[PC] Princess Maker 5

Après avoir parlé du quatrième volet de Princess Maker il y a quelques mois, Je vais continuer mon petit tour d’horizon de cette série en présentant sa suite, intitulée logiquement Princess Maker 5. Sorti en mars 2007 sur PC au Japon puis l’année suivante sur PS2 et Nintendo DS, le principe de base n’a pas changé : il faut élever une petite fille de l’âge de 10 ans jusqu’à 18 ans et faire en sorte qu’elle devienne une princesse.

Ce Princess Maker 5, qui propose bien des changements et de nombreuses nouveautés, est celui qui commence également de manière la plus tragique : l’héroïne est la seule survivante de sa famille. Née dans un monde médiéval appelé le Royaume des Humains, le royaume en question souhaitait couronner une princesse parmi plusieurs candidates afin d’avoir une reine capable de faire la paix avec les Royaumes des Fées, des Démons, des Cieux et des Esprits. Mais les candidates en question ont fini par être tuées une par une par des démons, massacrant au passage leur famille.

Seule notre héroïne a pu être sauvée de ce bain de sang par Cube, le majordome récurrent de la saga. Confiée au joueur, un ancien héros du Royaume des Humains exilé dans notre monde actuel, elle va désormais vivre et grandir dans une petite ville du Japon. Sa mémoire ayant été effacée par Cube dans le but de lui faire complètement oublier son passé tragique et d’assurer sa sécurité, pourra-t-elle trouver le bonheur dans notre monde ou bien devra-t-elle faire face à son passé et retourner dans son royaume afin d’y revendiquer le trône ? Ce sera au joueur d’en décider.

Princess Maker 5

Retour aux sources

Princess Maker 5 est un épisode qui propose bien des changements par rapport à ses prédécesseurs, avec énormément de possibilités : il est le plus complet, mais aussi le plus long. Alors que pour les autres jeux, la durée d’une partie oscille entre cinq et dix heures, pour celui-ci il faut compter au minimum une vingtaine d’heures, voire beaucoup plus (pour ma part j’ai fini ma première partie en 25 heures environ).

L’une des grandes nouveautés, et non des moindres, est que le joueur peut enfin choisir d’être soit le père, soit la mère adoptive de l’héroïne. Ce volet signe également le grand retour des combats et des phases d’aventure, qui avaient disparues depuis Princess Maker 2. Par ailleurs, de nombreux éléments de ce dernier sont présents dans ce jeu, et ce retour aux sources fait vraiment plaisir.

Comme dit plus haut, le principe de base n’a pas changé : pendant huit années, il faut éduquer sa fille adoptive en lui faisant étudier et pratiquer un sport ou une discipline, mais aussi en la faisant travailler. L’héroïne doit bien sûr aller à l’école, mais on peut également lui faire fréquenter un club (dont les choix sont très nombreux, comme par exemple judo, kendo, gymnastique, littérature, théâtre, manga…) et lui donner des cours spéciaux (apprendre la cérémonie du thé, manier le sabre, faire de la cuisine, prendre des cours de chant…).

Chaque leçon ou petit boulot (vendeuse, professeur privé, hôtesse de bar, serveuse…) augmente ou diminue certaines des statistiques de l’héroïne. Et comme toujours dans la série, certains métiers et leçons se débloquent au fur et à mesure que les années passent, lorsqu’elle a atteint un certain âge.

Il y a également un autre changement assez inattendu : l’écran principal du jeu est enfin « vivant ». Dans les jeux précédents, l’image de notre fille virtuelle restait statique à l’écran ; ici, on peut la voir bouger et faire de nombreuses choses qui reflètent son humeur et son état d’esprit en général. On peut donc la voir regarder la télé, écouter de la musique, jouer sur son ordinateur, faire des pompes, étudier… Tout cela est bien sûr lié à ses statistiques. Par exemple, si son niveau de « beauté » est élevé, on pourra souvent la voir se maquiller.

Pour continuer avec les changements, la façon dont le jeu est découpé est très différente. Dans les autres volets, il fallait organiser chaque mois le planning de sa fille, chaque semaine n’étant consacrée qu’à une seule activité (travailler, étudier, ou se reposer). Cette fois-ci, et c’est ce qui explique la très longue durée d’une partie, on doit organiser l’emploi du temps non seulement pour chaque jour, mais aussi pour chaque heure (à partir de 15 heures jusqu’à 21 heures, vu qu’avant elle va à l’école) !

