Cela fait maintenant quelques jours qu’est sorti au Japon Catherine, le tout nouveau titre de chez Atlus et plus précisément celui de l’équipe derrière les Persona, qui signe par la même occasion sa première incursion dans le monde des consoles HD. Si ce puzzle game avait fait parler de lui au départ pour son côté aguicheur, depuis sa sortie il est surtout devenu réputé pour son niveau de difficulté extrêmement élevé.
Catherine plonge tout de suite le joueur dans le bain en lui faisant incarner un trentenaire, Vincent, dont la relation avec sa petite amie Katherine commence à s’effriter. Mais le coup de grâce est porté avec l’arrivée dans la vie de Vincent d’une mystérieuse jeune femme blonde nommée Catherine, et dans les bras de laquelle il se réveille un matin. C’est depuis cette rencontre que notre héros fait d’étranges cauchemars, où il se retrouve dans la peau d’un mouton en train d’escalader une sorte de tour : une étrange voix le prévient que si chaque nuit il n’arrive pas au sommet d’un niveau de la tour, Vincent mourra dans la réalité. Comble du hasard, il se passe d’étranges événements en ce moment dans la ville, notamment la mort de plusieurs hommes dans leur sommeil…
Trois modes de jeu sont ici proposés : le Golden Theater, qui n’est autre que le mode histoire ; le mode Babel, où le but est de faire le meilleur score, avec en prime un classement en ligne ; et enfin le mode Colosseum, qui permet de jouer à plusieurs et qui ne se débloque qu’une fois le mode histoire terminé.
Si le concept du jeu en lui-même est des plus simples puisqu’il s’agit de résoudre un puzzle à base de blocs à pousser et tirer, les 34 niveaux que comporte Catherine ne sont pas ce que l’on pourrait appeler une promenade de santé… Mais si le jeu peut être souvent très frustrant (la gestion de la caméra n’aidant pas si par malheur on se retrouve derrière le puzzle), il n’y a absolument rien d’insurmontable. Il peut s’avérer surtout difficile au départ, le temps de s’habituer aux différentes techniques et aux différentes possibilités ; mais au fil du temps on commence par comprendre comment résoudre telle énigme, comment déplacer les blocs de façon à atteindre l’étage supérieur sans finir bloqué, et surtout comment détourner les pièges.
Le titre possède trois modes de difficulté : Easy, Normal et Hard. Seul le mode Easy permet de revenir en arrière pour annuler ses dernières actions, mais dans les trois cas les puzzles seront différents suivant le mode de difficulté choisi.
J’ai pour ma part fait tout le jeu en mode Normal, ce qui m’aura demandé pas moins de 20 heures : j’en ai souvent bien bavé, accumulant les Game Over sur certains niveaux plutôt corsés, mais Catherine fait partie de ces titres qui procurent au joueur un immense sentiment de satisfaction une fois terminé. Il peut toutefois se terminer en une dizaine d’heures pour les plus doués, tout dépend du mode de difficulté choisi mais également des petits à-côtés disponibles, comme par exemple le puzzle Rapunzel, véritable jeu dans le jeu.
Catherine est en fait tout aussi stressant que difficile. A titre de comparaison, la démo disponible le mois dernier était extrêmement facile et absolument pas représentative de cette difficulté. Mais les joueurs japonais qui se sont plaints de cette difficulté ont visiblement été suffisamment nombreux pour que Atlus se soit vu dans l’obligation de mettre des astuces sur son site officiel, tout en annonçant un futur patch afin de faciliter l’aventure. Même si on peut se demander comment ils vont le rendre plus facile, les puzzles tels qu’ils sont étant loin d’être impossibles : à croire que les joueurs n’ont plus aucune patience et veulent qu’on les tienne par la main.
En quoi Catherine est-il donc difficile ?
