Impressions sur les séries du printemps 2012 (2/2)

Suite et fin de mes impressions hautement subjectives sur les nouveautés de ce printemps, avec pour cette seconde fournée 16 séries. J’aurais dû déjà poster ce billet il y a quelques jours, mais finalement j’ai préféré attendre la diffusion de la dernière nouveauté de ce printemps histoire de faire le tour de toutes les nouvelles séries !

 

AKB0048

AKB0048

Cet anime à la gloire des AKB48 est la toute dernière nouveauté à avoir été diffusée ce printemps. Son créateur Shōji Kawamori (Macross) et le studio Satelight nous offrent quand même quelque chose de bien étrange… Des idols ? Qui se battent ? Et qui ont des mechas ? Serait-ce Idolmaster Xenoglossia ? Rien de bien exceptionnel en tout cas même si c’était largement moins pire que ce à quoi je m’étais attendue. En fait, c’était surtout très… bizarre.

La série nous plonge dans un futur proche où tout ce qui touche au spectacle et divertissement est interdit, et donc les concerts d’idoles également, bien que certaines bravent les autorités pour se produire sur scène : les AKB0048, qui se nomment ainsi en hommage aux AKB48, un groupe légendaire qui aurait existé cinquante ans plus tôt (je n’invente rien). Bien évidemment l’héroïne rêve elle aussi de devenir une idol et va tout faire pour réaliser son rêve malgré son père qui s’y oppose. Et sinon les scènes de concert en 3D sont quand même bien moches.

Verdict : je ne peux pas vraiment me prononcer sur cet épisode donc je regarderai le suivant, mais pour le moment je suis loin d’être convaincue.

 

Sakamichi no Apollon

Sakamichi no Apollon

Sakamichi no Apollon est un anime sur le thème du jazz et se déroulant dans le Japon des années 60 que j’attendais au tournant, surtout vu le staff derrière : Shinichiro Watanabe à la direction, Yōko Kanno à la musique et Nobuteru Yūki au chara-design, cela ne se refuse pas. Et effectivement j’ai trouvé ces premiers épisodes très sympas, à la réalisation impeccable, mais au scénario quand même bien classique.

Je trouve cela un peu dommage que Watanabe signe son retour avec une adaptation de manga plutôt qu’un projet original, d’autant plus que personnellement j’avais peur de m’ennuyer devant étant donné que le thème du jazz ne m’intéresse pas et que je n’y connais rien. Mais au final c’est plutôt bien passé, même si j’ai quand même eu l’impression de suivre un film ou un feuilleton plutôt que de regarder un anime, surtout à cause du côté très réaliste. La série avance relativement vite, le troisième épisode faisant quand même bien avancer les choses ; reste à voir ce que donnera ce carré amoureux et l’évolution du thème du jazz (ou si ce dernier restera discret). Seule petite déception : les génériques de début et de fin, que je trouve assez moyens.

Verdict : j’ai vraiment apprécié ces premiers épisodes et je regarderai la série en entier, même si je me demande comment elle se terminera étant donné que le manga compte 9 volumes et que je ne vois pas comment ils vont caser tout cela en si peu d’épisodes.

 

Kuroko no Basket

Kuroko no Basket

Encore un anime sportif : pour cette saison il y a déjà le très sympathique mais enfantin Ginga e Kickoff ! sur le football, le spin-off de Saki pour le mah-jong, et en hiver dernier on a eu droit à Area no Kishi, qui est toujours en cours de diffusion. Mais au final j’ai été agréablement surprise par ce Kuroko no Basket, d’autant plus que mon précédent visionnage d’anime ayant pour thème le basketball avait été le traumatisant Buzzer Beater en 2007.

Je n’ai jamais lu le manga (disponible en France chez Kazé) et je pense ne pas le faire avant de voir la fin de cette série, qui s’annonce plutôt atypique avec son personnage principal assez discret et donc « invisible » aux yeux de tous, et qui joue là-dessus pour faire remporter les matchs à son équipe. L’évolution de la série a l’air en revanche de s’annoncer des plus classiques avec ses tournois entre lycées, néanmoins je trouve pour le moment ce Kuroko no Basket plutôt intéressant et plaisant à suivre.

