ANIME – Impressions en vrac #37

Voici quelques impressions purement subjectives et discutables sur des trucs vus ces derniers temps (sur ce dernier mois, plutôt).

Ça faisait longtemps que je n’avais pas reparlé de certaines séries de cet automne, mais j’essaye d’en parler ici par grappes d’au moins 5 épisodes sinon je n’aurai pas grand chose à dire dessus.

Pour d’autres séries comme Kurozuka, je pense tout regarder d’un coup. Et après bien des hésitations, je vais finalement abandonner Shikabane Hime, parce que ça ne m’attire pas plus que ça. Quant à la saison 2 de Gundam 00, j’ai vraiment du mal, donc je m’y remettrai lorsque ma motivation pour cette série reviendra. Et j’ai enfin abandonné cette chose indescriptible qu’est Kurogane no Linebarrels, ainsi que Ga-rei Zero (je ne m’attendais pas à ce que ça vire au yuri et aux combats avec des fers à repasser), mais je pense que Kemeko Deluxe va les rejoindre. Et peut-être Tytania aussi, si ça ne décolle toujours pas.

 

JUMP SUPER ANIME TOUR : TEGAMI BACHI

Comme c’est un épisode spécial diffusé gratuitement en streaming sur le site officiel de Jump, et en VOSTF qui plus est, je me suis dit pourquoi pas y jeter un œil. Je n’en attendais pas grand chose, et au final j’ai beaucoup aimé. L’histoire est assez simple : le héros Lag est une sorte de coursier, nommé un Tegami Bachi. Les Tegami Bachi risquent parfois leur vie pour transporter le « cœur » contenu dans les lettres qu’ils délivrent, et ici le héros se voit confier une livraison pour une fille appelée Elena.

En fait ce qui m’a plu dans cet anime, c’est l’atmosphère qui fait assez « Noël », mais avec une bonne dose de mélancolie. Après, l’impression d’avoir assisté au départ à un gros mélange entre Shigofumi et Mushi-uta s’est un peu dissipée. Au niveau de la réalisation, j’ai trouvé ça vraiment joli comme tout. Il semblerait d’ailleurs que ce Tegami Bachi devrait avoir une adaptation en anime, alors j’espère que si c’est le cas la qualité sera au rendez-vous, car si c’est du même niveau que cet épisode spécial, je ne serai vraiment pas contre. Une bonne petite surprise, en tout cas.

 

JUMP SUPER ANIME TOUR : DRAGON BALL

C’est difficile de parler de cet épisode spécial… en tout cas je serai moins enthousiaste que d’autres personnes : j’ai moyennement aimé, mais d’un autre côté ça m’a fait quand même fait plaisir de revoir les personnages.

Si je n’ai pas apprécié cet épisode à sa juste valeur, bien que j’ai été pendant une certaine période de ma vie ce que l’on peut considérer comme une Gagaballienne, c’est probablement parce qu’au fil du temps la série m’aura assez écœurée. Surtout parce que je trouvais que c’était devenu du du gros n’importe quoi (toute la saga avec Majin Buu, le délire avec les fusions et les transformations en Super Saiya-jin 4, Dragon Ball GT, les tout derniers films sortis… AAARRG). Mais je pensais naïvement que malgré ça, j’arriverais à aimer cet épisode spécial.

J’ajouterai aussi que j’ai trouvé le style de dessin de cet épisode vraiment étrange, en tout cas c’était clairement différent de la série originale. Comme j’aime bien chipoter je dirais aussi qu’il n’y a pas assez eu à l’écran les anciens personnages, comme Lunch (oui, j’aimais bien Lunch… enfin bon, seul Yamcha a été mis bien plus en avant :x). Dommage aussi que le nouveau personnage introduit, le petit frère de Vegeta, ne serve strictement à rien : il n’aurait pas été là que ça aurait été la même chose. Mais rien que son nom « Table » m’aura amusée (Vegeta + Table = Vegetable ? Bon sang, ils vont chercher loin). Et puis il me parait un peu jeune pour être le frère de Vegeta, sachant que ce dernier est déjà assez âgé à la fin de la saga de Buu. Et il me semble que lorsque le père de Vegeta s’est fait tuer, Vegeta avait moins de dix ans, et comme son frère a l’air beaucoup plus jeune que lui, je me demande donc d’où il sort (j’aime me prendre la tête sur des trucs totalement inutiles ^^).