- Chaque niveau est un gigantesque puzzle dont les blocs qui forment le sol s’écroulent au fur et à mesure à un rythme régulier : inutile de préciser que le temps de réflexion est donc limité. Cela dépend bien évidemment des niveaux, mais certains ne laisseront pas l’occasion au joueur de réfléchir longtemps. A noter la présence d’un stage basé sur cette limite de temps, avec un sol qui disparaîtra bien plus rapidement qu’à l’accoutumée, ne laissant pas le droit à l’erreur.
- Il arrivera souvent qu’une fois bien avancé dans le puzzle, le joueur ne puisse plus retourner en arrière et se retrouve coincé, sans autre alternative que de recommencer depuis le début du niveau (ou depuis un check-point).
- Le jeu repose plus souvent sur le stress que la réflexion, ce qui est par ailleurs le cas lorsque l’on affronte un boss. Sous l’effet de la panique, il arrive alors qu’on ne sache plus très bien quoi faire.
- Il n’y a pas que des blocs normaux dans les puzzles : quelques-uns sont des pièges destinés à ralentir la progression. Certains blocs peuvent donc empaler le joueur, le faire glisser dans le vide, s’effriter sous ses pas ou d’autres encore sont une sorte de vortex qui aspirent tout ce qui s’en approcherait de trop près. Certains sont mêmes vivants et bougent tout seul…
- En dehors des pièges, il existe des ennemis représentés par des espèces de boucs assoiffés de sang et armés d’une hache : sachant que Vincent ne peut les tuer mais seulement les pousser à coup d’oreiller, il faudra souvent essayer de s’en débarrasser grâce aux pièges ou bien en les jetant hors du puzzle, tout en essayant de résoudre ce dernier. Sachant que certains ennemis intelligents s’amusent même à pousser les blocs du puzzle…
- Les boss, qui possèdent souvent des coups spéciaux, ajoutent du challenge : le joueur peut par exemple se retrouver touché par le sort « confusion », ce qui a pour conséquence d’inverser les touches de la manette. D’autres boss font plonger le jeu momentanément dans le noir, lancent un jet de glace qui fait chuter le joueur de plusieurs blocs, changent à volonté la nature des blocs et les transforment en pièges, détruisent les blocs, font apparaître des monstres… Il n’est donc plus question d’apprendre par cœur le niveau, mais de s’adapter aux changements de l’environnement du puzzle.
- Le facteur chance entre aussi en jeu et c’est surtout vrai dans les derniers niveaux où il est par exemple possible qu’un boss carbonise par malheur un bloc nécessaire à l’avancée dans le puzzle, le joueur se retrouvant alors dans l’impossibilité de progresser.
- Et parfois, tous les éléments cités plus hauts sont présents dans un seul et même niveau… Il n’est donc pas rare de passer son temps à mourir pour mieux apprendre de ses erreurs afin de trouver le bon chemin pour avancer : en cela, le jeu demande énormément de patience et d’investissement.
Catherine est un jeu qui se déroule toujours plus ou moins de la même manière : la soirée au bar « Stray Sheep » et la nuit dans le monde des cauchemars.
Le bar permet à la fois de parler à ses potes ou bien aux autres clients, en faisant bien attention à la limite de temps, car certains personnages rentrent tôt chez eux et d’autres arrivent plus tard. Il est également possible de se saouler avec les différents alcools disponibles (saké, whisky, cocktail, bière), ce qui a pour conséquence d’augmenter la vitesse de déplacement de Vincent une fois dans le monde des rêves.
Un jukebox avec les musiques du jeu, mais aussi celles d’autres titres de Atlus comme les Persona ou encore les Digital Devil Saga est également disponible dans le bar, le plus intéressant étant cependant la présence d’une borne d’arcade permettant de jouer à « Rapunzel », sorte de version old-school de Catherine divisée en 64 niveaux et bien plus agréable à jouer que le jeu principal, car absolument pas stressante et mettant bien plus en avant la réflexion : le joueur a ici tout son temps pour réfléchir et il n’y pas vraiment de pièges.
Vincent peut également utiliser son téléphone portable pour sauvegarder, voir ses récompenses, mais aussi recevoir et envoyer des mails à Catherine et Katherine, même si le joueur n’est pas obligé de leur répondre.
