Impressions sur les séries de l’automne 2017 (1ère Partie)

Voici (enfin) la première partie de mes impressions sur les nouveaux anime de la saison, qui a d’ailleurs déjà commencé il y a un bon moment au Japon. Ces impressions arrivent comme d’habitude en retard, mais je suis tout de même contente d’avoir pu réussir à sortir ce premier billet avant la fin du mois. :’) Cet automne s’annonce intéressant malgré le nombre assez élevé de suites, avec personnellement pas mal de séries que j’attendais avec impatience dans le lot.

Cette première fournée d’impressions sera comme d’habitude un tour d’horizon de quelques titres en vrac, les avis qui suivent étant bien évidemment 100 % subjectifs !

Pour la liste des anime disponibles en simulcast en France pour cette saison, c’est par ici. Pour un guide complet des séries diffusées au Japon cet automne, c’est par là.

 

Houseki no Kuni – L’Ère des Cristaux

Automne 2017 - Houseki no Kuni L'Ère des Cristaux

Épisodes vus : 03/12

Adaptation du manga du même nom, prenant place dans un avenir lointain où les être humains ont disparu : on y suit le combat d’êtres vivants minéraux face à la menace d’une race mystérieuse venue de la lune. L’histoire se centre sur Phos, le plus jeune et le plus fragile de ces êtres de cristaux. (Disponible chez ADN / manga disponible chez Glénat)

J’ai pendant longtemps trouvé le manga de L’Ère des Cristaux assez difficile d’accès : j’ai eu beaucoup de mal à rentrer dedans. J’adore pourtant son esthétisme, son découpage des cases souvent intéressant ainsi que le côté fin et élancé des personnages rappelant très fortement celui du manga The Five Star Stories, mais j’ai toujours eu du mal avec le scénario que je trouvais… pas très intéressant. Pendant longtemps je suis donc restée coincée au premier volume, et ce n’est qu’à l’annonce de l’arrivée de cette adaptation que j’avais décidé de lui donner une seconde chance. Et là, miracle, j’ai trouvé la suite beaucoup plus intéressante au point de dévorer les volumes suivants, avec un scénario qui donne enfin envie de découvrir les secrets de cet univers et de savoir ce qui allait ensuite se passer.

L’anime de L’Ère des Cristaux possède tout de même un gros avantage par rapport à son support d’origine : la couleur ! Un autre problème que j’avais eu avec la manga est que j’avais du mal à distinguer certains personnages les uns des autres, donc avec cette adaptation tout est bien plus limpide. Au niveau de la réalisation, je suis la première à rouspéter lorsqu’une série est en 3DCG, mais je trouve ici le choix de la 3D assez judicieux : je n’ai pas trouvé son usage si choquant que cela, d’autant plus que cela fait ressortir le côté un peu surnaturel de ces gemmes humanoïdes. Les séquences animées sont vraiment réussies et j’aime beaucoup le rendu des « cheveux » ; en bref, c’est joli, c’est coloré et ça scintille de partout :  j’ai dévoré les trois premiers épisodes et j’ai hâte de voir la suite !

Je suivrai donc cette série jusqu’au bout, même si je me demande jusqu’où ira cette adaptation par rapport au manga.

VERDICT : 

 

Hoozuki no Reitetsu (Saison 2)

Automne 2017 - Hoozuki no Reitetsu

Épisodes vus : 03/13

Adaptation du manga du même nom de Natsumi Eguchi, qui compte actuellement 24 volumes. L’histoire tourne autour de Hoozuki, l’adjoint du roi des enfers Enma, et plus généralement des problèmes bureaucratiques qui règnent dans l’au-delà. (Disponible chez ADN)

C’est trois ans après la première saison que débarque enfin cette nouvelle série, qui fait office de suite directe. J’avais un peu quelques craintes au départ à cause du changement de studio et de staff (on passe tout de même de Wit Studio au studio Deen !), mais les premiers épisodes m’ont rassurée : c’est similaire en tout point à la première saison, avec cette même atmosphère et ce même humour noir. Si la série reste plutôt épisodique et sans réel fil conducteur, avoir vu la première série est tout de même obligatoire étant donné que les personnages ne sont pas vraiment présentés, même si le premier épisode aborde enfin le passé de Hoozuki et ses origines.