Les leçons ou petits boulots n’utilisant pas le même nombre d’heures (cela varie de 2 heures minimum jusqu’à 6 heures maximum), il faudra donc trouver le bon équilibre, sachant qu’il ne faut pas non plus trop stresser sa fille sous peine de la rendre malade et de devoir l’emmener à l’hôpital. Au passage, lorsque l’héroïne pratique une activité, on a droit à de petites animations très mignonnes et marrantes, surtout lorsqu’elle échoue.

Princess Maker 5

Le jeu possède également de nouvelles statistiques, et la plus amusante est la statistique appelée « otaku ». Et oui, car on peut également rendre sa fille otaku (voire même hikikomori) ! Quelques événements annuels dans la même continuité sont d’ailleurs présents, comme le Tokyo Game Show et le Comiket, avec la possibilité d’acheter des doujinshi.

En parlant d’otaku, sur la carte de la ville il est possible de faire divers achats, et les magasins sont très nombreux : il y a même une boutique de goodies d’anime/manga ! Dans le même bâtiment se trouve un Maid Cafe, dans lequel il est possible de faire travailler sa fille plus tard, mais c’est un peu dangereux parce qu’elle pourra parfois se faire suivre par des stalkers. Si, si.

Notre héroïne peut également se faire bon nombre d’ami(e)s, et c’est là que ça devient comme un jeu de drague, vu que c’est de cette façon que l’on peut finir le jeu avec un certain garçon si on le souhaite. De plus, lors de la Saint-Valentin, l’héroïne va donner du chocolat aux garçons avec lesquels elle a de bonnes affinités et pourra même en recevoir de la part d’autres filles si elle est vraiment populaire. Il y a quand même certains événements assez amusants liés à ce système, et il est arrivé à ma fille d’offrir un eroge (un jeu porno, en gros) à un garçon avec lequel elle avait beaucoup d’affinités : ce dernier a dit qu’il était très choqué qu’une fille lui offre ce genre de jeu. :’D

Princesse M’écœure

Globalement, les deux premières années dans le jeu sont assez calmes voire ennuyeuses : il ne se passe pas d’événements vraiment intéressants et c’est assez long. Mais à partir du douzième anniversaire de sa fille, il arrive enfin quelque chose d’important : l’arrivée d’un ennemi, venu du même monde que l’héroïne. C’est à partir de là que le jeu prendra une tournure un peu plus sérieuse, car elle retrouve la mémoire et ses souvenirs perdus…

Suite à cet événement, l’héroïne demande alors à son père/sa mère s’il souhaite vraiment faire d’elle une princesse. C’est également à partir de ce moment-là que les phases d’aventure (avec des combats) font leur apparition, donnant au passage la possibilité de visiter des mondes parallèles qu’il faudra parfois débloquer : le Royaume des Fées, celui des Esprits… Et même celui des fameux Démons, responsables du passé tragique de l’héroïne.

Les combats, au système simplifié, se déroulent de la même manière que dans Princess Maker 2 : on a le choix entre attaquer, analyser l’ennemi, parler à l’ennemi, utiliser un objet et fuir. Des attaques spéciales sont disponibles, mais elles dépendent des capacités de sa fille, et comme toujours de ses statistiques. Si par exemple son niveau de musique est élevé, elle pourra utiliser des chants magiques durant les combats.

Pour tuer un ennemi, il n’est pas obligatoire de vider ses HP : si ses MP ou bien son niveau d’agressivité tombent à zéro, il est considéré comme vaincu. Et malheureusement, c’est également valable pour l’héroïne.

Il est tout de même plutôt facile d’augmenter la force et la magie de cette dernière, mais en contrepartie, si on tue trop d’ennemis (même des démons), son niveau de morale diminue et son vice augmente. Il faudra donc faire très attention : pour obtenir la meilleure fin il faut passer par de nombreux combats tout en gardant un niveau de morale plutôt élevé. Ce dont je me suis rendue compte un peu tard, ma fille ayant -100 de morale, et même en achetant 99 livres de philosophie qui permettent d’augmenter cette statistique, cela n’a pas suffit…

Pendant les phases d’aventure on peut également trouver divers objets, dont des bouteilles de lait magique qui font augmenter le tour de poitrine de l’héroïne (!). J’en ai une fois trouvé trois d’affilée, et par curiosité je les ai fait boire à l’héroïne. Or, je n’avais pas fait attention que ces bouteilles faisaient aussi dangereusement augmenter les kilos. Voilà donc qu’un matin, je vois ma fille virtuelle se réveiller complètement paniquée avec un visage bouffi !

