le web qui m’ont poussé à m’y mettre, et je ne le regrette pas : c’était à la fois mignon et émouvant. Malheureusement, c’est bien trop court, et il faut moins de 5 heures pour tout lire. J’ai vraiment trouvé l’univers de cette œuvre très intéressant et j’aurais bien aimé en apprendre davantage à son sujet, voire qu’il soit un peu plus développé. 

Cibele

Un jeu étrange qui nous met dans la peau d’une fan d’anime/manga/jeux vidéo. Il nous narre sa rencontre avec un garçon via un MMORPG fictif, leur relation par écran interposé devenant de plus en plus intime. Assez original, ce titre propose au joueur de suivre l’évolution de cette relation via l’héroïne (et l’écran de son PC), mais malheureusement le tout est très peu développé : on sent bien que c’est basé sur l’expérience personnelle de la créatrice de Cibele, Nina Freeman, mais je ne comprends pas vraiment quel est son but ni le message qu’elle souhaite faire passer : dénoncer les relations en ligne ? Raconter simplement une histoire sentimentale basée sur son histoire personnelle ? Faire écho aux joueurs et joueuses qui ont connu une expérience similaire ? Le jeu, qui se termine également de façon abrupte, m’aura finalement laissée assez perplexe. 

Cinders

Un visual novel basé sur l’histoire de Cendrillon et qui se remarque surtout pour sa qualité visuelle (ces paysages !) et sonore (cette bande-son !), même si j’ai eu du mal avec le style de dessin des personnages. Et en plus leurs yeux bougent en permanence, ce qui est quand même super flippant. L’histoire proposée est une vision intéressante du conte originale, avec de très nombreux choix possibles et plusieurs fins à la clé : ici, les personnages ne sont pas forcément ceux que l’on croit être, notamment au niveau des sœurs de Cendrillon et de sa belle-mère. Une petite curiosité assez intéressante, à condition de ne pas être allergique aux personnages extrêmement bavards (bien plus que dans un visual novel lambda) !

Fanart : Pokémon Sun/Moon (artiste : 亀丸)

9 commentaires

    • En effet, mais je suis sûre qu’il y avait le moyen de rendre le système moins contraignant pour ceux qui veulent simplement capturer un pokémon (genre la possibilité de lancer une pokéball quand il y a 2 pokémons à l’écran). :(

  1. J’ignorais qu’il était possible de jouer à Megami Meguri en dehors du Japon. Ceci étant, vu ta description du « jeu », je éviter de perdre mon temps à le tester.

    Pour « Her Story », je n’avais pas pensé à « Lain » sur PSOne mais en effet la comparaison n’est pas idiote, elle est même plutôt bonne. C’est vrai qu’à bien y regarder c’est un peu le même délire mais en mieux (pour Lain bien sûr :p).

    Concernant Planetarian, je me suis contenté de l’anime qui était sympathique mais sans plus à mes yeux. Du coup je suis moyennement motivé pour le kinetic novel (merci j’ai appris un nouveau terme xD).

    Pour terminer, je rejoins pas mal ton avis sur Pokémon Soleil/Lune. La chaîne SOS est une idée vraiment nulle et chiante au possible… Je préfère le système des « touffes d’herbes » dans Pokémon ORAS. Après la véritable honte du jeu est son « frame rate »; il est tout simplement scandaleux. Même avec une New 3DS, il reste présent lors des combats duo… Cela manque cruellement d’optimisation et venant d’un jeu Pokémon, ça fait vraiment tâche !
    Malgré ses défauts, j’ai beaucoup aimé Pokémon Lune/Soleil (156 heures au compteur), car il apporte de belles choses comme une histoire un peu plus ambitieuse, un professeur Euphorbe plus présent dans l’aventure, des épreuves diversifiées, une fluidité d’exploration appréciable avec les montures, du lourd en Post-game, du gros challenge en arbre combat et j’en passe… A mes yeux c’est une belle métamorphose qui se dessine pour l’avenir de la saga Pokémon; plus proche des J-RPG traditionnels. J’attends beaucoup de la version « étoile » (en espérant qu’elle soit vraiment sur Nintendo Switch).

    • D’un autre côté, Megami Meguri peut être pratique pour exercer son japonais, étant donné que l’un des buts est d’enseigner la langue à la mascotte du jeu (elle ne parle pas un mot de japonais). :’)

      Pour Planetarian, si tu as vu l’anime tu peux faire l’impasse dessus car c’est quasiment la même chose.

      • Il faut que je me mette à bosser mon japonais, je le sais… Mais peut-être pas avec une Semi-Déesse qui veut jouer au jeu de l’oie (et pourquoi pas un Monopoly à y être lol).

  2. Je pensais que le jeu Pokémon ne ramait que sur ma console (une 2DS) du coup je suis rassurée (enfin, un peu perplexe, quand même) de voir que ce n’est pas le cas. Très récurrent dans les combats duo.
    Pour ma part je suis assez contente qu’un Pokémon puisse appeler à l’aide, parfois ça aide pas mal pour monter l’EXP sans avoir à remarcher dans les herbes hautes. Plus chiant quand on veut le capturer, par contre, ça s’est bien vrai. Ce moment d’angoisse quand il tente sa chance

    • Oui, ça rame beaucoup, bien plus que les autres Pokémon sur 3DS, c’est ça que je ne comprends pas trop non plus. Le pire c’est quand même durant les « Batailles Royales », c’est limite injouable… >_>

    • La bonne idée aurait été de faire en sorte que l’orbe frousse déclenche la chaîne SOS. Comme cela, on restait sur un format classique pour la capture rapide.

      • Il y a ça aussi, et je suis sûre qu’il y avait des tas de possibilités pour rendre la chaîne SOS moins contraignante. Mais vu les critiques des joueurs japonais là-dessus, ça m’étonnerait que Game Freak réitère l’expérience.

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