Pour le reste, l’anime propose toujours cet humour très japonais assez particulier, avec des références plus ou moins obscures en rapport avec certains faits divers ou encore quelques aspects culturels bien précis, ce qui ne la rend pas forcément très accessible auprès du public occidental. La série propose également une critique de la société japonaise moderne actuelle, et ces trois premiers épisodes m’ont semblé être plus directs à ce niveau-là par rapport à la saison précédente.

De mon côté, cela me fait énormément plaisir de retrouver cette série, son humour et ses personnages : je la suivrai en entier.

VERDICT : 

 

 

Infini-T Force

automne 2017 - Infini-T Force

Épisodes vus : 04/12

Emi, une jeune fille de 17 ans plutôt indifférente au monde qui l’entoure, se retrouve en possession d’un crayon magique qui peut exaucer les souhaits. Son chemin croisera celui de quatre héros issus de dimensions différentes qui cherchent à protéger cet objet magique d’un mystérieux groupe d’ennemis. (Disponible chez Wakanim)

Au départ je ne pensais même pas jeter un œil à cette série, puis j’ai regardé par curiosité et… j’ai enchaîné les quatre premiers épisodes. Sa particularité est d’être tout en 3D, mais une 3D qui rappelle plutôt une cinématique de jeu vidéo, sans trop forcer sur le côté « poupée de porcelaine » des visages des personnages. C’est assez différent de la plupart des anime en 3D qui donnent souvent aux personnages un aspect un peu plat, et personnellement je préfère mille fois mieux ce genre de 3D dans un anime de ce genre : ça me gêne nettement moins. Du coup, c’est effectivement un peu comme regarder une longue cinématique d’un jeu vidéo ; certains personnages donnent même l’impression de s’être échappés d’un RPG, et c’est tout juste si je n’avais pas envie de prendre une manette en main pendant les épisodes. :’) Il y a tout de même quelques passages qui tranchent avec le reste, notamment certains flash-back qui utilisent un style plus traditionnel.

Pour en revenir à la série en elle-même, elle propose une sorte de crossover entre plusieurs titres du studio Tatsunoko (GatchamanPolimar, Tekkaman et Casshan/Casshern) avec comme personnage central Emi, une héroïne assez lourde et très énervante qui, je l’espère, va évoluer dans le bon sens. Le tout se regarde bien plus comme une série « sentai » plutôt qu’un anime, du moins j’y retrouve certains parallèles et un certain humour (involontaire ?) dû au côté kitsch et au ridicule de certaines situations. Et du coup, je trouve tout cela super divertissant. Le scénario n’est pas du tout original, mais l’aspect crossover de la chose reste intéressant, même si de mon côté je ne connais que Gatchaman et Casshern dans le lot.

Cette série est en fin de compte une bonne petite surprise que je suivrai en entier : ça ne vole pas bien haut, mais ce sera mon plaisir coupable de cet automne !

VERDICT : 

 

URAHARA

automne 2017 - URAHARA

Épisodes vus : 02/12

Trois lycéennes s’occupent d’une boutique située dans le quartier branché de Harajuku. Le jour où des extraterrestres débarquent sur Terre pour s’en prendre aux monuments historiques et autres lieux culturels, une jeune fille mystérieuse leur offre des pouvoirs qui leur permettront de protéger Harajuku. (Disponible chez Crunchyroll)

C’est vraiment par pure curiosité que j’ai tenté les premiers épisodes de cette série, ne serait-ce que pour ses origines : projet produit en partie par Crunchyroll, il s’agit d’une adaptation de PARK Harajuku: Crisis Team!, une œuvre originale publiée sur leur plateforme. Sorte de mélange entre un roman et un manga, on la doit à l’illustratrice Mugi Tanaka et à l’auteur américain Patrick Macias, ce dernier étant notamment connu pour ses ouvrages sur la culture otaku. Le tout met en scène les trois mascottes de la (réelle) boutique PARK Harajuku, et qui sont donc également les héroïnes de cet anime.