Enfin, ça reste vraiment vingt minutes de pur fan service pour nostalgiques. Mais à part les retrouvailles avec les personnages, l’humour et Chala-Head-Chala en version remaniée, j’ai trouvé ça quand même un peu léger et surtout très vide.

 

FREEDOM

Et voici une OAV que j’ai regardée à la Japan Touch de Lyon. A la base c’est une pub de nouilles instantanées que je voyais souvent à la télé japonaise, mais j’ignorais qu’ils en avaient fait un anime ensuite. Ou alors la publicité des nouilles n’était qu’un moyen de faire de la pub pour le futur anime.

Bref, dans cet OAV, on apprend que l’humanité a crée une colonie sur la Lune car la Terre a été entièrement dévastée par un cataclysme. Les humains habitent dans des dômes, et dans l’un de ces dômes le jeune Takeru passe ses journées à faire des courses d’engins semblables à des motos. Mais il découvre un jour une photo lui montrant qu’en fait, la Terre n’a pas été complètement détruite et que des gens ont survécu.

Déjà, je n’ai pas vraiment aimé le style des dessins en espèce de 3D, c’est vraiment dommage qu’ils n’aient pas fait ça en 2D, surtout avec du Otomo derrière… après, j’ai trouvé que c’était assez intéressant au niveau de l’histoire malgré un début un peu mou et qui n’était pas des plus clairs. Mais même si j’ai bien aimé, ce n’est pas le genre d’anime qui m’aura marquée. Je ne regarderai probablement jamais la suite, sauf si ça passe un jour à la télé (c’est beau de rêver).

 

LICCA-CHAN TO YAMANEKO HOSHI NO TABI

A la base, Licca-chan est une poupée japonaise très célèbre, un peu l’équivalent de Barbie, et qui a été créée par l’ex-mangaka Miyako Maki (la femme de Leiji Matsumoto). Avec ce film, je m’attendais (à tort) à quelque chose de bien niais, et si je voulais le voir c’est parce que Akemi Takada s’est occupée du chara-design.

Niveau scénario, c’est très basique : on suit les aventures de Kaya Marika, une adolescente qui part en vacances à la montagne avec son père. Ils arrivent dans un petit village nommé Hoshiai, où Marika rencontrera une fille de son âge, Hoshino Yuki, et qui deviendra vite son amie. Ce village possède une fête particulièrement, le Festival des Etoiles, où les enfants se déguisent notamment avec des des masques de chats…

Au final, j’ai quand même été agréablement surprise. Bon, je n’ai vraiment pas vu le rapport avec Licca-chan, mis à part que l’héroïne lui ressemble un peu physiquement, et que son prénom Marika est parfois raccourci en Rika/Licca dans le film. Mais là où ça m’a surprise, c’est que c’est loin de baigner dans la mièvrerie : je m’attendais à un truc complètement stupide et niais, mais en fait on a là un divertissement pour enfants assez solide, plutôt magique et surtout onirique. Ça se rapproche même d’un Ghibli au niveau de « l’émerveillement ». J’ai en tout cas beaucoup aimé, plus que ce que je ne l’aurais imaginé. A noter que ce film devait sortir au cinéma mais qu’étrangement il n’a connu qu’une sortie en vidéo.

 

ETERNAL FAMILY

Cet OAV, qui était à l’origine de courts spots de trente secondes diffusés à la télévision, est en réalité un anime complètement chaotique et absurde. Le Studio 4°C est derrière, et ils ont bien réussi sur ce coup-là à produire un petit anime d’un total de trente minutes sans prétention et très WTF !

