ANIME – Impressions en vrac #32

Voici mes impressions sur quelques anime vus dernièrement. Il y a un peu de tout et de n’importe quoi, mais cette fois-ci ce sera plutôt spécial, car il n’y aura pas trop de nouveautés et quelques bonnes vieilles daubes ; et ça fait du bien, de temps en temps. Cela permet de mieux apprécier les séries récentes et de me dire que finalement, certaines ne sont pas si mauvaises que ça !

Et comme d’habitude, mes impressions sont purement subjectives.

 

Genius Party

Genius Party

Courts métrages – Impression générale :

J’avais au départ complètement oublié cette série de courts métrages créées par différents réalisateurs et sortie en juillet dernier, alors que je voulais vraiment la regarder.

Bon, comme il va y avoir des choses à dire, je vais y aller segment par segment !

"Genius Party" (Atsuko Fukushima)« Genius Party » (Atsuko Fukushima) : cette séquence qui fait plus office d’introduction qu’autre chose est très bizarre, colorée, incompréhensible et expérimentale. D’un autre côté c’est mignon, avec une sorte d’autruche et des pierres qui ont des cœurs au-dessus de la tête. Ça ne dure que cinq minutes, c’est très coloré et vivant, mais je ne pense pas qu’il faille chercher là-dedans un quelconque sens ou une symbolique, on va juste dire que c’était purement artistique. La manière dont le titre « Genius Party » est ensuite arrivé dans la séquence animée, ça ma rappelée Robot Carnival. Pas étonnant puisque Google me dit que la réalisatrice a crée les séquences d’ouvertures de ces deux séries de courts métrages, justement.

"Shangai Dragon" (Shouji Kawamori) « Shangai Dragon » (Shouji Kawamori) : la première partie étant en chinois, merci les sous-titres ! Cette séquence a été réalisée par le papa de Macross, et on peut dire que c’était plutôt divertissant, avec de l’action et de la comédie. Un « matérialisateur » de pensée tombe dans une cour d’école, et un enfant arrive à l’utiliser, mais la première chose qu’il fait c’est de faire apparaître de la bouffe. Au départ je pensais que ça allait être un truc sérieux mais en fait c’était plus un gros délire qu’autre chose, surtout avec le gosse qui finit par se transformer en héros de sentai, pour faire comme à la télé : ça m’a vraiment fait penser à Wingman. Sinon, j’ai trouvé que ça trainait un peu trop en longueur, mais j’ai bien aimé la séquence finale sur le dos du dragon.

"Deathtic 4" (Shinji Kimura)« Deathtic 4 » (Shinji Kimura) : une partie toute bizarre et toute gentiment glauque, en CG. Bon, ils parlaient une langue incompréhensible, qui m’avait tout l’air d’être une langue d’Europe du nord ; heureusement que tous les dialogues sont traduits en japonais. En tout cas on dirait du Tim Burton couplé à du Petit Vampire, une sorte d’histoire sortie tout droit de l’imagination d’un enfant. J’ai bien aimé ce petit garçon qui vit dans le monde des morts et qui cherche à tout prix à cacher sa grenouille, qui est un être vivant, ces derniers étant interdits. C’était assez drôle, mais au final j’ai moyennement aimé, car j’ai trouvé ça justement un peu trop enfantin.

"Doorbell" (Yuji Fukuyama)« Doorbell » (Yuji Fukuyama) : Le chara-design assez classique et rétro tranche nettement avec les trois autres séquences précédentes. J’ai tout de même bien aimé cette histoire où le héros se rend compte qu’un double a pris sa place dans sa famille, et que plus personne ne peut le voir. J’ai toujours eu un gros faible pour ce genre de scénario où on ne comprend pas ce qui se passe et on se demande à chaque instant ce qu’il va arriver, car au moins je suis sûre de ne pas m’ennuyer. Même si la conclusion tombe un trop vite et que j’imaginais bien un délire à la Perfect Blue, sauf qu’en treize minutes il ne fallait pas non plus rêver. En tout cas j’aimerais bien voir un film ou une série entière exploiter ce concept, ça m’intéresserait beaucoup.

"Limit Cycle" (Hideki Futamura) « Limit Cycle » (Hideki Futamura) : Arg. C’est la partie que j’ai la moins aimée, car j’ai trouvé que c’était surtout horriblement prétentieux, avec ce long monologue sur le sens de la vie, Dieu, les probabilités, le futur, et j’en passe. Le style fait penser à de véritables acteurs, et le visuel était plutôt intéressant, mais à part ça c’était plutôt un charabia incompréhensible, indigeste et confus ; c’était bien trop compliqué pour mon petit cerveau, la métaphysique n’étant pas mon fort.