Verdict : ça s’annonce assez sympa, et je compte bien suivre toute la série.

 

Arashi no Yoru ni : Himitsu no Tomodachi

Arashi no Yoru ni : Himitsu no Tomodachi

Arashi no Yoru ni est la deuxième série de la saison après Gon à être réalisée tout en CG. Cette adaptation d’une série de livres japonais pour enfants (qui existe aussi en version manga) avait déjà été adaptée en film d’animation en 2005, mais avec un style bien différent. Dans les deux cas on y suit les mésaventures d’un loup et d’une petite chèvre qui se prennent d’amitié un soir de tempête alors qu’ils avaient eu tous les deux la même idée en se réfugiant dans une cabane abandonnée, et des problèmes que cela posera à leur troupeau/meute respectif.

C’est plutôt mignon et bien évidemment destiné aux jeunes enfants, mais personnellement je ne suis absolument pas fan du style utilisé, préférant largement la 2D du film. C’est une série dont j’ai voulu regarder uniquement le premier épisode par pure curiosité, et cela reste vraiment beaucoup trop enfantin (mais largement mieux réussi que Gon).

Verdict : à réserver aux très jeunes enfants. Ou aux fans de Rie Kugimiya, qui prête sa voix au chevreau (c’est censé être un mâle, mais bon…).

 

Jormungand

Jormungand

Adaptation du manga du même nom, Jormungand aura été une bonne petite surprise parce que je ne savais pas du tout à quoi m’attendre ni de quoi cela allait vraiment parler. On suit les mésaventures  d’une marchande d’armes et de son équipe de gardes du corps qui s’apparentent plus à un commando, et d’un enfant soldat qu’elle embauche. J’ai trouvé ça vraiment sympa à suivre, avec un bon mélange de sérieux et d’humour, et des épisodes qui se laissent regarder très facilement. J’avais bien aimé le premier épisode mais sans plus, et j’ai en tout cas largement préféré les suivants.

L’héroïne, la très étrange Koko, est également assez amusante grâce à son caractère quand même bien spécial et qui je trouve rend la série encore plus intéressante. Reste à savoir également si la suite va continuer à être une succession d’épisodes sans véritable lien ou si un scénario va enfin apparaître. Et vu que le manga est fini on peut au moins espérer avoir une série sans fin bâclée ou ouverte, sachant que la seconde saison est déjà prévue pour cet automne.

Verdict : une série bien sympathique que je suivrai probablement en entier.

 

Haiyore ! Nyarlko-san

Haiyore ! Nyarlko-san

Encore une série tirée du light novel de Nyarlko-san, l’anthropomorphisation de Nyarlathotep, et il s’agit de la troisième pour être plus précise : il y a tout d’abord eu Haiyoru ! Nyaruani en mars 2010 avec des épisodes en flash diffusés uniquement sur le net, puis fin 2010 on a eu droit à une série TV, Haiyoru ! Nyaruani : Remember My Love, mais elle aussi toujours réalisée en aniamtion flash ; et cette année on a enfin droit à une série réalisée de manière un peu plus conventionnelle.

Je n’étais pas très fan des précédentes séries malgré quelques bonnes idées (dont un épisode entier consacré à une discussion autour de Saint Seiya !), et je ne suis pas non plus fan de celle-là : ça reste quand même bien différent dans la forme mais pas dans le fond, puisque cela joue toujours sur les nombreuses parodies et références. Cela reste toutefois bien bordélique et très dynamique grâce à son héroïne très énergique, mais cela ne m’intéresse pas plus que ça et je n’ai absolument eu aucune envie de regarder la suite.

Verdict : pas vraiment mon style de série, donc je n’irai pas plus loin que le premier épisode.