Le jeu est bourré d’événements spéciaux, que l’on ne peut pas tous découvrir en une seule partie. La plupart sont liés aux activités de l’héroïne, certains se déclenchant en se rendant à un endroit spécifique à un moment donné de l’année. Par exemple, en allant voir les cerisiers en fleur en avril on peut apercevoir l’esprit des cerisiers si on a un niveau de sensibilité plutôt élevé. Il en est de même en été, où on peut rencontrer une sirène.

De plus, les fins sont assez nombreuses et très variées. On peut donc devenir princesse, mais aussi chanteuse, championne olympique, diseuse de bonne aventure, aventurière, doubleuse, danseuse, hôtesse de bar, boss de la mafia, PDG… il y a même une mauvaise fin très difficile à avoir, et que l’on peut obtenir en ayant plus de 200 000 yens de dettes. Certaines fins où l’héroïne se marie peuvent également mal se terminer suivant ses statistiques, avec un divorce à la clé !

Lors de ma première partie j’ai eu de la chance car ma fille est devenue la reine du Royaume des Fées. Principalement parce que son niveau de magie était à fond, tout comme son charisme et sa beauté, sans compter le fait que je passais chaque dimanche à l’envoyer buter des trolls et des fantômes. Son niveau de perversité était au maximum, mais heureusement ça ne jouait pas pour obtenir cette fin. C’est quand même la première fois que j’ai une fin intéressante dès ma première partie dans un Princess Maker ; habituellement, ma fille finit bonne sœur, femme au foyer ou bien gardienne de cimetière.

Après les crédits de fin, on a même le résultat final de toutes les statistiques de sa fille. Au terme du jeu, à 18 ans, ma fille mesurait 1m71 et pesait 49 kilos (elle n’est pas un peu anorexique ?), avec des mensurations de 104-63-82. Oui, elle est difforme, mais ne me demandez pas comment j’ai fait pour avoir un tel résultat !

Princess Maker 5

Pour finir, je suis tout de même contente que Takami Akai, le créateur de la série, soit de retour derrière le chara design et les illustrations. C’est d’ailleurs pour cela que je ne suis pas très fan du précédent volet, Princess Maker 4 : les dessins étant très différents, rappelant plutôt certains eroge.

 

J’ai beaucoup aimé ce Princess Maker 5 malgré sa longueur et sa répétitivité. Très complet, les possibilités sont tellement immenses que c’est vite devenu mon Princess Maker préféré, aux côtés de Princess Maker 2. Le fait que le jeu se déroule désormais dans le Japon moderne est également intéressant, donnant parfois l’impression de plutôt jouer à un Tokimeki Memorial qu’à Princess Maker ! Sa longueur par rapport aux autres volets lui cause toutefois bien du tort, car une fois sa première partie terminée, l’envie d’y replonger pour essayer d’obtenir une autre fin n’est pas forcément là.

  • Énormément de possibilités et de choix
  • Le retour des combats
  • On peut enfin incarner une mère
  • Le système d’amitié
  • Premières heures rébarbatives
  • Une interface pas toujours très claire
  • Beaucoup trop long !

Mise à jour : depuis mai 2018, Princess Maker 5 est enfin disponible en anglais sur Steam ! Avec une traduction assez désastreuse, apparemment.

21 commentaires

  1. Eh ben ça rigole pas ^^
    Toujours pas testé le seul Princess Maker anglais mais articles toujours aussi bien écrits et agréables à lire.

    Sinon les pavés c’est normal, quand on aime un jeu on a un trop plein d’idées à mettre noir sur blanc. Ne t’inquiètes pas nous sommes tous comme ça :nerd:

    Euh sinon il est quelle heure au Japon ? XD

  2. Zratul >> le problème avec mes pavés c’est que je ne réfléchis même pas à l’avance à ce que je vais écrire, je balance vraiment tout directement. Je devrais peut-être un jour écrire quelque chose de structuré. XD
    Heu sinon il est presque 7 heures du matin au Japon, là. Je suis debout depuis 6 heures.^^

  3. Ce jeu a l’air interessant. J’aimerais bien y joué un jour.
    J’aime bien lire tes pavés, je les trouve interessant et je trouve que tu explique très bien. ^__^

  4. >> Ça fait plaisir de voir qu’on a enfin imaginé que des filles jouent à ce genre de jeu.
    Corrigé.