Tout en restant dans l’esprit de Harajuku, la série propose quelque chose de très coloré s’en trop s’éloigner du thème de la mode et avec un soupçon de magical girls, mais malheureusement sans forcément être très passionnante à suivre. Je n’irai pas jusqu’à dire que c’est un Flip Flappers du pauvre, mais URAHARA tend plutôt à me rappeler Rolling☆Girls ou encore Mikagura Gakuen Kumikyoku, des séries récentes elles aussi très colorées et dynamiques que je n’avais pas vraiment appréciées non plus. J’ai d’ailleurs eu un peu le même souci avec URAHARA : il y a cette impression d’être sous LSD en regardant un épisode tellement c’est coloré et étrange, mais paradoxalement je me suis véritablement ennuyée devant cette série. Le scénario en lui-même n’est pas très original et les personnages mignons sont vides de toute substance ; mis à part l’esthétisme qui sort un peu des sentiers battus, je n’ai donc vraiment pas accroché du tout. Tant pis.

VERDICT : 

 

RoboMasters the Animated Series

Automne 2017 - RoboMasters

Épisodes vus : 02/??

Un étudiant, Tantan, se retrouve malgré lui mêlé à un club de son université dont le but est de participer à un tournoi de RoboMasters. 

Cet anime qui ne paye pas de mine est une coproduction entre la Chine et le Japon. Il s’inspire de la véritable compétition annuelle RoboMasters, organisée par le constructeur chinois DJI, leader dans la fabrication de drones de loisir et accessoirement sponsor de cette série ; bien entendu, cela fait un peu office de grosse publicité gratuite, mais la série est plutôt une bonne surprise : je n’en attendais absolument rien, mais elle se laisse regarder. Assez classique dans le fond, elle suit ce schéma narratif qui rappelle celui des séries sportives et son héros qui s’avère être très passionné et doué, un peu comme Nana Maru San Batsu (Fastest Finger First), l’anime sur les quiz de l’été dernier. A la différence qu’ici le héros de cette série est quelqu’un de plutôt désabusé au départ, à cause de ses mauvais souvenirs par rapport à la compétition RoboMasters à laquelle avait participé son frère aîné : du coup, il n’aime plus vraiment les matchs de robots… même s’il continue à fabriquer des drones.

Les étudiants s’affrontant ici au moyen de drones et autres robots qu’ils ont construit eux-mêmes, les matchs sont sans surprise tout en 3D, et la série en elle-même reste plutôt correctement réalisée. Je pense qu’elle devrait davantage passionner les personnes intéressées par les tournois de RoboMasters, même si pour le moment les personnages et leurs problèmes sont mis davantage en avant.

Je ne regarderai pas la suite car je n’accroche pas plus que ça au thème de cette série, d’autant plus que son déroulement semble assez classique et sans surprise, mais il est tout de même dommage qu’elle ne soit pas licenciée.

VERDICT : 

 

 

Kino no Tabi -The Beautiful World-

Automne 2017 - Kino no Tabi -The Beautiful World-

Épisodes vus : 03/12

Cet anime, qui adapte le light novel du même nom, met en avant les voyages de Kino et sa moto qui parle Hermes dans différents pays aux coutumes variées, sa seule règle étant de ne jamais rester plus de trois jours dans la même contrée.  (Disponible chez Crunchyroll)

C’est 14 ans après la première série que débarque cette nouvelle adaptation des romans de Kino no Tabi : remake ? Reboot ? Suite ? C’est en fait un peu tout cela à la fois, car cette nouvelle version se propose d’adapter en priorité les chapitres considérés comme étant les plus populaires, du moins d’après les résultats d’un sondage de 2015 réalisé auprès des lecteurs. Dans le lot, il y a quelques chapitres qui avaient déjà été adaptés dans la version de 2003, mais la majorité des histoires reste inédite : cette série convient donc aussi bien à ceux qui découvrent Kino no Tabi qu’à ceux qui ont déjà vu la précédente adaptation.