Dans le monde des cauchemars, il est possible entre chaque niveau d’interagir avec les autres moutons, de faire des emplettes auprès d’un mouton obèse afin d’acheter un objet pour faciliter sa progression, de discuter pour apprendre de nouveaux petits trucs pour résoudre les puzzles…
C’est également entre chaque niveau que Vincent se retrouve directement confronté à une étrange voix, lui posant à chaque fois une question (aléatoire) dans un confessionnal afin de mesurer le prix de son existence, avec pour conséquence de faire basculer l’échelle de valeurs de Vincent vers le Bien ou le Mal. Les questions sont aussi diverses et variées que « Montrez-vous tout le contenu de votre téléphone portable à votre petite amie ? », « Pensez-vous honnêtement être un pervers ? », « Vous a-t-on déjà traité de radin ? », « Qu’est-ce qui fait le plus souffrir entre mentir et être victime d’un mensonge ? »…
Attention cependant, les réponses aux questions posées sont d’une importance capitale pour décider de la fin vers laquelle on se dirigera, étant donné qu’il y en a huit : il s’agit en fait de trois fins subdivisées en « bad », « normal » et « true », à l’exception d’une seule. Les amateurs de visual novel ne seront donc pas perdus.
Le plus intéressant dans tout cela est que si l’on joue tout en étant connecté à Internet, les réponses données par les autres joueurs sont ensuite affichées, donnant parfois quelques surprises. Dans les deux exemples ci-dessus, à gauche il s’agit de la question « Le mariage est-il le début ou la fin de la vie ? », où la majorité des joueurs (en rose) a répondu « le début ». Quant à la seconde question, « Est-ce que les hommes sont tous des idiots ? », la majorité aura répondu… « oui ».
Pour terminer, je vais parler d’un point que je n’ai vraiment pas aimé : le système de continue, qui ne sert strictement à rien. En fait, pendant un puzzle, Vincent possède un certain nombre de « retry » lui permettant de revenir au début du puzzle ou au dernier check-point lorsqu’il meurt ; lorsque ces « retry » tombent à zéro, le joueur n’a pas d’autre choix que de revenir à l’écran titre afin de recharger sa sauvegarde, qui le ramènera au début du puzzle après avoir sauté tous les dialogues avant. En fait, autant proposer des « retry » infinis, car cela reviendrait strictement au même et éviterait de s’amuser à recharger sa sauvegarde… D’autant plus que certains puzzles assez difficiles vont demander de recommencer énormément de fois.
Au final, Catherine est un peu aux puzzles ce que Demon’s Souls est aux RPG : un jeu sans pitié qui nécessite beaucoup d’investissement, de la patience et demande d’apprendre de ses erreurs pour avancer. Ce n’est qu’une fois les subtilités du mécanisme du jeu acquises que ce dernier devient un véritable régal, le plaisir prenant le dessus sur le côté stressant du titre. L’histoire, intéressante à suivre et basée sur le suspens, promet son lot de surprises et de réflexions sur l’adultère et le mariage. Il permet également de donner la part belle aux choix du joueur, qui pourra décider de la fin vers laquelle il se dirigera suivant s’il s’est comporté comme un bon samaritain ou comme la pire des enflures.
Atlus propose donc ici un titre original qui sort du lot avec une ambiance adulte et une bande-son qui fait honneur à la musique classique. Mais il ne s’adresse certainement pas à tout le monde à cause de sa difficulté… Il s’agit toutefois d’une expérience unique en son genre, un titre qui met les nerfs à rude épreuve mais reste pourtant très addictif, avec une durée de vie qui oscille entre la dizaine et la vingtaine d’heures suivant les joueurs. Et je n’ai eu qu’une seule hâte après en avoir bavé pour le terminer : le recommencer.