 

Nazo no Kanojo X

Nazo no Kanojo X

En voici un anime plutôt curieux au style qui fait très rétro, car on dirait vraiment une série des années 90. En tout cas c’est également une série très bizarre, avec cette histoire d’un garçon qui goûte à la salive d’une fille très excentrique et en devient dépendant. C’est même carrément dégoûtant dans la façon dont c’est parfois présenté et je crois que je ne m’y ferai pas, mais la série en elle-même est tellement décalée par rapport à ce que l’on voit habituellement que je suis très curieuse et que j’ai quand même envie de la regarder en entier rien que pour voir comment cela va évoluer.

Une chose qui m’aura aussi marquée est la voix de l’héroïne, doublée par une nouvelle seiyuu, qui utilise ici une voix plutôt « normale » et qui n’a donc rien à voir avec les voix féminines habituelles que l’on entend dans un anime. En dehors de l’étrange rituel entre les deux personnages principaux et de cette histoire de salive qui coupe bien l’appétit on a dans le fond un anime sur l’adolescence et les premiers émois, et qui je l’espère ne tournera pas trop vite en rond.

Verdict : c’est tellement bizarre que je pense suivre toute la série, rien que pour voir jusqu’où ils vont aller dans les idées tordues.

 

Yurumates 3D

Yurumates 3D

Cette série, qui se base sur le manga du même nom, avait déjà connu une adaptation en OAV. On y suit les mésaventures de Yurume, une étudiante qui espère pouvoir entrer à l’Université de Tokyo, et emménage dans une pension où les résidents s’avèrent être un peu intrusifs. Je n’ai pas gardé un grand souvenir des OAV, et cet anime n’est guère plus mémorable, mais il se laisse suivre d’autant plus que chaque épisode ne dure que trois minutes. L’héroïne est doublée par Haruko Momoi, qui utilise ici exactement le même timbre de voix que Feyris/Faris dans Steins;Gate, et chaque épisode donne lieu à des situations cocasses avec des blagues plus ou moins drôles. Ce n’est pas génial mais ce n’est pas horrible non plus : c’est juste largement dispensable.

Verdict : ça se regarde sans laisser un souvenir impérissable, mais les épisodes étant courts je pense tout suivre.

 

Tasogare Otome x Amnesia

Tasogare Otome x Amnesia

Encore une série avec un couple des plus étranges ; entre Nazo no Kanojo X cité plus haut et son héroïne excentrique mais aussi Sankarea avec son héroïne qui devient un zombie, on a cette fois-ci un personnage principal féminin qui est un fantôme amnésique, hantant encore l’école où elle est morte. Le héros, Teiichi, est l’une des rares personnes à pouvoir voir notre fantôme, Yuuko, qui veut aussi résoudre le mystère de sa mort.

J’ai un peu du mal à situer cette série qui bascule entre l’humour, l’horreur et le fan service, et j’ai bien failli l’arrêter dès le premier épisode tellement j’avais trouvé ce dernier ennuyeux et très très moyen. Heureusement j’ai trouvé le second et le troisième bien meilleurs, d’autant plus qu’ils sont le véritablement commencement de l’histoire ; je ne sais pas si ce premier épisode qui parachute le téléspectateur en plein milieu de l’action et où les personnages se connaissaient déjà était vraiment une bonne idée… J’ai quand même du mal avec les différents protagonistes et le fan service, mais ce qui me pousse à continuer c’est tout de même le rendu visuel ainsi que l’ambiance.

Verdict : pas totalement convaincue après trois épisodes mais ça se laisse regarder, donc il y a des chances que je continue de suivre la série.

 

Jewelpet Kira Deco !

Jewelpet Kira Deco !