Le problème avec cette version 2017 est qu’il est impossible de ne pas la comparer à celle de 2003. Même si le trait est résolument plus moderne et agréable à l’œil, il y a dans cette nouvelle version quelque chose que je n’ai pas retrouvé : le côté fable philosophique. Si la série de 2003 était techniquement moins bonne, j’avais trouvé les musiques et la direction artistique bien plus intéressants, et il y avait surtout un aspect cynique teinté d’ironie que je ne retrouve pas tellement ici (d’un autre côté, la série d’origine aurait visiblement pris de grosses libertés par rapport aux romans). J’attends de voir avec les épisodes suivants, mais pour le moment je suis assez déçue tellement c’est plat ; j’ai également l’impression que les chapitres choisis mettent surtout en avant le côté « action », alors que la version de 2003 proposait surtout des épisodes où Kino faisait plutôt figure de spectatrice sans se mêler directement des affaires des citoyens.

Globalement, le fond est là et on retrouve ce côté épisodique où Kino se rend dans un pays différent à chaque fois, mais je trouve cette nouvelle série fade et sans âme. C’est un peu le même problème que j’avais eu avec le « remake » de Warau Salesman au printemps dernier : la nouvelle série adaptait l’œuvre originale de manière plus fidèle, mais la première adaptation avait plus de personnalité et était plus intéressante à suivre. Même le personnage de Kino me donne une impression différente : l’héroïne existentialiste de la version 2003 est plus expressive dans cette version 2017.

Je regarderai quand même la suite, sans grande conviction, en espérant qu’il y ait au moins un épisode qui me fasse enfin vibrer et me donne envie de réfléchir : ce n’est pas mauvais en soi, mais cette nouvelle adaptation me laisse plutôt de marbre pour le moment.

VERDICT : 

 

Mahoutsukai no Yome – The Ancient Magus’ Bride

Mahoutsukai no Yome

Épisodes vus : 03/24

Chise, une jeune fille rejetée par sa famille qui a le pouvoir de voir des êtres invisibles aux yeux du commun des mortels, est vendue à un sorcier un peu étrange qui décide d’en faire son apprentie, mais également sa future épouse. (Disponible chez Crunchyroll / manga disponible chez Komikku Editions)

Je n’ai pas regardé les OAV et je n’ai pas lu le manga : cette adaptation a donc été mon premier contact avec la série, même si j’avais pourtant entendu beaucoup de bien de l’œuvre d’origine. J’ai en tout cas beaucoup aimé ces trois premiers épisodes, assez différents de ce à quoi je m’étais attendue ; c’est une série plutôt calme et reposante avec certains aspects qui me rappellent un peu Natsume Yuujinchou, notamment vis-à-vis du passé des protagonistes et tout le sentiment de rejet et d’incompréhension qui les entourent, avec l’Angleterre à la place du Japon. J’aime beaucoup tout le côté qui met en avant la découverte de la magie et du folklore, mais mon principal reproche pour le moment est le côté assez plat de l’héroïne. C’est toutefois compréhensible vu son passé, mais j’espère qu’elle gagnera un peu plus en personnalité car pour le moment je la trouve assez fade par rapport aux autres héroïnes aux cheveux rouges de séries récentes, comme Shirayuki de Akagami no Shirayuki-hime ou encore Yona de Akatsuki no Yona.

La série est vraiment jolie, que ce soit au niveau des couleurs ou encore des paysages, et j’aime beaucoup la bande-son pour le moment. Peut-être que le fait de ne pas avoir lu le manga me fait davantage apprécier l’anime, mais j’accroche vraiment beaucoup pour le moment : j’ai hâte de voir la suite et de découvrir un peu plus cet univers féerique et magique !