Merci pour cette critique. Le jeu ne m’en fait que davantage envie. :)
Merci beaucoup pour cette critique rapide ! Voila bien un jeu auquel je ne vais pas m’essayer finalement, j’aurai pas les nerfs je crois ^^ »
Il faut donc que je trouve quelqu’un pour le faire à ma place >3…
Merci pour la critique :)
Ah oui question. J’espère que les 2 questions que t’a mis sur ta critique ne viennent pas du Chapitre 8 hein? :)
Non car ca serait un spoiler non? Atlus viendrait te traquer XD.
Ichikyo > les questions sont générées aléatoirement et n’ont aucun rapport avec le scénario du jeu en lui-même, donc pas de souci pour les spoils ;-)
Merci pour cette critique Exelen, qui confirme tout le bien que je pensais du jeu après voir essayer la démo sur le xbox live japonais.
Cependant je ne pense plus être aussi patient qu’avant pour endurer ce mécanisme d’apprentissage par l’échec, même si dernièrement je me suis accroché pour finir certains jeux ( avec le fort sentiment de satisfaction qui en découle )
Toutefois, l’expérience me tente vraiment sur PS3 … pour la jaquette.
Une sortie française ou au pire américaine, please !
Chouette critique. Ca me donne encore plus envie de jouer au jeu maintenant, c’est malin. J’espère vraiment une sortie américaine ou européenne.
bravo à toi cette critique est la plus aboutie que j’ai pu lire sur le net.Atlus met la barre haut pour leur 1er jeux HD qui se révèle bien mieux à ceux que je m attendais .Il deviens après Idolmaster 2 ma priorité.
Je n’avais pas vu que tu avais toi aussi postée tes impressions. Content de lire que la difficulté ne t’a pas rebutée et qu’en plus tu l’as terminé – Sérieux chapeau bas !
C’est vrai que venant de toi je n’en attendais pas moins vu que tu as aimé Demon’s Souls et que ce jeu n’est clairement pas des plus facile. Tes impressions sont vraiment détaillée en tout cas ! Moi j’ai surtout voulu insisté sur le fait que Catherine est plus exigeant et stressant que réellement « difficile ».
Sinon gros +1 sur les continus qui ne sont pas illimités. Chance qu’on puisse quand même zapper les scènes déjà vues mais c’est assez rageant une fois mort de devoir retourner à l’écran titre pour recommencer un puzzle.
Pour les questions dans le confessionnal, je ne savais pas non plus que celles-ci étaient aléatoires mais pour le moment, j’ai un 100% de même réponses que la majorité des votants :D
PS/ Pour finir, il semblerait qu’Atlus USA annonce prochainement la localisation du jeu. J’espère qu’il ne doubleront pas les acteurs/actrices car la VO japonaise est vraiment géniale tout comme la BO que j’attends sur CD impatiemment !
terminé en hard hier soir , je me suis régalé merci à atlus !!
Bababaloo > pour ma part c’est le cote stressant qui m’a rendu la progression dans le jeu plutot difficile, et je paniquais pour un rien. Le cote « survival horror » pendant les affrontements contre les boss n’arrangeant rien. ^^;
Pour les questions du confessionnal elles sont vraiment aleatoires, sauf bizarrement la toute premiere qui est celle sur le mariage.
Pour le moment j’ai recommence le jeu pour essayer d’avoir des Gold Trophies afin de debloquer le mode Babel, et je joue surtout a Rapunzel. D’ailleurs les credits pour ce dernier deviennent infinis une fois le jeu termine. :)
didic > chapeau a toi pour l’avoir termine en hard ! \o/
Exelen > Tu débloques le mode Babel dés que tu as un trophée OR en mode normal. J’ai testé le mode Babel hier soir et même le 1er des 4 niveaux j’ai pas réussi à le terminer alors que je m’y suis pris à plusieurs reprises LOL. J’ai l’impression que c’est encore plus difficile mais par le côté casse-tête, un Rapunzel en gros sauf que les blocs dans le mode Babel tombent…
La bonne nouvelle, c’est qu’en finissant le 1er stage, si tu es connecté au PSN, et suivant tes performances de temps, tu débloques des avatars Catherine pour le PSN ce qui est vraiment sympa et encourageant comme option.