    >> Elle pourra également travailler en faisant des arubaito (petits boulots), comme par exemple vendeuse, professeur privé, hôtesse de bar, serveuse…)
    *se prend à rêver*
    hôtesse de bar ? Miam.

    >> On peut donc la voir regarder la télé, écouter de la musique, jouer sur son ordinateur, faire des pompes
    Des POMPES ? Une fille ? Mais une fille ne fait pas des pompes, même quand elle s’ennuie !

    >> la plus amusante est la statistique appelée otaku. Et oui, car on peut également rendre sa fille otaku (et même hikkikomori, c’est tout à fait possible). De plus il y a quelques événements annuels, dont le Tokyo Game Show et le Comiket, et dans ce dernier on peut même faire acheter des doujinshi à sa fille…
    Konata, et le rêve devint réalité !

    >> Voici la version Rei d’Evangelion
    Mon fanboyisme latent me pousse à t’aduler pour ça.
    Merci à toi !

    >> il est arrivé à ma fille d’offrir un eroge à un garçon avec lequel elle avait beaucoup d’affinités, et ce dernier a dit qu’il était très choqué qu’une fille lui offre ce genre de jeu.
    Un remake de « Doujin Work » avant l’heure ? Quoique, non, puisque dans cette oeuvre, le jeune homme n’est pas choqué…

    >> en contrepartie, si on tue trop d’ennemis (même des démons), cela fait baisser son niveau de morale et augmenter son vice.
    Qui a dit que cela manquait de réalisme ?

    >> ‘espère qu’un Princess Maker 6 sortira, malgré les problèmes que Takami Arai a eu au sein de la Gainax, à cause de Gurren Lagann.
    Heu… tu peux développer STP ? Quels problèmes ? C’est lui qui a fait le (trop) fameux épisode 4 ?

    >> j’ai encore écrit un pavé, sans m’en rendre compte >_>)
    Bah, c’est pas comme si on allait s’en plaindre, hein.
    Et puis c’est beau la motivation.

  5. Sympa l’article, ça donne envie d’y jouer!^^
    Quelques questions quand même :
    Si on peut incarner une mère est-ce que du coup on peut encore se marier avec sa « fille » comme dans le 2 ? o_O (sooo wrong…)
    Gardien de cimetière ça existe toujours comme baito dans le japon moderne ?
    Est-ce que quand elle devient Hikikomori, elle s’enveloppe dans une couverture (Kiri Komori < 3 ) ?

    Sinon j’avais commencé une partie du 2 mais pas moyen de mettre les musiques T_T (ça a vieillit quand même)…

    PS: j’ai réussit à lire ma Mikuclock en téléchargeant Geo Vid Flash Player ! ^^

  6. Wah ça à l’air génant comme jeu,ça fait un peu jeu de gestion en fait,dommage qu’on est pas ce genre de jeu en france T__T méme si je m’achéte pas mal de jeu en import ce genre de jeu doit étre plus agréable à jouer quand on comprend les dialogues,oh pis j’me laisserais peut étre tenté un de ces 4 pour la version jap’XD,en tout cas belle article^^

  7. J’aime pas trop ce genre de jeu, ça ressemble un peu aux Sims (que j’aime pas), le concepte est un peu le même, on dirige les persos, même si ici en locurrence c’est « élever », et on les suit le long de leur (bout de) vie… Je trouve ça chiant, je préfère l’aventure et la baston ! < 3

    Guchuko, c’est fait exprès ? xD

  8. Si on est habitué aux SRT, prendre en main princess maker c’est un peut comme ça ? Dans le sens ou plus on y joue plus on pige quoi ^^ »

    Dommage qu’il n’existe pas de version anglaise mais je commence a voir l’abithude pour ce genre de jeux…

    Sinon la bad ending si elle a 20000 de dettes… elle fait le trottoir ? XD

  9. X4713R >> non, evidemment on ne peut pas se marier avec sa fille si on incarne sa mere, le jeu n’est quand meme pas tordu a ce point. XD Mais on peut toujours se marier avec elle si on incarne son pere. >_>
    Gardien de cimetiere, y a pas dans le Japon moderne ;-) (mais ce boulot n’existe que dans Princess Maker 2, il a disparu dans tous les autres jeux).
    Quand la fille devient hikkikomori, elle refuse de sortir de sa chambre et passe son temps a regader la TV. XD

    pikasis >> oui, il faut aimer la gestion dans ce genre de jeu. Mais ce cote-la n’etait pas aussi pousse dans les autres Princess Maker.