Le scénario peut rappeler The Truman Show : après un lavage de cerveau, 6 individus à qui on a fait croire qu’ils appartiennent à la même famille ont été placés et enfermés dans une sorte de petit appartement, contenant tout le nécessaire pour leur vie quotidienne. Filmés 24h sur 24, il s’agissait à la base d’une expérience sociologique ; mais les scientifiques ont vendu à une chaîne de télévision l’une de leur vidéo montrant le quotidien de cette famille, et le succès fut immédiat. Cette « famille », devenue célèbre, ignore bien sûr que tout ce qu’ils font et disent est filmé, sauf le père. Mais c’est la catastrophe pour les producteurs le jour où les membres de cette famille réussissent accidentellement à sortir et retrouvent leur liberté…

Bref, c’est quand même une comédie totalement absurde, bien trop pour être prise un quelconque instant au sérieux, et parfois on s’emmêle les pinceaux à force d’essayer de comprendre ce qui se passe. Au final, je retiendrai surtout que c’était trente minutes de mal de crâne et d’expérimentations artistiques. J’ai quand même beaucoup aimé, mais je pense que ce n’est pas le cas de tout ceux qui l’ont regardé; ce qui est sûr, c’est que ça ne laisse pas indifférent. En tout cas, il ne faut clairement pas s’attendre à quelque chose de profond au niveau du scénario ni à une réelle critique de la société moderne malgré le sujet, mais plutôt à une oeuvre qui assume pleinement son délire.

 

GENJI MONOGATARI

Il s’agit ici de l’adaptation en film du célèbre roman classique de Murasaki Shikibu, écrit aux alentours du XIème siècle. Comme il va être également adapté en anime en janvier prochain, je me suis dis pourquoi ne pas regarder avant cette version datant de 1987. Ce film était d’ailleurs à l’origine une commande, pour fêter (avec un peu de retard) les cent ans du Asahi Shinbun. Je me souviens que le roman m’avait d’ailleurs donné un bon gros mal au crâne, et depuis le temps j’ai pas mal oublié les détails de l’histoire (si ce n’es que le prince Genji avait un sérieux complexe d’Oedipe), mais je serais bien tentée de le relire en parallèle avec la diffusion de la nouvelle série.

En tout cas, inutile de dire que vu la taille du roman original, ce film n’en adapte qu’une toute petite partie (les dix premiers chapitres, en gros). Il saute d’ailleurs beaucoup de passages, tout en se payant le luxe d’en rajouter d’autres (tout ce qui concerne les scènes avec les pétales de cerisiers). Tout y est même un peu plus explicite, notamment au niveau de la motivation des personnages, mais j’imagine que c’était pour ne pas trop perdre le téléspectateur.

Ce qui m’a également surprise (mais dans le bon sens) ce sont les musiques, ainsi que le style très lent et posé, sans pour autant donner envie de s’endormir dessus. Il y a aussi les dessins qui donnent parfois l’impression que les personnages semblent tout droit être sortis d’estampes. A l’inverse, c’est dommage que tous les personnages féminins se ressemblent, et j’avais parfois vraiment du mal à savoir qui était qui.

J’ai en tout cas bien aimé ce film, et mon seul reproche est la façon dont il se termine. Mais vu qu’il ne reprend qu’une partie du roman, c’était prévisible…

 

CAROL

Carol est à la base un roman écrit par Naoto Kine, le guitariste du fameux groupe japonais TM Network (plutôt connu pour les génériques de City Hunter). Cet OAV sorti au début des années 90 adapte donc ce roman, avec un chara-design de Yun Kouga et une réalisation signée par Satoshi Dezaki, le grand frère de Osamu Dezaki…

Le scénario de cet OAV raconte l’histoire de Carol, une adolescente anglaise dont le père est un musicien célèbre. Elle commence un jour par s’apercevoir que la musique et le son en général commencent à disparaitre autour d’elle. Après avoir entendu une mystérieuse voix, elle se retrouve transportée dans un monde fantastique, où vit une créature qui absorbe les sons en provenance de la Terre. Elle rencontrera heureusement trois héros qui l’aideront : Clash, Tico et Flash, ces derniers étant basés sur les membres du groupe TM Network.

L’intérêt de cet OAV est bien entendu la bande-son signée par TM Network. Parce que le reste ne vole pas bien haut et est même affreusement ridicule, quand ce n’est pas copié sur certains grands classiques du fantastique (notamment L’Histoire sans Fin); c’est dommage, parce que certains passages auraient pu être bien classes, notamment une certaine scène avec le piano face au monstre. L’héroïne Carol est de plus absolument détestable, j’ai rarement vu un personnage féminin aussi égocentrique et individualiste. L’autre chose intéressante à part la musique, ce sont tous les parallèles que l’on peut établir avec Alice au Pays des Merveilles… mais sinon, cela reste un OAV assez moyen, et à voir par curiosité.

