Impressions sur les séries du printemps 2011 (2/3)

Et voici la suite des impressions sur les séries du printemps, cette saison étant vraiment très intéressante au niveau des titres proposés. Cette partie-là ne compte qu’une dizaine de titres, mais ce sera également le cas pour la 3ème et dernière partie.

Comme précédemment, cela va être un peu long, avec des impressions 100 % subjectives qui n’engagent que moi.~

 

STEINS;GATE

Rintarou Okabe, qui se considère comme un scientifique un peu fou, est témoin d’étranges phénomènes, sa mémoire se souvenant d’événements différents de ceux de son entourage.

Steins;Gate est à la base un visual novel issu d’une collaboration entre 5pb. et Nitroplus, sorti sur Xbox360 en 2009 puis sur PC un an après, et enfin sur PSP cet été 2011. Une autre collaboration entre les deux sociétés avant déjà donné naissance à Chaos;Head, les deux séries se partageant par ailleurs le même univers (Chaos;Head se déroulant une année avant Steins;Gate). Heureusement pour lui, Steins;Gate a l’air de s’annoncer quand même mieux que son aîné, avec une intrigue qui traite des voyages temporels et des paradoxes que cela entraîne.

Espérons également que la censure ne sera pas aussi ridicule que dans Chaos;Head, si jamais il y en a. En trois épisodes j’aurais d’ailleurs bien du mal à résumer la série : j’ai trouvé le premier épisode assez difficile à suivre mais heureusement que les deux suivants sont plus clairs et permettent de réellement comprendre ce qui se passe. Le tout est assez intrigant, avec une réalisation aux teintes un peu pâles, et le trait du chara-design original, que l’on doit à Huke (plus connu pour avoir crée Black Rock Shooter), y est retranscrit de manière plutôt fidèle bien que les personnages ont tous l’air d’être des dépressifs. La série avance pour le moment assez lentement, mais j’espère que l’intérêt restera constant tout le long sans donner trop mal au crâne… A part ça, j’accroche tout de même beaucoup plus au scénario qu’aux personnages pour le moment.

VERDICT : j’aime beaucoup l’atmosphère mystérieuse dans laquelle on est plongé, et j’ai toujours eu un petit faible sur les séries traitant du thème des paradoxes temporels. Je suivrai normalement tout.

 

SKET DANCE

Il existe un lycée qui comporte un club particulier, le Sket Dan, et qui résout tous les problèmes de ceux qui demandent leur service.

J’avais déjà lu l’an dernier les trois premiers tomes du manga, dont je n’avais alors jamais entendu parler, et qui ne m’avaient pas laissé un souvenir impérissable… si ce n’est que je n’avais pas tellement aimé, malgré quelques petites idées sympas. La série est un pur shonen, baignant en plus dans un humour absurde parfois très exagéré. Je me suis en tout cas souvenue pourquoi je n’avais aimé le manga en regardant les premiers épisodes de l’anime : je trouve ça trop prévisible, vraiment pas prenant, et avec des personnages beaucoup trop clichés que j’ai du mal à supporter (en particulier le héros).

Je me suis vraiment ennuyée devant cet anime et le fait que le trio doit régler des problèmes pas très passionnants n’aide vraiment pas. Même les enquêtes de Gosick m’avaient un peu plus intéressées que ça. Ce qui me fait peur est que j’ai lu sur plusieurs sites que l’humour ressemblait à celui de Gintama ; et comme j’ai l’intention de regarder Gintama un jour, j’espère bien que ce dernier est quand même plus intéressant que Sket Dance

VERDICT : je m’arrête là car je me suis vraiment ennuyée devant ces trois épisodes et son humour un peu trop poussif.

 

MARIA†HOLIC ALIVE

Suite de la saison 1 où Kanako, une étudiante allergique aux garçons, décide d’entrer dans une école privée pour filles afin d’y trouver l’âme sœur. Elle y fait la rencontre de Mariya, un garçon déguisé en fille légèrement sadique sur les bords.