    Lu-sama >> ca a quand meme pas grand chose a voir avec les Sims (qui est un jeu que je deteste et que je trouve tres chiant >_>). Pour Guchuko, c’est fait expres, et puis j’avais pas d’autres idees de nom. ^_^;

    Lax >> oui, c’est comme jouer a SRT, c’est vrai : c’est bourre de menus en japonais. Sauf que le texte est quand meme tres important dans Princess Maker. ^^
    Pour la bad ending, on voit simplement le joueur et sa fille qui doivent se barrer en cachette de chez eux car ils n’ont pas paye leur loyer… avec un gros « game over » qui s’affiche a l’ecran.

  10. Clair dommage que presque rien ne soit traduit en anglais :( :(
    Tu pourrais pas me conseiller quelques titres dans le genre qui ont été traduit en anglais? (si ca existe >< )
    Ou alors de Dating-sims pour filles ^^

  11. Pas tout lu mais à cause de ton dernier article sur Princess Maker, j’ai perdu plein de temps sur le 2 XD Enfin, j’y ai joué quasi non-stop pendant 3 jours et après j’ai complètement laissé tombé, mais arg que c’est addictif ce genre de truc ^_^; (en plus sur pc on peut accélérer, ça me prenait 1h pour finir une partie…) J’ai peur de lire cet article XD

  12. Le seul (en français) étant dating sim que je conaisse et minami dating sim, tous en flash par le studio tanuki… Il me semble qu’il et prévut qu’il en fasse un pour vous mesdames ;)

  13. Kao-chan >> oui, c’est addictif comme jeu. Et encore plus avec le patch pour tricher, mwahaha… xD

    Lax >> j’avais zappé Minami dating sim, tien. J’y avais joué mais je n’avais pas tellement aimé, à cause des posibilités restreintes, mais c’est vrai que c’était bien fichu comme jeu, chapeau à leurs créateurs.^^

  14. j’avais trouvé la deux sur un site d’abandonware : j’avais passé pas mal de temps dessus ! Et là, je viens de lire ton article et j’ai envie d’essayer cette opus. Je fais actuellement un double cursus chinois/japonais : je pense pouvoir me faire la main sur le japonais par les jeux vidéo, comme j’ai pu le faire par le passé avec l’anglais. J’ai beau cherché sur le net, je ne trouve pas où je pourrais me procurer la version PC du jeu.

  15. Je te remercie pour ce « vieil » article : par contre, cela fait plus de 20 heures que je joue à PM5 sur Steam, et ma fille n’a encore que 13 ans… Je commence à trouver le temps long, malgré les animations… A moins que toi, tu l’aies trouvé tellement court que tu n’as pas fait gaffe aux dizaines d’heures passées dessus !
    Et chapeau pour y avoir joué directement en japonais, ça calme !

    • Merci pour le commentaire sur ce vieil article ! :’) Ça fait quand même plaisir que la série soit enfin disponible officiellement chez nous (sauf Princess Maker 4, bizarrement), même si apparemment ce n’est pas trop ça au niveau de la traduction.

      Après, ce PM5 est certes bien plus long que les autres, mais je suis sûre de ne pas avoir passé plus de 30 heures maximum dessus. Du coup c’est un peu étrange qu’en 20 heures de jeu ton perso n’ait encore que 13 ans. Ou alors les événements s’accélèrent ensuite, car il me semble que le début était assez lent.

      • Alors, j’ai mis en tout 55 heures (selon steam), mais j’ai mis la version rapide (images qui défilent plus vite) parce que je n’en pouvais plus. Le jeu m’a beaucoup plu malgré sa longueur, mais PM2 reste mon préféré. Peut-être parce que j’ai joué à PM2 justement, je me suis bien débrouillée et je suis devenue Reine des Anges. J’aurais pu devenir reine de ce que je voulais, et même la femme de Ryunosuke, mais comme apparemment on ne peut être que « femme de », j’ai préféré être active.

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