"Happy Machine" (Masaaki Yuasa)« Happy Machine » (Masaaki Yuasa) :mon segment préféré. Normal, c’est du Masaaki Yuasa, et on dirait la transition parfaite entre Kemonozume (pour la tronche du gamin) et Kaiba (pour tout le reste). Ça se sent d’ailleurs que ça a été crée juste avant ou en même temps que ce dernier, car j’ai ressenti la même atmosphère toute bizarre mais terriblement inventive et intéressante. J’ai adoré ces quinze minutes, même si ça pose plus de questions qu’autre chose, questions par ailleurs totalement inutiles ici (d’où sort la petite flamme vivante du début ? Pourquoi l’enfant a été éjecté de sa machine ? Est-il la seule personne dans ce monde ? D’où sortent ces bébés ? Est-ce que tout cela n’est qu’un cercle sans fin ?). Mais ma séquence préférée reste le tout début, lorsque l’enfant joue avec l’espèce de flamme. Sinon, je reste partagée quant à dire si c’était plus morbide ou amusant, parce que le début est un peu traumatisant (la fausse mère virtuelle !), et que le reste est ponctué d’un peu de comédie (la bestiole qui boit l’urine…), tandis que le bébé, personnage central, expérimente toutes sortes de sentiments : la peur, la joie, la curiosité, la tristesse… Bref, tout ça m’a donnée envie de revoir Kaiba, et il faudrait aussi que je regarde un jour Mind Game, du même réalisateur.

"Baby Blue" (Shinichiro Watanabe)« Baby Blue » (Shinichiro Watanabe) : Et on termine en beauté avec ce magnifique « Baby Blue », que l’on doit au réalisateur de Cowboy Bebop et Samurai Champloo, ou comment faire mieux que Makoto Shinkai en seulement quelques minutes. Et là je dis bravo. En tout cas j’ai beaucoup aimé ce segment, très tranche de vie, avec cette escapade d’un lycéen qui va déménager, et qui propose à son amie d’enfance de faire l’école buissonnière et d’oublier le reste, le temps d’une journée. Très joli et pas cucul, et j’ai aussi beaucoup aimé la scène finale avec du Chopin version Yoko Kanno en fond. Mais bon, on aurait vraiment dit du Makoto Shinkai, tellement le style semble similaire. J’aimerais en tout cas bien voir un jour une série de romance façon Shinichiro Watanabe.

Au final, difficile de dire ce que j’ai préféré comme court métrage, même si je placerai « Happy Machine » au-dessus de « Baby Blue », parce que j’adore ce que fait Masaaki Yuasa. Donc mon ordre de préférence donnerait quelque chose comme : Happy Machine > Baby Blue > Doorbell > Shangai Dragon > Deathtic 4 > Genius Party >>>>> Limit Cycle.

En tout cas, vivement la seconde série de courts métrages de Genius Party !

 

Chocolate Underground

Chocolate Underground

ONA 10 à 13 (FIN) – Impression générale : 

Et voilà, cette courte série s’achève. C’était bien sympa comme tout, mais ce n’est clairement pas le genre d’anime qui me laissera une grande impression, et dont j’oublierai sûrement l’existence bientôt ; je n’ai d’ailleurs même pas retenu le nom d’un seul des personnages, c’est dire… à part celui du robot du méchant, le « Neo Cacao ». Un tel format d’épisode ne permettait pas non plus de développer grand chose, mais ce n’est pas comme si j’en attendais grand chose, non plus. Ça reste en tout cas bien gentillet, et dommage que la fin soit aussi niaise, notamment lors du discours final (« Le chocolat rend heureux, il ne faut pas l’interdire sinon les gens ne pourront plus rêver »… ).

En tout cas, tout est bien qui finit bien, et je ne serai pas contre une autre série de ce genre, mais avec un format un peu plus long; à moins de faire quelque chose d’épisodique comme pour Chi’s Sweet Home.

 

Mobile Suit Zeta Gundam

Mobile Suit Zeta Gundam

Épisodes 1 à 25 – Impression générale : 

Je vais un peu parler de Zeta Gundam : au bout de 25 épisodes, il était temps que je fasse le point.

J’ai quand même commencé à regarder cette série en février, et j’en suis à peine arrivée à la moitié. Pourtant j’aime beaucoup, mais le problème c’est certains personnages têtes à claque qui m’ont fait mettre la série en pause pendant quelques temps. Le premier c’est Katz, ce sale gosse qui ne fait que des conneries et veut se battre avec les autres alors qu’il est nul ; bref, heureusement que l’on ne le voyait pas trop à l’écran, jusqu’à ce qu’il réapparaisse vers l’épisode 23. ARG.