Ce printemps c’est aussi l’arrivée de la quatrième saison de Jewel Pet, une série qui à l’instar de Pretty Cure propose à chaque nouvelle itération un design et une histoire différente sur le même thème de fond, avec en prime un staff lui aussi différent : la seconde saison avait été réalisée par le staff de Nanatsuiro Drops, la troisième par celle de Rosario+Vampire, et dans celle-là on retrouve une bonne partie du staff de Tantei Opera Milky Holmes. De là à dire que la série veut toucher deux publics bien différents, toujours à l’image de Pretty Cure, il n’y a qu’un pas. Rien de bien nouveau à l’horizon avec cette nouvelle série : cela reste très gentillet et gamin mais d’un autre côté c’est toujours aussi étrange et un peu farfelu. J’ai suivi ces premiers épisodes sans grande conviction, et je ne regarderai certainement pas la suite, même si pour une série pour petites filles ce n’est pas spécialement mauvais en soi.

Verdict : trop. De. Rose. Et. Trop. Girly.

 

Shiba inu-ko san

Shiba inu-ko san

Épisodes vus : 05/??

Adaptation du manga du même nom, je ne pensais pas un jour voir Shiba Inu-ko san débarquer en anime, et qui plus est à la télévision. Car le personnage de Shiba Inu-ko san était devenu une sorte de gag récurrent sur Nico Nico Douga, où elle présentait pendant une poignée de secondes quelques produits (mangas, film, figurines…) après la diffusion de courtes séries, notamment Morita-san wa Mukuchi et Recorder to Randoseru… et c’est cette « popularité » qui aura donné naissance à cet anime. Shiba inu-ko san ne dure que deux minutes, c’est stupide, il n’y a pas vraiment de scénario, et en plus le générique de début est un véritable supplice mais est typiquement le genre de chanson qui reste dans la tête et qu’on ne peut pas oublier. Et dès qu’un nouvel épisode débarque je me jette dessus, comme quoi le lavage de cerveau ça marche bien. D:

Verdict : comme tous les anime courts disponibles gratuitement en streaming sur Nicovideo, je regarderai en entier. Rien que pour les commentaires des utilisateurs.

 

Acchi Kocchi

Acchi Kocchi

Ça l’odeur de Lucky Star, ça a la couleur de Lucky Star, mais ce n’est pas Lucky Star. Sincèrement, quand j’avais vu des affiches de cette série lors du dernier Comiket, j’ai vraiment cru que c’était des affiches sur Lucky Star tellement l’héroïne me rappelait Konata. Bon, au final ça n’a pas grand chose à voir si ce n’est le style du design, car ici on a une histoire de romance avec un peu de tranche de vie. Et il faut quand même aimer le genre, personnellement je me suis vraiment endormie devant ce premier épisode tellement cela ne m’intéressait pas, d’autant plus que le tout était bien trop conventionnel et déjà vu et revu dans bien des séries. Cela restera pour les amateurs du genre un titre mignon à suivre, mais de mon côté j’ai eu du mal à finir ce premier épisode.

Verdict : il faut aimer ce style d’anime, et comme ce n’est pas mon cas je ne regarderai pas la suite.

 

Tsuritama

Je suis vraiment surprise de voir un anime qui se base sur la presqu’île d’Enoshima ainsi que sa légende. Tsuritama est également la seconde série diffusée dans la case horaire Noitamina pour ce printemps aux côtés de Sakamichi no Apollon, et j’ai beaucoup aimé ces trois premiers épisodes. C’est un anime très étrange, tant au niveau de l’histoire que du rendu visuel plutôt coloré, et notamment lors des scènes de stress du héros. On retrouve ici le réalisateur de Mononoke, Kuuchuu Buranko et C, trois séries quand même bien étranges elles aussi, qui nous livre un titre qui m’aura un peu fait penser à NieA_7 au niveau du délire. Il est assez difficile de savoir pour le moment comment cela va vraiment évoluer au niveau du scénario avec ces histoires d’extra-terrestres, un héros qui tire une tronche bizarre lorsqu’il ressent du stress, et le thème omniprésent de la pêche avec en prime de très nombreuses explications et précisions sur le sujet. Il reste aussi à voir la véritable place de la légende d’Enoshima là-dedans (l’île est très sympa, d’ailleurs).