La première saison, diffusée fin 2008, ne m’avait pas laissé un souvenir percutant à part des génériques très sympas et un premier épisode que j’avais quand même bien aimé. Le reste m’avait semblé assez lourd, le studio Shaft n’y étant pas allée de même morte au  niveau effets de style : si ça va plutôt bien pour des séries comme Sayonara Zetsubou Sensei ou encore Bakemonogatari, pour une série humoristique à la base très banale je trouve que ça ne le fait vraiment pas et ça devient vite très indigeste. Sans parler du running gag du sang qui coule du nez de l’héroïne, utilisé jusqu’à l’excès, et un Mariya pas si présent que ça à l’écran.

Et cette seconde saison, alors ? Ça me rappelle pourquoi j’avais eu du mal avec la première : je trouve ça quand même ennuyeux et pas très drôle, avec une héroïne toujours aussi lourde. A part ça les génériques des deux premiers épisodes, chantés par un Tomokazu Sugita en pleine forme, servent de résumé pour la première série, et j’aurais tenu tout le premier épisode grâce à l’espèce de parodie de Tokimeki Memorial avec cette histoire de déclaration sous un arbre légendaire… avant d’abandonner à la moitié du second épisode.

VERDICT : c’est plus ou moins la même chose que la première saison, je vais donc m’en tenir là.

 

DORORON ENMA-KUN MERA MERA

Des youkai commencent à s’en prendre au monde des humains : une  patrouille spéciale composée de Enma, la princesse des neiges Yukiko et Kapaeru le kappa, est alors envoyée des Enfers pour les renvoyer chez eux.

Avant de commencer cet anime j’ai finalement regardé les deux premiers épisodes de la série originale de 1973 et lu le manga de Go Nagai sorti la même année. Ceci aura donné un très amusant jeu des sept différences permettant de voir comment une même œuvre peut donner trois versions qui ne commencent pas de la même manière, ne mettent pas en avant les mêmes personnages et se déroulent un peu différemment.

Ce remake m’a quand même semblé un peu plus fidèle au manga, et c’est  assez surprenant de voir qu’il se déroule toujours dans les années 70, le studio Brains Base n’ayant pas voulu moderniser l’intrigue : ça donne un petit côté rétro pas déplaisant du tout. J’ai en tout cas beaucoup aimé l’animation et la direction artistique, avec cette volonté de faire un anime qui garde l’esprit des séries des années 70 tout en utilisant des « codes » que l’on voit uniquement dans les anime récents (notamment au niveau des mimiques des visages des personnages). On sent aussi que le staff derrière cette série est le même que celui de Gaogaigar, ne serait-ce qu’avec le coup de l’attaque ultime de Enma qui est un marteau géant enflammé. L’anime est donc un gros délire qui ne se prend pas au sérieux, avec de l’action, du fan service et de l’humour au ras des pâquerettes.

VERDICT : j’ai beaucoup accroché à ces deux premiers épisodes, bien que ça reste très spécial avec un humour parfois lourd. Un bon gros délire que je suivrai avec plaisir.

 

30-SAI NO HOKEN TAIIKU

Hayao, 30 ans, se désespère de n’avoir jamais connu l’amour.

Cet anime est adapté d’un guide pour les trentenaires n’ayant jamais eu de relation (romantique ou sexuelle) avec les femmes, et qui aura également connu une version manga. Cette série joue en tout cas la carte de l’humour bien lourd avec la présence d’un dieu, Daigoro, venu aider le héros qui a l’air désespéré de ne pas rencontrer l’âme sœur et veut se débarrasser de sa virginité. Je ne m’attendais en tout cas pas une série avec une réalisation aussi minimaliste et aussi peu inspirée, d’autant plus que n’ai pas trouvé ça très drôle non plus mis à part peut-être deux ou trois gags.

J’ai quand même eu du mal à terminer le premier épisode, mais je me suis dit que le second serait peut-être mieux… et bien non, ça reste dans la même veine, avec l’arrivée d’un shota en plus. La censure présente était dans un sens plutôt amusante mais bien trop exagérée, à un point tel que le premier épisode en était parfois incompréhensible. Le tout est réalisé par la même personne derrière la série Tono to Issho, ce qui explique aussi beaucoup de choses…

VERDICT :  …serait-ce le plus mauvais anime de la saison ?