VERDICT : 

 

Juuni Taisen : Zodiac War

Juuni Taisen : Zodiac War

Épisodes vus : 04/12

Des personnages inspirés des signes de l’astrologie chinoise s’affrontent dans un tournoi mortel organisé tous les douze ans : le gagnant aura le droit de voir n’importe lequel de ses souhaits devenir réalité. (Disponible chez Crunchyroll)

C’est une série que j’ai un peu regardé par hasard : étant donné que ça avait l’air d’être du pur divertissement bien trash et très over the top, je me suis dit « pourquoi pas ». J’avais quand même quelques doutes à la fin du tout premier épisode et j’ai failli ne pas continuer, mais quatre épisodes plus tard je suis toujours là : je suis venue pour le côté gratuit et divertissant, je suis restée pour les personnages et leur histoire. En fait, cette série est nettement moins stupide que ce à quoi je m’étais attendue. Elle est également très bavarde : pas étonnant que Nisio Isin (l’auteur de la série des Monogatari, entre autres) soit derrière le light novel original. Au niveau de la réalisation, ce n’est vraiment pas moche du tout et les scènes d’action sont plutôt bien animées, et dans l’ensemble cela reste très brutal et sanglant.

J’aime beaucoup le fait que chaque épisode soit narré par un personnage différent : du coup, impossible de vraiment savoir qui est le personnage principal de l’histoire (s’il y en a un ?) ni comment tout cela se finira, et j’apprécie vraiment ce côté imprévisible. Pour le moment, les personnages en question sont plus ou moins intéressants, mes préférés étant la fille représentant le Singe car c’est la seule qui a l’air d’être à peu près normale et sensée, ainsi que le psychopathe représentant le Lapin. En tout cas, les histoires expliquant le passé de chaque personnage sont clairement ce que je préfère dans cette série, qui est tout de même assez gore.

Je continue donc cet anime, même si je ne suis pas sûre de le terminer, mais pour le moment j’ai vraiment envie d’en savoir un peu plus sur chacun des personnages (surtout le lapin ! xD).

VERDICT : 

 

Les séries courtes

Quelques titres au court format que je mets à part car il n’y a pas grand-chose à développer dessus, même si je compte les suivre.

Fireball Humorous : troisième saison de Fireball, une série humoristique de quelques minutes que j’aime beaucoup. On y suit le quotidien de Drossel et son serviteur, Gedächtnis, deux robots qui se posent des questions plus ou moins existentielles, et la particularité de chaque saison est de se dérouler des centaines d’années avant la précédente. Je suis en revanche assez triste de voir que cette nouvelle série ne comportera que trois épisodes de deux minutes chacun. :(

Osake wa Fuufu ni Natte Kara (Love is like a cocktail) : une courte série sans prétention sur le thème des cocktails. C’est une sorte de mélange entre Danna ga Nani wo Itteiru ka Wakaranai Ken et surtout Wakako-zake, même si je préfère largement ce dernier, et chaque épisode propose une recette de cocktail (alcoolisé ou non). Ça ne vole pas bien haut mais je pense suivre la série en entier. Disponible sur Crunchyroll.

Les recalés de cette première fournée

Comme d’habitude, je regroupe ici les anime qui ne m’ont pas donné envie de dépasser le premier épisode, parfois au point de ne pas avoir eu envie de le terminer.

Black Clover : une adaptation du shōnen du même nom et que l’on doit au studio Pierrot. Je n’ai tenu que cinq minutes à cause de la voix du personnage principal. :’D

Blend S : je pensais que ça allait être similaire à Hinako Note, voire Piace: Watashi no Italian de l’hiver dernier, mais du peu que j’ai pu voir on dirait plutôt une sorte de mélange entre Working!! et Gochuumon wa Usagi desu ka?. Ce n’est pas vraiment mon truc, mais ça devrait plaire aux amateurs du genre.

Glamorous Heroes : un anime aux épisodes qui durent 5 minutes chacun, le tout étant basé sur un MOBA chinois et ayant pour thème l’e-sport. Doublage atroce, animation inexistante, personnages nullissimes : on touche le fond avec cette série qui n’a l’air d’être licenciée nulle part.

 

La deuxième (et dernière ?) partie de ces impressions devrait arriver la semaine prochaine~ 

5 commentaires

  1. Merci pour le papier et les liens !
    Je vais donner un peu mon ressenti sur ce que j’ai vu moi aussi.

    Houseki no Kuni – L’Ère des Cristaux
    Je vais rester encore vieux jeu en disant que le chara en 3D je ne le digère toujours pas… Il y a tout de même un style particulier, mais il ne me convient pas. De plus ce premier épisode en terme d’accroche est très mal rythmé en première partie ; il perd le spectateur plus qui ne raconte. Du coup j’arrêtes au premier épisode.