Verdict : j’ai beaucoup aimé car j’ai un gros faible pour les séries étranges, donc je la suivrai en entier.

 

Shining Hearts ~ Shiawase no Pan

Shining Hearts ~ Shiawase no Pan

Adaptation du RPG du même nom sorti sur PSP, ce Shining Hearts est quand même largement moins moche que Shining Tears x Wind, précédente adaptation d’un titre de la série, et on y reconnait bien plus facilement le trait de ce brave Tony Taka. N’ayant pas fait le jeu et ne connaissant pas du tout le scénario je me demandais vers quoi allait se diriger la série, avec deux premiers épisodes absolument pas passionnants où je ne pensais vraiment pas qu’ils allaient parler de boulangerie. Dans le doute je suis allée jusqu’au troisième épisode, où effectivement cela bouge enfin avec l’arrivée d’une jeune fille amnésique, même si cela ne m’intéresse toujours pas.

C’est assez convenu et cliché, et je n’aime pas non plus les personnages, notamment ce héros tellement transparent et sans personnalité que je ne me souviens même plus de son nom, et qui en plus est accompagné d’un trio d’héroïnes qui font un peu office d’harem. Cela reste pas trop mal réalisé, mais l’anime ne me donne pas du tout envie d’acheter le jeu et n’améliore vraiment pas l’image que j’ai des Shining post-Shining Force. Chose amusante, le réalisateur de cette série a déjà travaillé sur plusieurs anime en rapport avec les RPG, qui vont de Arc the Lad à Popolocrois en passant par l’horrible OAV de Chrono Trigger.

Verdict : c’est mou du genou et vu le faible nombre d’épisodes ça semble mal parti. En tout cas je ne continuerai pas car cela a l’air horriblement classique et les personnages me sortent par les yeux.

 

Natsuiro Kiseki

Natsuiro Kiseki

Ce projet original raconte l’histoire de quatre amies d’enfance, qui avaient fait plus tôt le souhait que leur rêve commun se réalise. Je suis assez surprise que ce soit Sunrise qui s’occupe de cette série, car je n’ai pas vraiment l’habitude de voir le studio faire dans le genre dit tranche de vie, mais on a là un anime plutôt soigné et joliment réalisé. Malheureusement au niveau du scénario je n’ai pas trouvé cela très intéressant, et au niveau des personnages ce n’est pas mieux tellement j’ai trouvé les héroïnes assez irritantes. D’un côté ils ont voulu sûrement créer des adolescentes convaincantes et non idéalisées… A noter que l’on retrouve derrière cette série Seiji Mizushima, réalisateur entre autre de Fullmetal Alchemist et Gundam 00, et que les quatre membres du groupe japonais Sphere prêtent leur voix aux héroïnes.

Verdict : m’ouais. Pas du tout envie de regarder la suite.

 

Hyouka

Hyouka

La nouvelle série de Kyoto Animation, Hyouka, est une adaptation d’un light novel qui raconte la rencontre entre un lycéen, Hōtarō, forcé par sa sœur à intégrer le club de littérature classique, et de Eru, une jeune fille qui en fait déjà partie et s’intéresse à tout ce qui a trait aux rumeurs et histoires mystérieuses. La réalisation est vraiment sublime, c’est joli, mais sinon… je me suis un peu endormie devant. Le premier épisode n’était pas une introduction des plus passionnantes, et le second était de la même teneur : pour l’instant le seul intérêt de la série semble reposer sur Eru et son regard des plus fascinants, parce que les mystères que les personnages s’amusent à résoudre ne sont pas des plus passionnants et me rappellent de mauvais souvenirs de Gosick et Kami-sama no Memo-cho. J’espère que cela deviendra un peu plus intéressant car sinon je risque de lâcher l’affaire : la jolie réalisation ne me suffit pas et pour le moment je trouve cela très creux.