 

TIGER & BUNNY

Les mésaventures de super héros qui font partie intégrante d’un show télévisé et sont employés par des agences.

Sunrise nous propose pour cette saison non pas une série de robots mais de super héros, et ça change un peu. Je ne suis pas très fan de l’abus de 3D qui se permet en plus d’être horriblement moche, et le résumé de la série ne m’attirait au départ pas plus que ça, alors qu’en fait on a là quelque chose de sympa avec pour une fois un personnage principal qui a la quarantaine et est père de famille, et un duo de héros qui promet d’être intéressant.

Dommage toutefois que le trait de Masakazu Katsura, qui a servi de chara-designer, soit méconnaissable et que le côté « sponsorisé » de partout de cette série ne s’en cache vraiment pas, les héros arborant des marques telles que Bandai, Pepsi ou encore Softbank en gros sur eux. Le contexte reste en tout cas intéressant, et ce n’est pas tous les jours que l’on voit un anime avec ce genre de thème. Une bonne surprise en tout cas, car ce n’est certainement pas la série que j’attendais le plus pour ce printemps.

VERDICT : j’ai trouvé ça très sympa et avec une bonne grosse dose de dérision : je regarderai tout, en espérant que ça tienne la route tout le long.

 

C: THE MONEY OF SOUL AND POSSIBILITY CONTROL

Kimimaro, un étudiant en économie à l’université, se voit un jour approché par un étrange homme qui lui propose une forte somme d’argent à condition qu’il le rembourse. Depuis, le héros est attiré dans un étrange lieu nommé le « quartier des finances ».

En voilà un anime pour lequel je ne sais pas trop quoi penser, et qui est la seconde série de la case horaire de Noitamina cette saison. Je m’attendais au départ à un truc sérieux sur le thème de l’argent et une critique de la société capitaliste, alors imaginez un peu ma tête quand j’ai vu les combats à la Yugioh… L’anime en lui-même est assez étrange et possède quelques passages qui rappellent Kuuchuu Buranko, ce qui est un peu normal car le réalisateur derrière est le même : Kenji Nakamura. On a en tout cas droit à une réalisation plutôt bonne (mis à part le chara-design dont je ne suis personnellement pas très fan), avec en prime un découpage qui fait très jeux vidéo.

L’anime a un thème de fond qui m’intéressait avec cette dimension parallèle, mais voir qu’il s’agit en fait d’une dimension qui met en scène des combats avec des cartes et des monstres m’aura énormément refroidie. J’espère donc que le « pacte » du héros afin d’avoir plus d’argent et ainsi pouvoir gagner l’amour de la fille qu’il aime ne se transformera pas en espèce de tournoi de Pokémon géant, mais je suis tout de même curieuse de voir vers quoi la série va réellement se diriger et quelle est la relation entre ce monde parallèle financier et le monde réel.

VERDICT : pour le moment je ne sais pas trop quoi penser de la série, qui me fait l’effet d’un mélange invraisemblable entre Higashi no Eden et Yugioh. En tout cas je regarderai la suite car c’est très intrigant.

 

SEKAIICHI HATSUKOI

Onodera Ritsu vient d’être transféré dans la section shoujo manga d’une maison d’édition. Il y rencontre l’éditeur en chef, Takano Masamune, qui est en fait son premier amour du lycée…

Ça a l’odeur de Junjou Romantica, ça a le goût de Junjou Romantica, mais ce n’est pas Junjou Romantica. Y aurait-il un rapport ? Et bien oui, car les deux séries ont été adaptées d’un manga écrit par le même auteur, Shungiku Nakamura, et le staff derrière l’adaptation anime est sensiblement le même dans les deux cas.

A part ça, c’était bien classique, avec un gentil héros uke bien niais qui passe son temps à rougir et à être perturbé par un seme qui est bien évidemment un grand brun ténébreux et mystérieux : quelle originalité. C’est bien pour ça que je n’aime pas vraiment les anime BL : beaucoup ont tendance à être bien plus classiques et niais que les shoujo les plus fleurs bleues, et c’est assez énervant. Pourtant je suis sûre qu’il y a des titres yaoi beaucoup plus intéressants que ça. Bref, je n’ai pas voulu aller plus loin que ce premier épisode, qui m’aura suffit.