PS/ Pour le stress dans le jeu, je te rassure c’est pareil pour moi, je foire souvent car le jeu te met la pression et au final je me retrouve comme un imbécile sur un bloc tout seul ou impossible à bouger :D
Bababaloo > le problème est que j’ai jamais eu de Trophée Or de toute ma partie en Normal, je n’arrivais pas plus haut que Argent. J’avais déjà tellement du mal à parfois finir les niveaux, alors obtenir le trophée Or… xD Enfin je vais essayer parce que j’aimerais vraiment tester ce mode Babel.
Sinon en ce moment je suis vraiment en train de me prendre la tête sur le stage 25 de Rapunzel, ça doit bien faire 2 heures que je suis dessus et que je ne trouve pas la solution. Mais je persévère ! :D
Que ca donne envie d’y jouer. Et que ca frustre de voir combien la vieille Europe est plus puritaine qu’on ne le pense. Enfin bon.
Je vais espérer très fort une sortie… ou qu’un jour mes cours de japonais payent ^^
C’est un peu ce que je pensais du jeu lorsque j’entendais parlé de la difficulté abominable, le jeu est faisable, c’est juste que les gens n’ont plus envie de s’investir dans un jeu et de tout faire sans effort :/.
En tout cas merci pour la critique du jeu, tu maintient mon envie de me procurer le jeu, en espérant que l’annonce d’Atlus disant que Catherine restera un jeu « japan-only » soit seulement temporaire.
Je regrette un peu que tu ne parle que du gameplay et pas plus de l’histoire, ambiance du jeu, on ne sait même pas si tu as aimé ces aspects la du jeu (même si je suppose que c’est le cas, sinon tu n’aurais pas fait un article enthousiaste dessus =3).
Oyashiro > effectivement j’ai volontairement évité d’insister sur l’histoire et l’ambiance du jeu pour plus insister sur le gameplay, car bizarrement sur toutes les impressions/critiques/tests que j’avais lus sur le net, presque personne n’expliquait vraiment en quoi le jeu est difficile alors que c’est l’un de ses principaux reproches.
Mais en effet j’ai beaucoup aimé ces aspects-là (bon, sauf sur quelques points dans la dernière partie que je ne peux détailler car cela entrerait dans le domaine du spoiler). Ça reste assez réussi et le tout est vraiment bien rythmé, donnant toujours envie d’avancer pour savoir comment le jeu va se terminer. :)
Un jeu qui me fesait bien envie après avoir joué aux Persona 3 et 4.
Merci pour ta vision du jeu, je me posais bcp de questions car pas mal de gens lui reprocaient sa difficulté mais sans explique ren détails.
Voilà c’est confirmé ! Le jeu sortira le 23 juillet aux USA sur PS3 & Xbox 360: ww.catherinethegame.com
Bababaloo > chouette, ca c’est une bonne nouvelle ! :) J’espère qu’ils laisseront la difficulté du jeu intacte.
Youpi :D Le rêve d’une version EU est pas encore éteint.
Et idem j’espère que ce ne sera pas une version (la US et la peut etre EU) tronqué ou que sais je encore. A croire avec eux qu’on a des QI d’huitre.
Oui une version EU serait la bienvenue surtout qu’on a eu pas mal de Persona sur PS2 (je ne me rappelle pas si les versions PSP étaient sorties par contre).
grats pour avoir terminé le jeu :)
j’en ai beaucoup bavé aussi sur le 6-3 avec les blocs qui tombent très vite et le 7-5 où le boss te fout dans le noir ; ; plus que sur les puzzles en eux mêmes en fait.
Le jeu est très faisable même sans être un pro des puzzle games pour peu qu’on ait suffisamment de patience imo, j’ai été surpris qu’autant de gens se plaignent de la difficulté au japon vu que les anciens jeux atlus étaient bien balèzes quand même.