 

UCHUU ENBAN DAI SENSOU

Uchuu Enban Dai Sensou est en fait le film qui a servi d’épisode pilote pour Grendizer, c’est-à-dire ce bon vieux Goldorak. J’avais en fait vu que FFenril l’avait rajouté dans sa liste sur MyAnimeList, et comme j’ignorais l’existence de ce « protype » de Goldorak, je n’ai pas pu m’empêcher de vouloir y jeter un œil.

Ce film de 30 minutes, et datant de 1975, a originellement été diffusé lors de la Toei Manga Matsuri (l’ancien nom de la Toei Anime Fair). L’histoire posait même les bases de ce qui allait plus tard devenir Grendizer : suite à la destruction de sa planète, Duke Fleed réussit à s’enfuir à l’aide d’un robot géant, Roboizer (qui s’appelle Gattaiger lorsqu’il est combiné à sa soucoupe), et arrive sur Terre. Cinq années plus tard, les forces armées responsables de la destruction de sa planète le retrouvent, dans le seul but de mettre la main sur son robot.

Après, faire les liens avec Goldorak reste amusant (le thème de début, la combinaison de Duke Fleed, les personnages secondaires…), même si la différence la plus flagrante reste au niveau du robot du héros, qui est ici absolument immonde et ressemble à une espèce de Légo. Sinon, le reste est assez intéressant, et c’est surtout au niveau des clichés que c’était particulièrement drôle alors que le film se veut quand même sérieux. Mais c’est pour ça que j’ai bien aimé ce film, parce que j’ai passé un bon moment avec et que c’était à la fois intéressant pour connaître les racines de Goldorak, mais également amusant pour tout le côté kitsch.

 

22 commentaires

  1. Pour l’âge de Tarble, je me suis fait la même réflexion : il n’a pas l’air bien vieux, donc sa naissance ne serait pas crédible. Sauf qu’il est marié ; par conséquent, nous pouvons penser que son apparence de gamin, et bien… n’est qu’une apparence. Il serait vraiment aussi famélique que se plaint Vegeta, mais définitivement adulte.
    Là où le bas blesse, c’est qu’il me semble bien que Vegeta lui sort un truc du genre « père t’envoie pour te muscler ? » Euh… Je n’étais pas un gagaballien (je suis plus Sailor Moon et Saint Seiya), mais il me semble quand même bien que le paternel a été tué par Freezer ^^’

  2. Cette histoire de festival des étoiles et le chat sur ton screen me rappele Ginga Tetsudou no Yoru, une belle prise de tête qui suintait la religion à l’écoeurement.

    Et Freedom je préfère te prévenir, c’est pas pour l’histoire que ça se regarde. Le gros de la séries va encore, mais j’ai trouvé la fin baclée à ce niveau. Ce que je retiens le plus au final c’est la touche Otomo et les parties du générique d’ouverture en imitation de manga.

  3. Gemini >> je vois qu’on se pose le même genre de question existentielle. ^^;
    Mais sinon, oui, le père de Végéta avait été bien tué par Freezer… le « père t’envoie pour te muscler? » ne m’avait pas fait tilter sur le coup, mais maintenant que tu le dis ça rend tout ça encore plus incohérent. Il vient d’une réalité alternative où la planète Végéta n’aurait pas explosée? xD

    Johann >> je viens de voir le résumé de Ginga Tetsudou no Yoru sur MAL, mis à part les chats et la voie lactée le reste est quand même bien différent. Mais ça s’en est peut-être inspiré?
    Pour Freedom, si ça ne se regarde pas pour l’histoire, du coup ça m’intéresse beaucoup moins. Justement, c’était la seule chose qui m’avait plu dans l’OAV… ^^’

  4. non, c’est une erreur de traduction de la VF qui dit
    « je suppose que c’est Père qui t’a envoyé ici car tu n’as aucune aptitude au combat »

    alors qu’en VO c’est
    « omae wa sentou ni mukanai kara, oyaji ni henkyou no hoshi ni oyarareta hazuda ga »

    qui t’enerve dans Zeta ? Jerid :p ? Faa :p ?