VERDICT : à réserver aux amateurs de BL.

 

ANO HI MITA HANA NO NAMAE WO BOKUTACHI WA MADA SHIRANAI

Des amis d’enfance très liés ont fini par se séparer et vivre chacun leur vie. L’un d’entre eux, Jintan, a fini par s’enfermer chez lui et ne va plus à l’école.

J’ai été assez surprise de voir ce genre d’anime dans la case horaire Noitamina, d’autant plus que ce n’était pas trop ce à quoi je m’étais attendue. Cette série est une production originale qui promet d’être intéressante ; si j’ignore l’horripilante Menma qui m’aura plus que tapée sur les nerfs (je suis malheureusement complètement allergique à ce genre de personnage, et le fait que ce soit une petite fille n’excuse rien :x), j’aurais tout de même bien apprécié ces deux premiers avec un thème de fond qui n’est pas plus joyeux malgré quelques touches d’humour d’un goût douteux (« Anaru »…).

Le chara-design qui est le même que celui de Highschool of The Dead et Toradora m’aura également un peu surprise au début, mais pour le reste j’espère franchement que la série ne cèdera pas à la facilité : révéler dès le départ que Menma est un fantôme et qu’en plus elle en est parfaitement consciente est une bonne idée je trouve, et ça évitera sûrement de donner un truc comme l’arc de Fuuko dans Clannad, avec la fin niaise qui va avec. N’empêche que pour le moment ce qui m’intrigue le plus est le pourquoi du comment de la mort de Menma.

VERDICT : la série est très joliment réalisée, reste à voir si là aussi ça va tenir sur la longueur, en espérant que la série ne se finisse pas en queue de poisson.

 

KAMI NOMI ZO SHIRU SEKAI 2

Keima, le dieu des jeux de drague, doit continuer à capturer des esprits qui se cachent dans le cœur de certaines filles.

Suite directe de la première série diffusée en octobre dernier, cette seconde saison est exactement la même chose, y compris avec un générique de début dont le découpage est très similaire à celui du premier, même si le résultat, niveau musical, est largement en-deçà et donne un peu une impression de bouillie musicale (est-ce que ELISA sait au moins ce qu’elle chante ?). Je regardais surtout la série pour ses références aux dating sims, les arcs de la première saison ayant été assez inégaux, et n’ayant finalement beaucoup aimé que le premier et le tout dernier épisode.

Cette seconde saison s’annonce pour le moment dans la même veine, mais en moins drôle. Après tout cela ne peut que s’améliorer, mais j’ai peur du côté répétitif ; et c’est pour cela que j’espère tout de même qu’il va se passer quelque chose pour changer un peu la routine… d’autant plus que d’après le générique de début, il n’y aurait que trois filles, ce qui me parait peu pour durer douze épisodes.

VERDICT : je jetterai un œil au troisième épisode mais je ne pense pas tout suivre.

 

22 commentaires

  1. À propos d’Enma, il y a aussi eu une série de quatre OAV (Kikoushi Enma) qui montraient des personnages adultes dans une atmosphère bien plus sombre que la série de base. Pas inoubliable, et sûrement très éloigné de l’ambiance de base, mais ça se regarde bien. Surtout les deux dernières qui rajoutent un côté meutres à huis clos.

  2. « et de l’humour au ras des pâquerettes. »

    Parfaitement résumé.

    Et ouaaaais ! Showa Monogatari fansubbé, le WE commence bien ^^

  3. Le début de Sket Dance est trompeur, avec ses pseudos-enquêtes et problèmes à résoudre qui donnent une impression de sous série de détective avec un peu plus d’humour pour se démarquer. En fait on bascule par la suite vers de la pure comédie, les scénarios deviennent complètement débiles et ne se prennent jamais au sérieux. Le début n’est qu’un prétexte à introduire toute une galerie de personnages loufoques que l’auteur ramènera par la suite à son gré pour varier les gags. Ca devient bien plus drôle à ce moment là.
    Je ne sais pas si l’anime de passer plus vite cette phase justement, vu qu’ils ont l’air de sauter des chapitres, mais vu que des gags passent à la trappe avec, je me demande si ça ne produit pas un résultat encore moins attractif…

    Et pour Kami Nomi, je suppose qu’on te l’a déjà dit, mais l’anime est une adaptation propre mais au rythme plus lent que le matériel d’origine, ce qui accentue ce côté répétitif. Qui est présent dans le manga aussi, mais comme ce dernier dépote plus, ça passe mieux.