Verdict : pour l’instant je continue pour voir vers quoi cela va évoluer, mais ce n’est pas garanti que j’arrive jusqu’au bout de la série malgré la réalisation des plus solides.

 

Voilà, ce sera tout pour le tour d’horizon des anime de ce printemps ! o/

 

10 commentaires

  1. Et Fate Zero ?
    Est-ce tellement évident que tu vas la suivre que tu ne l’as pas précisé ?

    En tout cas, cela te fait beaucoup de séries à regarder. Avec un peu de chance >_< la météo sera mauvaise et tu ne regretteras pas de perdre du temps devant un écran ;)

    "Sakamichi no Apollon est un anime sur le thème du jazz" : ah bon ? J'ai vu autant d'épisodes que toi et je n'ai pas eu cette impression. Il y a bien un étudiant qui découvre le jazz (on est trés trés loin de la découverte de la passion que pouvait décliner Chihayafuru par exemple), on a du jazz en toile de fond sonore (mal exploité je trouve), mais je n'ai jamais eu l'impression que c'était le thème de la série.
    C'est surtout une(des) histoire(s) d'amour(s). Qui s'avère plutôt jolie à regarder et sympathique à suivre.

    Pour les autres séries de la saison, il y en a tellement que je n'ai même pas le courage d'essayer. J'attendrai les bilans pour voir lesquelles j'essaye ^^.

  2. inico > c’est parce que c’est une suite que je n’en parle pas. :)
    Sinon effectivement il y a beaucoup trop de series interessantes a suivre ce printemps. Enfin au moins ca compense avec le line up de cet ete, qui ne s’annonce pas fameux a part 2/3 trucs : http://static.neregate.com/2012/03/neregate.com-Summer-2012-Anime-v1.png

    Pour Sakamichi no Apollo, ca reste quand meme le theme de fond je trouve. Apres oui ce n’est effectivement pas le theme principal, a l’instar des karuta dans Chihayafuru pour reprendre ton exemple. :)

  3. Merci pour le lien vers les séries de l’été: peu de choses m’attirent également, certaines m’intriguent.
    Mais le plus beau du plus formidable est quand même, outre le film Nanoha A’s, Moyashimon returns évidemment que j’attends en trépignant ^^.
    De toute façon, j’ai besoin de temps libre (bien que je ne le prenne quoiqu’il en soit) pour rattraper mon retard sur tous les mangas/séries/OAVs/films sortis ces 30 dernières années – Go Nagai en ce moment :))

  4. Au départ je voyais Koko comme une simple trafiquante d’armes mais c’est vrai qu’elle semble avoir des connexions très haut placées. Le terme marchande lui correspond mieux dès lors.

    Ce dernier Shining a au moins une réalisation sans faille, Production I.G et design de Tony oblige. Ensuite ça reste archi classique c’est sûr.

    Même avis pour Hyouka. Vu que le novel a de bonnes critiques ça devrait s’améliorer en termes de rythme. En tout cas les regards illuminés de l’héroïne sont magnifiques ^^.

    Pour cet été seul la suite d’Horizon m’intéresse un minimum à l’heure actuelle. Comme d’habitude va falloir observer les premiers épisodes pour avoir un réel avis.

  5. Bonjour ^^,

    Tu ne parles pas d’Accel World (peut-être en as tu parler dans un article précédent, pas vérifié). J’ai été assez étonné par cette série, surtout que ma première impression a été particulièrement négative, notamment vis à vis du héros. Ton avis dessus m’intéresserait. =) merci

  6. Actuellement je ne suis pas les nouveautés à part :
    Sakamichi no Apollon qui passe sur Nolife chaque lundi, et qu’est ce que c’est bon pour l’instant, le staff derrière est remarquable et ils font vraiment du bon boulot, j’attends la suite avec impatience.

  7. hahaha !! Je l’attendais avec impatience ce billet !
    Au fait je ne sais pas si tu es au courent de l’anime de Black Rock Shooter qui est sortit il y a un petit moment .____.

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