L’autre personnage qui m’a énervée, c’est Bertochika (plus sûre de l’orthographe), la blondasse inutile qui colle tout le temps Amuro. :D Après, il y en a d’autres que je n’ai pas trop aimé, mais que je trouve pour le moment supportables, comme Emma et Fa. Je trouve donc ça dommage que certains personnages soient des boulets, mais encore plus dommage que la plupart semblent carburer au Prozac. Finalement, il n’y a que Kamille et Char que j’aime beaucoup (et Four aussi, mais surtout pour son design et son Psycho-Gundam).

Après ça, j’aime beaucoup le scénario, et la multitude de personnages très intéressants, surtout du côté des antagonistes. Et puis ça fait vraiment un bien fou de ne pas avoir de super gundam qui bute la tronche de tout le monde et de deus ex machina ridicules, je sens que ça va être dur la reprise de Gundam 00 à la rentrée.

Bref, pour la suite de cet anime, mon visionnage va de toutes façons très certainement s’accélérer, car sinon avec toutes les futures nouveautés d’octobre je vais avoir du mal à tout suivre !

 

Legend of Duo

Legend of Duo

Épisodes 1 à 12 (FIN) – Impression générale : 

J’ai souvent entendu dire que cette série était nulle, mais là ça a dépassé toutes mes espérances !

C’est une courte série de 12 épisodes, chacun durant exactement cinq minutes. L’histoire de fond était pourtant intéressante : une maladie mortelle frappe les êtres humains, et l’un des plus anciens vampires, Duo, leur apprend que le seul moyen d’être sauvé est de boire le « prana », une substance qui se trouve justement dans le sang des vampires. Par conséquent, les humains partent donc à leur chasse. Le héros de l’histoire est Zieg, un vampire, qui est à la recherche de Duo car ce dernier a trahi les siens et a un peu foutu le bordel en révélant aux humains comment être sauvé.

Plusieurs choses font que cet anime est daubesque, et la première est sa réalisation. C’est simple, il n’y a pas d’animation, on a l’impression de regarder des dessins (de superbe qualité, heureusement) fixes avec seulement la bouche des personnages qui s’ouvre de temps à autre. On dirait dit que la série entière n’est qu’un fichier gif. L’autre chose plutôt pathétique, c’est que justement ces dessins sont parfois strictement les mêmes d’un épisode à l’autre, avec le même plan et le même angle de vue.

Mais le pire, c’est tout de même le contenu en lui-même de cet anime. Les personnages sont plats, il y a trop de flashbacks (dans une série aussi courte, c’est de l’abus), trop de situations ridicules, trop de fan service avec ces bishounen tourmentés qui passent leur temps à se lamenter sur leur sort, et le tout est horriblement prétentieux; quand j’ai vu sur le web que la majorité des commentaires sur cette série se résumait à des « Zeig is hoooot!!! », je me suis dit qu’il ne fallait pas non plus que je me prenne la tête à chercher quelque chose de bien là-dedans.

Bref, c’est un anime avec des épisodes de cinq minutes qui m’ont paru durer une éternité; je ne recommanderai cette série à personne, à par à ceux qui voudraient rigoler face à tant de nullité (en plus le héros a la voix de Kyon :3), et à ceux qui ont une heure de leur vie à perdre.

 

Ippatsu Kiki Musume

Ippatsu Kiki Musume

Épisodes 1 à 16 (FIN) – Impression générale : 

Je ne sais même plus pourquoi je voulais regarder cette série à la base, car en tout cas c’était bien stupide. Mais stupide dans le bon sens du terme, parce que j’ai quand même bien aimé, et ce malgré la réalisation plutôt mauvaise.

Il n’y a que 16 épisodes d’environ 3 minutes chacun, et ça parle de la vie de tous les jours de Kunyan, une fille qui n’a jamais de chance et se retrouve toujours dans des situations ridicules et stupides, où elle risque à chaque fois de mourir. Elle s’en sort toujours en essayant de réfléchir et en utilisant tout ce qu’elle a sous la main, telle une Mac Gyver japonaise (comme faire une corde avec du papier toilette, faire des ballons d’eau avec des préservatifs pour éteindre un incendie, ou encore faire un pansement avec ses cheveux x_x).