  4. Je trouve que le « Anaru » (« Anal », pour ceux qui cherchent l’allusion indélicate) n’a rien de vicelard, c’est plutôt mignon étant donné que c’est un surnom innocent qui date de l’enfance à la base (l’allusion étant tombée après coup), mais l’humour libido est bien présent au début du premier épisode effectivement. J’ai aussi été agréablement surpris par le résultat final, et l’orientation résolument dramatique qu’a l’air de prendre la série (les quelques pistes au piano sont dores et déjà fort charmantes), ça aurait même pu faire un bon long métrage à part entière vu la qualité d’animation. Le côté Clannad/Kanon/romances à la Key n’est pas si présent que ça puisqu’on parle moins d’amour que du fossé qui sépare souvent l’enfance de l’adolescence pour le moment, avec tous les traumatismes qui vont avec.

    Si Menma et un peu over the limit niveau légèreté de caractère, ça ne m’a pas empêché de trouver touchante la fin du premier épisode, ou le moment où les flashbacks du protagoniste remontent, du coup le personnage me gêne moins que ce que laissait présager le début de l’épisode. Et je trouve le design et le script vraiment réussis pour le moment (la présence de Mari Okada sur le projet me fait tout de même un peu peur), surtout pour une série originale.

    Une des séries que je suivrai avec le plus d’attention, avec Enma-kun (le triple self-comeback était épique) et moins fidèlement Tiger&Bunny (enfin une série originale sur le thème des super-héros mode comics qui m’accroche, avec des personnages adultes qui plus est). Nichijou étant mon petit plaisir coupable la saison :)

  5. Les séries que je ferais certainement :

    – Steins;Gate : J’ai bien aimé Chaos;Head et pour l’instant l’histoire a l’air sympathique et j’aime bien le héros XD
    – Ano Hana (titre trop long XD): Je n’ai vu que le premier épisode que j’ai bien apprécié et je regarderais la suite même si Menma me tape sur le système aussi.
    – Sket Dance : Premier épisode sympa et j’aime bien les personnages. Donc je pense la suivre mais une fois qu’elle sera fini.
    – Dororon Enma-kun : Envoyant les images j’avais peur que ça soit trop ecchi mais c’est supportable. Le coup de la grand-mère m’aura fait rire tellement c’est exagéré XD. Koyasu en kapaeru m’aura surprise je ne m’y attendais pas du tout et j’avais même pas reconnu sa voix :/ mais étant une grand fangirl je vais regarder et puis pour 12 épisodes ça passera vite.
    – Tiger et Bunny : Je le regarderais sur KZplay quand elle sera entièrement sortie et j’ai apprécié le premier épisode.
    – C : Je regarderais sur Wakanim, je pense commencer aujourd’hui, déjà vu le premier épisode en raw et j’ai bien aimé, je pense que se sera plus profond que Yugioh, j’ai été surprise mais dans le bon sens donc pour moi c’est une excellente surprise.
    – Kami nomi II : Vu les 2 épisodes sortis et j’aime bien, c’est dans la continuité de la première saison. Mais je ne supporte pas Elsy sa voix me fait mal aux oreilles :/ et j’espère que la nouvelle démone ne sera pas comme Elsy sinon je la supporterais pas. Keima par contre toujours aussi bien, très bon perso.