    URAHARA
    Attiré par l’esthétique, j’ai vite déchanté au bout de quelques minutes… Le comportement des personnages principaux est totalement déphasé par rapport aux événements. Il est fort probable que cela soit voulu, mais franchement… Cela donne un sentiment d’incohérence à l’oeuvre qui devient vite agaçante. Je vais donc me contenter du premier épisode.

    Kino no Tabi -The Beautiful World-
    Il y a des réussites au niveau des light novels que je n’explique et celui là en fait parti. Par acquis de conscience, j’ai tenu à regarder le premier épisode. Après 5 minutes, je me suis endormi…

    Black Clover
    Le héros est assez énervant en effet, mais ce n’est pas cela qui m’a le plus dérangé. Ce qui m’a fatigué c’est le classicisme de l’intrigue et de la mise en scène… C’est du réchauffé à tous les niveaux du « Shonen » ; insupportable à regarder.

    Mahoutsukai no Yome – The Ancient Magus’ Bride
    Ah enfin l’espoir renaît pour cette saison avec cette adaptation animée ! Je suis entièrement subjugué par l’ambiance et la mise en scène. Le style est certes calme, mais il n’en reste pas moins envoûtant. Un concept simple et efficace dans un univers enchanteur ; je signe de suite en espérant qu’il y ait vraiment de très belles choses à découvrir. Petite remarque tout de même ; le côté passif de l’héroïne me choque un peu, car il accentue l’idée de « femme objet ». Je ne cherche pas à me poser en défenseur des femmes, mais l’idée est quand même un peu gênante ; on nous raconte l’histoire d’un sorcier qui achète une ado de 15 ans pour l’épouser **tousse**

    Juuni Taisen : Zodiac War
    Là aussi très belle surprise, ce juuni taisen n’avait pas l’air folichon au premier abord et au final il se révèle exceptionnel. En même temps je suis un fan inconditionnel de Nisioisin (surtout Katanagatari et Medaka box). Tout le sel de cette histoire tient dans le Background des personnages toujours plus perchés les uns que les autres. Quand on voit le Lapin… On ne peut plus lâcher le truc xD

    Sinon il me tarde de savoir ce que tu as pensé de « Just Because ! » ; du classique réussi ou une énième romance ?

    • Black Clover semble effectivement très classique comme shōnen, mais d’un autre côté je n’ai pas spécialement entendu beaucoup de bien du manga. ^^;

      Pour Mahoutsukai no Yome, l’histoire du mariage et de la situation de Chise m’avait un peu fait gênée quand j’avais lu pour la première fois un résumé du scénario. A ce que disent les lecteurs du manga ça ne tourne pas là-dessus et il n’y a quasiment pas de romance étant donné que ce n’est pas le point central, donc du coup j’ai plutôt confiance pour la suite.

  2. Tout comme toi je n’ai pas accroché au premier tome de l’ère des cristaux, je me suit dit que j’allais voir l’anime pour me décider si oui ou non j’allais acheter la suite. Et bien après 4 épisodes j’accroche vraiment bien ! Mais j’avoue hésiter encore à acheter le manga car je pense que c’est vraiment à cause des dessins que je n’ai pas accroché pourtant comme toi je les trouve pas laid. M’enfin on verra, peut être changerai je d’avis comme tu l’as fait :)

    • L’autre solution est de redonner une chance au manga une fois l’anime terminé, si jamais il t’a vraiment plu et que tu veux connaître la suite. :) Le scénario devient vraiment prenant à partir du tome 3.
      Pour le manga, je pense que le problème est peut-être parce qu’il est un peu confus (personnellement j’avais du mal sur certaines pages à comprendre ce qu’il se passait ou encore qui parlait à qui). Et le fait que les personnages se ressemblent n’arrange pas les choses. ^^;

      • C’est exactement le même problème que j’avais, la compréhension des scènes, et comme tu dis la ressemblance des personnages. Mais je pense que je lui laisserai une chance, du moins, déjà le tome 2 pour voir en espérant accrocher cette fois ci ^^

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