L’humour est vraiment très cru et spécial, en tout cas. Et complètement con, il faut le dire, mais c’est peut-être pour ça que j’ai bien aimé, car ça ne vole pourtant pas bien haut. Mais j’ai beaucoup aimé les explications pseudo-scientifiques à chaque fois. xD Bref, c’est une série vraiment spéciale et qui fait un peu figure d’OVNI.

 

Pugyuru

Pugyuru

Épisodes 1 à 13 (FIN) – Impression générale :  

Whaaaat. En regardant le premier épisode, je me suis sérieusement demandée si ce n’était pas un doujin, tellement la réalisation sentait l’amateurisme. Même le style de dessin ne fait pas japonais, ça fait un peu « imitation », comme dans ces pubs pseudo-mangas que l’on voit dans certains magazines français. C’est pourtant adapté d’un 4-koma, et ça m’a beaucoup rappelé Potemayo.

Cet anime, c’est juste l’histoire de l’héroïne, dont on ne connaitra jamais le véritable nom, et de sa rencontre avec la petite Cheko, une maid qui vient du Pays des Maids (et qui marche avec des piles). Sauf que je ne sais pas comment font les personnages pour savoir que Cheko est une maid, vu qu’elle n’a pas de vêtements. °3° Bref, tout le reste de l’histoire, ce n’est même pas drôle, c’est juste… bizarre. Je ne sais pas si cette série doit être considérée comme culte tellement elle est mauvaise, mais ce qui est sûr c’est qu’elle est très étrange, et le seul truc que j’ai bien aimé c’est le générique de fin, qui change à chaque fois (au niveau des images et des paroles).

Pour le reste, il n’y a que treize épisodes, de moins de quatre minutes chacun. Mais je n’arrive pas bien à cerner cette série, car si ça se trouve la réalisation minimale est volontaire. Et puis ce n’est pas possible qu’un truc d’apparence aussi amateur soit passé à la télé.

 

Baby Love

Baby Love

OAV – Impression générale : 

Encore un truc sorti de nulle part, en fait il s’agit d’une OAV de trente minutes qui servait de promotion pour le manga du même nom… et inutile de préciser que c’est du pur shoujo. L’héroïne, Seara, a fait lorsqu’elle était enfant une promesse avec Shuuhei, un garçon bien plus âgé qu’elle, en lui demandant de l’épouser quand elle sera grande. Des années plus tard, le destin fait qu’elle retombe sur Shuuhei; et comble du hasard, elle devra habiter chez lui. Seara est toute contente, sauf que Shuuhei ne la reconnait absolument pas.

Bref, rien de bien original ici, et je n’ai pas vraiment aimé les personnages. Le résultat est quand même moins mauvais que ce à quoi je m’attendais, mais il n’y a rien de spécial non plus… sauf que pour une OAV datant de 1997, j’ai trouvé ça un peu moche. Ca a surtout l’air destiné aux fans du manga original, en tout cas.

 

Eve no Jikan

Eve no Jikan

ONA 1 – Impression générale : 

J’ai vraiment adoré ce premier épisode de cette courte série diffusée sur le net (six épisodes de prévu). Le premier épisode a d’ailleurs été diffusé en avant-première mondiale à Japan Expo (!!!), et diffusée gratuitement en streaming sur Yahoo Japan, même si je crois que les autres épisodes seront payants. La bonne nouvelle, c’est que Dybex possède déjà les droits. La mauvaise nouvelle, c’est que ça risque de sortir dans longtemps, vu que les épisodes de cette ONA sont censés être diffusés tous les deux mois. De toutes façons, je pense regarder l’intégrale de cette série quand elle sortira en France, avec une qualité d’image digne de ce nom. Car j’ai vraiment trouvé ça superbe avec un gros souci du détail, et un côté très réaliste.

L’histoire en elle-même ne peut que rappeler du Asimov, et change un peu des histoires habituelles d’androïdes, car ici il n’est pas question de révolte de robots. Ca fait d’ailleurs bien plus tranche de vie que science-fiction pure et dure, avec cette histoires d’androïdes qui se retrouvent dans un café, le Eve no Jikan, afin de s’y relaxer. Ce café a la particularité de ne pas discriminer les humains et les robots, ces derniers possédant au-dessus de leur tête une sorte d’auréole lumineuse, auréole qui disparait mystérieusement une fois qu’ils mettent les pieds dans ce café.

Bref, je sens que ça va être dur d’attendre la suite, vu que j’ai vraiment adoré (Dybex, bougez vos fesses !).

 

Takane no Jitensha

Takane no Jitensha

Episode Spécial – Impression générale : 

Cet épisode spécial est le sixième vainqueur du Grand Prix Animax. L’histoire tourne autour de Takane, un garçon qui a menti à sa mère en lui faisant croire qu’il a eu de bonnes notes à son examen, tout ça pour avoir enfin un nouveau vélo et donner l’ancien à sa petite sœur.