    Et puis mon pêché mignon c’est Sekaiichi Hatsukoi j’ai adoré Junjô Romantica et j’adore cette série aussi. Au moins ça ne commence pas de la même façon au bout de 2 épisodes ils n’ont pas encore passé à l’acte (rare pour un yaoi huhu) et j’apprends plein de choses sur l’éditions du manga en tous cas je la suivrais chaque semaine. Et je préfère les yaoi au shojo, voir une fille niaise c’est chiant, par contre pour les garçons c’est différent, je trouve ça drôle et mignon. Enfin je suis bizarre xD

  6. Merci Ialda pour la bonne nouvelle concernant Showa Monogatari. Tu fais mentir Exeleen et ça me fait plaisir ^^.
    J’ai beaucoup apprécié le premier épisode de Ano Hana. Si la série ne tombe pas dans le sentimentalisme facile, ça promet du bon avec tous ces personnages qui se sont perdus de vus et qui risquent de se retrouver. Un thème assez piègeux et risqué qui pourra donner le meilleur comme le pire.
    Idem que toi pour « C » : le premier épisode m’a laissé froid, mais je suis quand même intrigué.

    Pour ta deuxième sélection, ce sera tout pour moi:
    Steins;Gate: je ne sais pas pourquoi, j’ai l’impression que c’est le genre d’anime « mystère » vu des centaines de fois. Je préfère laisser les autres se casser le nez dessus, et s’il est encensé, je regarderai à la fin.
    Idem pour Tiger et Bunny.

    En avance pour ta dernière édition de début de saisons:
    Deadman Wonderland sera diffusé en France sur Dailymotion grâce à Dybex. Avec une semaine de décalage. Début la semaine prochaine :).

  7. Pour Enma, ce qui arrive à la licence (comme pour Shin Mazinger avant lui) souligne bien l’évolution de la société.
    Les projets de Go Nagai dans les années 70 étaient pensé en multi-supports, avec des manga le plus souvent politiquement incorrects de l’auteur (avec du sexe et de la violence à gogo), et des animes édulcorés, même si tout de même pour certains assez osés (comme celui de Cutie Honey).
    L’oeuvre de Go Nagai a connu un regain de notoriété grâce au format OAV, qui a permis de produire pas mal d’adaptations (souvent trop courtes) beaucoup plus proches de l’esprit d’origine des manga.
    Finalement, ces dernières années, nous avons des animes TV qui s’approchent aussi de cet esprit. Je trouve que c’est plutôt une bonne chose, ^^

  8. Au sujet de SKET dance : « Ce qui me fait peur est que j’ai lu sur plusieurs sites que l’humour ressemblait à celui de Gintama »

    J’ai vu les premiers épisodes de Sket Dance, et jusque là, même si l’humour absurde n’est pas si mal, c’est, loin, loin du niveau du Gintama. La différence vient du fait que le comique de Sket Dance joue sur l’absurde pur (et presque que sur ça), alors que Gintama est beaucoup plus réfléchi, sous des dehors d’humour parfois pas très fin.

  9. Pas faux même si l’évolution du style des contenus est sans doute aussi moins linéaire et plus compliqué que ça, pas mal de séries des 80s étaient limite question violence (Ken, Seiya) ou coquineries (les bikinis de Lum ou de la DP, parfois un peu de loli surtout en début de décennie, l’utilisation de détails anatomiques même dans des séries pour enfants alors que de nos jours même certaines adaptations d’eroge hésiteraient à deux fois), avant de connaitre un recul dans la première moitié des 90s (si on compare les séries animées de AIC/Pioneer avec leurs équivalent en OAV par ex, Ranma TV vs film/OAV Cutey Honey F vs Shin, ou encore un Bakuretsu Hunter TV vs son manga, on voit bien que les premières sont souvent bien plus ‘sages’ – bon après il y a évidemment des exceptions, genre dans DBZ où on continuait à bourriner sec et à éclater des planètes entières).