    Tous les Slayers sont répétitifs, en fait Slayers c’est énormement de filler après l’épisode 8 ou 9 mais sinon je trouve pas que la 1er série était si molle que çà.
    La 1er série est bien mais pas exceptionnelle, la seconde l’est par contre.

  5. somnambule >> merci pour la phrase exacte dans DBZ. :)
    Dans Zeta, il y Faa qui m’énerve, Katz aussi, et d’autres persos mineurs dont j’ai oublié le nom (mais j’aime bien Jerid ;p).
    Pour Slayers de toutes façons je me ferai quand même toutes les séries.

  6. De même ici, Table m’a donné une impression de time paradox avec son âge (et son existence), mais vu que tous les oav ont des incohérences, je suis passé outre.
    D’ailleurs j’ai vraiment du mal à lui donner au moins l’âge de Goku, pour avoir survécu à la destruction de la planète Vegeta c’est le minimum qu’il faut avoir. Même s’il est vrai que les saiyen vieillissent très lentement, c’est quand même bizarre :p

  7. Exelen >> Ginga Tetsudou no Yoru (trouvable sous le titre Night on the Galactic Railroad) a inspiré Leiji Matsumoto pour créer son propre Ginga Tetsudo : le 999.

    Quelqu’un pour donner une traduction plus juste de la phrase de Vegeta ? J’ai toujours eu la flemme d’apprendre le Japonais ^^

  8. Merci pour tes impressions.^^ Je pense que tu es la première à avoir parlé de Tegami Bachi. J’ai adoré cet OAV et j’espère que l’anime sera pareil. J’adore son univers *_*
    Chaos;head me tente de plus en plus.
    J’attends avec impatience les impressions sur les animes d’automne enfin surtout pour Kuroshitsuji et Gundam00 car y a de quoi dire surtout sur l’ep 8 xD

    J’aime beaucoup ta nouvelle bannière c’est tirer d’où ?

  9. Gilga >> même si il vieillit lentement, ça reste quand même bizarre. :p

    Gemini >> Pour la traduction de la phrase dans DBZ, normalement ça devrait donner quelque chose comme « Père ne t’avait pas envoyé sur une planète éloignée parce que tu n’avais aucune aptitude au combat? ».

    Angelkappa >> pour Kuroshitsuji, ça sera dans mes prochaines impressions. Et Gundam 00 aussi peut-être, là je suis bloquée à l’épisode 5 mais j’entends tellement parler de ce fameux épisode 8 que ça me donne la motivation pour m’y remettre.
    Et pour la bannière, comme l’a dit Lax, c’est tiré du jeu Tales of Phantasia. :)

  10. Exelen > En fait le film s’ouvre également sur un festival, je sais plus s’il porte le même nom mais vu que c’était de nuit, ça ne m’étonnerait pas. Par contre, on enchaîne sur un pur trip surréaliste qui n’a effectivement rien à voir avec ce que tu décrit.

    C’est tiré d’un bouquin pour enfants qui a l’air assez connu, je l’ai revu mentionné récemment dans Kappa no coo to natsuyasumi d’ailleurs.

  11. Pour moi cet Oav de DBZ ne sert strictement à rien. D’une part les graphismes sont moches, avec cette couleur horrible que portent les Sayajins … d’autre part l’histoire est trop bancale et trop courte, d’ou nous sort t-on un frère à Bejita ? en plus marié à une « chose » non mais heureusement que le ridicule ne tue pas ….

  12. Lax > Merci pour l’info

    Exelen > Ok. J’ai hâte de lire tes nouvelles impressions alors. Je serais là quand tu le posteras xD je regarde toujours sur le flux RSS si tu as mis un nouveau billet. Et je le fais pour tout les blogs que j’aime bien. ^^

  13. Merci pour les impressions ! :)
    As tu lu  » Liar Games » par le même auteur que « One Outs » ?
    ça ressemble beaucoup à Kaiji surtout au niveau des jeux. Ils en ont fait une serie de drama aussi. Il y a une petite allusion au Licaons dans un des chapitres….