Ça démarre (très) lentement, la réalisation n’est pas spécialement bonne, et l’histoire est toute mignonne. Pour ma part j’ai moyennement aimé, mais ce que je n’ai pas compris c’est pourquoi cet anime a exactement le même thème de fond que Yumedamaya Kidan, le précédent vainqueur du concours Animax : dans les deux histoires, le héros échange sa petite sœur / son petit frère contre quelque chose qu’il désire en faisant plus ou moins involontairement une promesse avec un être surnaturel.

Ce n’est pas forcément indispensable à regarder, mais ça reste une petite curiosité qui ne dure en plus que vingt minutes.

 

10 commentaires

  1. Katz était déjà un boulet dans la première série de Gundam, il l’est tout autant dans Zeta Gundam. D’ailleurs, tous ceux qui ont vu la série ont la même opinion sur ce personnage.

    D’ailleurs, faut que je la mate en entier cette série. Les 3 films sortis récemment sont sympas mais je loupe trop de détails. Et puis Gackt aux commandes d’un MS, lol quoi.

  2. C’est clair que Gundam Zeta est un peu à l’opposé de 00 (qui porte bien son nom d’ailleurs), un anime extrêmement bien scénarisé, aux personnages très réalistes et passionnants (qu’on les aime ou pas d’ailleurs) et tout simplement puissant et crédible, fabuleusement bien réalisé. Sûrement le meilleur Tomino avec Hevy Metal L-Gaim et Ideon, alors à côté, l’autre sous Gundam fait bien palot…

  3. Ah, les impressions sur Genius Party correspondent exactement a ce que j’attendais xD
    Je me doutais bien que ca ferait pas trop de difference avec et sans sous-titre pour Limit Cycle. Je me suis fait chier mais d’une force. J’arrive pas a comprendre comment j’ai pu tenir les 18-19 minutes de monologue sans couper ^_^;

    Donc maintenant, c’est rendez-vous pour Beyond ?

    (et sinon ouais, regarde Mind Game)

  4. Ah oui, une question qui me passait par la tete sur Baby Blue. J’avais remarque qu’a la fin, il y avait quelque chose d’ecrit sur la partition qui n’etait pas la au debut, tu as lu ce que c’etait ?

  5. Jacut >> c’est tous les gundams récents qui font pâle figure, quand même. Je hais Sunrise. >_>

    _Tchyo_ – >> je n’avais même pas fait attention à ce détail, donc aucune idée. o_O

  6. La réputation de Z Gundam est toujours quelque chose qui m’a faciné, on dirait que bcp de personnes perdenr tout sens critique devant ce messie.
    Aussi bonne que soit la série (que je considère aussi comme le meilleur Gundam) elle a de très gros défauts de rythme comme des répétitions à gogo (combien de fois Katz, Fa ou Kamille décoleront alors que Bright l’a interdit ? Combien de copine Jerid perdera au combat ? Combien de nana creveront comme Lalah ?) et des arcs vraiment foireux (genre celui de Rosamia à la fin qui fait passer ceux sur Meer à la fin de SEED Destiny pour des chef d’oeuvre).
    Bien sûr à coté des passage comme Hong-Kong, Tempète sur le Kilimanjaro, Le soleil de Dakar ou la dantesque bataille finale ratrapent largement. Mais Tomino n’a jamais été un grand réalisateur (c’est avant tout un visionaire) et Z Gundam porte aussi les défauts intrasecs à son oeuvre.

  7. Yukimusha >> et là tout s’explique! :D Il me semblait bien avoir lu une critique dessus sur un blog de Gamekult mais je ne savais plus lequel. o_O

  8. Pareil, en ce moment je rattrape mon retard sur Gundam, j’avais pas envie de rester dans l’ignorance, je voulais savoir pourquoi cette saga était à ce point adulée. Et puis après LOGH j’ai plus peur des productions anciennes dépourvue de 3D.

    Ca change des productions actuelles (Seed, 00) où un mecha fait la différence, c’est plus crédible de voir que le Zeta a beau être un mecha puissant il ne peut pas abattre une flotte seul et il lui arrive d’être en difficulté.
    Les persos sont plutôt sympas pour la plupart, mention spéciale pour Quattro et Scirroco (l’officier Titan), ce dernier est vraiment manipulateur et assez classe.

    J’ai aussi commencé Genius Party mais c’est surtout pour voir ce qu’a fait Shinichiro Watanabe.

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