    (et les cases de diff nocturnes faussent un peu l’analyse, étant d’une part un marché particulièrement ciblé et d’autre part dont l’utilisation massive est relativement récente)

    Ça fait un peu analyse de comptoir comme ça, il faudrait peut-être débattre et creuser un peu plus la question.

    inico> comme toi ^^ et curieux de voir si la série multiplie les références historiques et s’il y a des choses intéressantes à y apprendre :)

  10. Il n’y a pratiquement rien qui m’intéresse cette saison-ci, en dehors des OAV. J’ai failli mettre « vraiment rien » d’ailleurs, vu que je ne pensais pas suivre la seule série BL. Cependant, j’ai lu de bonnes critiques de gens plus difficiles qui moi, qui trouvent que cette série garde les bons côtés de Junjou Romantica et vire les mauvais. De plus, il semblerait qu’elle évoque aussi le monde de l’édition. Par contre, l’OAV qui débute la série est trèèèèèèès mignonnette XD

    Je pense aussi qu’il y aurait moyen de faire des animes BL moins gentillets, mais j’ai l’impression que les auteurs basculent tout de suite dans le trash à tendance SM dès qu’ils tentent autre chose (Maiden Rose par exemple, alors que le manga est bien pourtant). Bien sûr, il y a Ai no Kusabi, mais bon… Il n’y en a pas beaucoup à part lui (Fuyu no Semi ? Fake ?). De toute façon, le BL n’est pas un genre à découvrir en anime. Il n’y en a pas assez et ils sont souvent moyens, voire mauvais.

    Par contre, je trouve les romances shôjo beaucoup plus niaises moi (et toc ! ^o^). Mais je pense que c’est vraiment une question de point de vue. En fait, je crois que j’ai de plus en plus de mal à supporter les personnages féminins gnangnans, à moins que ce ne soit les personnages féminins qui sont de plus en plus gnangnans. D’ailleurs, cette tendance m’ôte souvent l’envie de regarder un anime, même dans d’autres genres que la romance shôjo.

  11. Alors là, je suis juste déçu, Maria†Holic Alive c’est ze anime que je louperai pas dans cette saison. C’est débile, hallucinant, SHAFTien! Et surtout c’est avec Sayonara Zetsubou Sensei et Excel Saga une des rares séries où je ne passe pas un épisode sans mourir de rire. Oui j’adore le non-sens. Et j’adore le running gag nosebleed aussi :v

    Steins;Gate me donne envie (le VN ChäoS;HEAd était très bon), mais l’adaptation pitoyable de C;H me tient éloigné de cette série, par méfiance. Bon, avec 24 épisodes, on devrait avoir quelque chose de bon, mais je me méfie. Déjà que C;H avait eu ses plus grands moments censurés (ouh la boite avec le téléphone portable je pense à toi~)

  12. Le problème avec Kami nomi 2, c’est que c’est trop leeeeeeeeeeeeeent. C’est pourquoi je lis le manga, et a partir du chapitre 60, l’histoire change énormément, la quête prend forme, les ennemis apparaissent. Si l’anime reste aussi lent, le véritable début serait la fin de la saison, juste avant l’arrivée de Tenri.

    SKET Dance, c’est fait par un assitant de Ħideaki Sorachi (Créateur de Gintama), c’est pourquoi l’humour se ressemble assez. L’humour de Gintama est beaucoup mieux, à mon avis.

    J’ai tous regardé dans cette liste, sauf Tiger & Bunny, je me suis fait dire que ça ne valait pas la peine. Ça vaut la peine de regarder?

  13. Je regarderai SKET dance simplement pour le seiyuu Tomokazu Sugita (Gintama) <3
    (et effectivement aucune comparaison possible a part ça)

  14. Bonjour, j’ai une simple question pour Steins;Gate, est-ce que je dois voir Chaos;Head avant ou il n’y a pas vraiment de liens entre les deux ?

  15. Johann > c’est prévu, il faudrait que je les regarde d’autant plus que c’est Brains Base qui en avait fait également l’adaptation.

    Gen’ > parfois j’ai l’impression qu’il n’y a que Mari Okada pour s’occuper de la composition et de l’écriture du script d’un anime, c’est impressionnant le nombre de séries sur lesquelles elle travaille en simultané dans une même saison… En tout cas AnoHana reste pour le moment vraiment prometteur comme série, j’espère juste qu’on ne tombera pas dans du drame forcé, ça serait dommage.