  14. Johann >> je n’avais jamais entendu parler de ce bouquin, en tout cas. o_O

    AquariusNoCamus >> je pense qu’il ne faut pas du tout chercher de cohérences dans cet oav… c’est uniquement pour faire plaisir aux fans nostalgiques de la série, mais après c’est sûr qu’ils auraient pu faire quelque chose de moins bancal.

    Angelkappa >> merci ;-)

    Sphax >> je ne connaissais pas du tout Liar Game, mais je sens que je vais me jeter dessus. Merci beaucoup pour l’info, vu que j’adore ce type d’histoire « à la Kaiji »! :)

  15. Je trouve que Chaos Head est de plus en plus WTF. J’avais bien aimé les épisodes 5 et 6 mais alors le 7 avec le côté magical girl m’a tuée XD En plus le fait que la série soit en compétition avec Mouryou no Hako dans la catégorie « qu’est ce qui est vrai, qu’est ce qui ne l’est pas » ne l’aide pas du tout et la rend monstrueusement comique…
    J’espère que ça va s’améliorer sur la fin, mais apparemment la dernière partie du jeu était très WTF donc je crains un peu le pire O_O

  16. « …finalement, je devrais éviter de commencer plein d’anime à la fois. >_> »
    C’est pour ça que je fais une série après l’autre. :D

    Tu m’as vraiment donné envie de voir ONE OUTS, et pourtant c’est tout à fait le genre de série que j’aurais eu tendance à zapper.
    Freedom : je me rappelle de la pub, surtout parce que, si ma mémoire, c’est Utada Hikaru qui interprété le morceau qui l’habille. Mais je ne sais pas si ça me botterait tant que ça, car j’avais vu les premières secondes et du Otomo en 3D, tout mal animé, ça ne donnait pas envie.

    Juste une question de niaise : c’est quoi une Gagaballienne ? C’est la première fois que je vois ce mot.

  17. Katua >> j’imaginais déjà Chaos Head comme un truc WTF, donc que le scénario parte en vrille ne me gêne pas. XD Après c’est sûr que face au sérieux de « Mouryou no Hako », l’autre série mindfuck de la saison, ça fait un peu tache. ^^;

    IcingSugar >> je devrais suivre ton exemple, une série à la fois ça doit mieux passer. Mais comme j’aime bien varier aussi, je ne sais pas si je pourrais le faire. ^^;
    Pour « gagaballien », c’est un peu l’équivalent de « Narutard », mais employé pour les fans de DBZ à l’époque du Club Dorothée. ;-)

  18. Aaah faut que je regarde les animes mis à disposition par JUMP. Merci de m’y faire penser !

    Je dois continuer les Chaos;Head également… Trop de choses à voir. :fou:

  19. Personnellement, j’accroche beaucoup Chaos Head tant que ça ne vire pas au shojo harem. Je trouve que le rythme va bien à ce genre d’anime qui se veulent bizarre et ou on ne comprend absolument rien au début. Il est vrai que l’épisode sept révèle beaucoup de chose d’un coup mais bon, l’anime fera peut être que treize épisodes. Je pense qu’elle ne doit surtout pas être trop longue.

    Pour one outs, j’ai revu ma première impression. Si je trouve que l’anime a tout de même de très fortes ressemblances avec Akagi, je ne peux plus dire que c’est un clone. De même, Toua est un peu différent d’ Akagi (il est bien moins sadique en fait, si si, je vous jure…. C’est tant mieux car One outs a un véritable intérêt en lui-même et une ambiance différente ( pas aussi sombre) mais prenante. En plus, elle est plus accessible et plus rapide (mais je préfère le Mah Jong) En tout cas, c’est bien la première fois qu’une anime sur le base ball m’interresse autant. J’ai trouvé que les matchs contre les mariners étaient palpitants !

  20. Les sous entendus douteux de Shugo Chara…M’ont vraiment choqué. Pour ma part, je trouve cela très peu sous-entendus, ce qui me fait de plus en plus douter sur la nature de tout les magicals girls crées à ce-jour…
    *s’en part re-regarder Card Captor, histoire de décripter un peu plus en profondeur*

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