    Angelkappa > tiens, pareil que toi, je n’avais absolument pas percuté que c’était Koyasu qui prêtait sa voix à Kapaeru. xD

    Gemini & Ialda > En effet cette évolution du style des contenus serait intéressante à analyser. :-) Je trouve que c’est une bonne chose cette évolution, cela permet vraiment d’avoir enfin des anime qui sont plus « respectueux » et proches de l’œuvre originale. Il me semble aussi que d’autres anime comme Hakaba Kitarou, la série de 2008, était plus proche du manga original que toutes les autres adaptations très enfantines de GeGeGe no Kitarou.

    Kirox > Bon, je crois que pour KamiNomi je vais définitivement abandonner l’anime et passer au manga.

    Natth > en fait j’ai souvent l’impression en regardant un anime BL de voir un shoujo où l’héroïne aurait été remplacé par un héros, ce qui est dommage. Après c’est sûr que certaines œuvres sont plus niaises que d’autres, que ce soit au niveau BL ou shoujo (d’ailleurs à ce niveau-là j’ai été profondément traumatisée par l’anime de Gakuen Heaven xD), mais j’aimerais bien de temps à autre quelque chose de plus sombre… sans non plus verser dans le trash.

    Cetais > Tiger & Bunny ça reste bien sympa, tu peux tenter le premier épisode pour voir si tu accroches au style ou pas. C’est quand même un peu spécial.

    Nirvax > mis à part que les deux séries se déroulent dans le même univers, le reste n’a rien en commun : tu peux donc regarder Steins;Gate sans avoir vu Chaos;Head avant.

  16. C’est d’autant plus effrayant qu’elle semble être une grande experte de la retombée de flan, Fractale aussi était prometteuse la saison passée, et on se retrouve avec une impression finale très mitigée (et j’essaie encore d’oublier Canaan). Le danger, c’est qu’Ano Hana s’embourbe dans cette dimension dramatique intéressante à condition qu’elle ne soit pas trop envahissante et qu’on ne finisse pas par tourner en rond. Pour l’instant, les épisodes arrivent à maintenir ce brin de nostalgie qui me fait sourire en sucré-salé (j’aime ces regards bourrés de non-dits, je les connais trop bien – Tsuruko est peut-être celle qui cache le mieux son jeu à ce niveau là malgré son indifférence affichée -), je suis curieux de voir ce que la série va nous proposer par la suite, puisqu’on dévoile déjà pas mal de choses au départ, le souhait de Menma lui-même étant plutôt évident (suffit de voir l’op).

  17. A propos de Sket Dance, il faut attendre 40 chapitres (dès le premier arc, celui du passé de Switch) avant que ça devienne réellement intéressant. C’est comme pour Gintama ou les Simpsons, il faut attendre que l’auteur mette en place les personnages récurrents et l’univers avant de bien délirer sur les aventures délirantes du trio. L’animé est quand même en deçà du manga à cause d’un rythme trop lent.

  18. mdr je trouve sekai ichi hatsukoi ou junjou romantica bien moins niais que kimi no todoke par exemble ok kimi wa todoke c’est bien fait c’est un rienfler bleu et touchant mais qu’est se que c’est niais et l’heroine est complètement surealiste au moins les personnages de bl on l’avantage d’etre plus credible et des caracteres plus reels dans leur vision du monde que oh ! mon dieu pourquoi truc nuche est mechante avec moi je fais pleuré!! et pourquoi machin me tient la main j comprends rien! car desole mais sawako c’est le genre d’heroine tete a claque au possible avec torhu honda!

  19. apres la version anime de sekai ichi hatsukoi n’est pas aussi reussi que celle de jounju romantica ils ont etiré la serie en longueur et parfois il ne se passe rien dans la saison 1 notament alors que dans jounju on apprenez un tas de chose en 1 episode. en tant que fan de bl je repproche aussi la censure des scènes osés, ok c’est normal pour une serie tv mais dans jounju ils avaient su preservé quelques scenes sensuels sans trop montrer tandis que dans sekai tout est passé à la trappe et ces scenes amenent parfois une sacré dimention car elles peuvent encore plus approcher les personnages ou donner une ambiance dramatique non les scenes osés sont pas forcement juste pour faire du x certaines donnent une reel ambiance tragique et romantique comme celle de hiroki x nowaki dans la bibliotheque qui est superbe! pourquoi celle de sekai hatsukoi sont elles passaient à la trappe?

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