ANIME – Impressions en vrac #43

Voici un récapitulatif un peu différent de mes impressions habituelles, car consacré exclusivement aux séries terminées (uniquement celles que j’ai suivies).

A part ça, depuis le temps j’ai fini par abandonner la seconde saison de Gundam 00 (à l’épisode 8) : je m’ennuie devant, les personnages têtes à claques (Setsuna et Saji) m’énervent de plus en plus, et tout se déroule sans grosse surprise. Également abandonné Haruhi-chan et Nyoron-chan, deux parodies que je ne trouve vraiment pas très drôles ; je préfère de loin les 4 koma originaux !


 

ZOKU NATSUME YUUJINCHOU (épisodes 2 à 13 – FIN)

IMPRESSION FINALE :

J’avais énormément aimé la première saison, et bien j’ai encore plus apprécié cette seconde partie. Au final il était moins question ici de rendre aux youkai leur nom enfermé dans le carnet de Natsume, mais en contrepartie les personnages ont un peu gagné en profondeur. Quelques histoires m’auront vraiment touchée et même fait verser une petite larme (notamment le quatrième épisode, avec le petit youkai tout mignon qui sort d’un oeuf), et même le passage durant lequel Natsume ne peut momentanément plus voir les youkai m’aura assez marquée. Il y a également l’épisode 10 qui était un peu différent au niveau de l’animation et du design, et bien supérieur au reste en terme de réalisation. Au bout du compte c’était vraiment une série très agréable à suivre et assez reposante.

Et la façon dont se termine le dernier épisode me donne vraiment envie de voir un jour une nouvelle suite… car étrangement j’accroche plus à l’anime qu’au manga. Le cinquième volume sorti en février dernier chez Delcourt contient d’ailleurs des histoires que l’on peut voir dans la deuxième moitié de cette seconde saison. Et vu qu’au Japon ils n’en sont visiblement qu’au 7ème volume, je crois qu’il faudra d’attendre longtemps avant de voir débarquer une troisième saison. ;_;

 

TENTAI SENSHI SUNRED (épisodes 2 à 26 – FIN)

IMPRESSION FINALE :

Un anime TRÈS spécial mais que j’ai beaucoup aimé suivre. Il faut s’habituer au style volontairement minimaliste, et j’ai d’ailleurs du mal à croire que le character-designer soit le même que celui de Seto no Hanayome o_O (j’ajouterai aussi que le réalisateur est également le même dans les deux séries). J’ai trouvé l’humour stupidement drôle, quoique un peu inégal; et le personnage principal Sunred a beau être un « super héros », il passe surtout son temps à glander en jouant au pachinko, et à s’engueuler avec sa petite amie Kayoko. Finalement les « méchants » de l’histoire se font plus maltraiter qu’autre chose et se confondent souvent en excuses pour lui dire qu’ils sont désolés de l’embêter (Vamp est quand même un chic type ;_; )…

En tout cas j’ai également bien aimé les différentes parodies et hommages aux séries sentai et autres tokusatsu ; le dernier épisode concluait vraiment bien la série, que ce soit Sunred qui se met enfin à passer des entretiens pour trouver un boulot, ou encore les « méchants » qui aident à préparer le réveillon de Noël. La série possède quelques passages originaux, et là encore je mentionnerai le dernier épisode, dont les premières minutes ont été réalisées dans un style totalement différent et sont superbement bien animées (ils ont dû passer tout le budget de la série dans ces trois minutes-là xD). Cet anime était une petite surprise intéressante, et je ne serai vraiment pas contre une suite!

 

TALES OF THE ABYSS (épisodes 2 à 26 – FIN)

IMPRESSION FINALE :

Je n’attendais pas grand chose de cette adaptation du RPG du même nom sur PS2, que j’ai regardée uniquement parce que j’aime beaucoup ce dernier. Cette série a au moins le mérite d’être très fidèle et de ne pas donner l’impression d’avoir été obligé de jouer au jeu avant : elle se suffit largement à elle-même. Mais cela m’a personnellement posé un autre problème, c’est-à-dire celui d’avoir l’impression se retrouver face à une immense cinématique : j’ai vraiment eu cette sensation de rejouer au jeu en regardant cette série, tant ça sentait vraiment l’adaptation de RPG appliquée au pied de la lettre. C’est tout juste si je ne m’attendais pas à voir des points de sauvegarde apparaître à l’écran.

J’ai également trouvé le début un peu lent, tandis que vers la moitié de la série tout s’est bizarrement accéléré. L’avantage, c’est que ces ellipses ont permis d’échapper à certaines parties bien lourdes dans le jeu original (notamment tout ce qui concerne l’Albior… arg, le passage dans les Meggiora Highlands :x ). J’ai également aimé les petites touches de fan-service apportées par-ci par-là, que ce soit le second générique de fin avec les costumes alternatifs ou encore l’histoire de Nebilim.

Dans les choses que j’ai beaucoup moins aimées, il y a le chara-design, qui fait quand même honte à celui du jeu et surtout à celui utilisé dans les cinématiques sous forme d’anime. Mais il y a aussi les combats, vraiment rarement impressionnants, et le fait que les personnages m’aient paru parfois un peu différents (j’avais vraiment envie de baffer Asch à plusieurs reprises, alors que j’aimais beaucoup ce personnage dans le jeu ;_; ). Finalement cette série ne m’aura pas autant marquée que les OAV de Tales of Phantasia et Tales of Symphonia (on va oublier l’erreur qu’est Tales of Eternia) : c’est trop anecdotique, et il manque vraiment un petit quelque chose qui était dans le jeu mais qui n’est pas là. J’espère quand même que l’adaptation de Tales of Vesperia sera un peu plus réussie, même si ce ne sera qu’un film.

 

ONE OUTS (épisodes 3 à 25 – FIN)

IMPRESSION FINALE :

En voilà une série que j’ai vraiment aimé suivre. Une sorte de Akagi/Kaiji version base-ball, même si la tension n’est clairement pas la même. En revanche la série ne risque pas de plaire à ceux qui ne supportent pas les histoires qui ont un rythme assez lent et avec des personnages qui passent leur temps à réfléchir. D’ailleurs, n’y connaissant absolument rien au base-ball, j’étais parfois un peu perdue; même les nombreux schémas explicatifs auxquels on a droit durant la série ne m’ont pas vraiment aidée.

A part ça, cette série m’aura tenue en haleine, malgré le côté répétitif qui s’en dégage : on assiste plus ou moins pendant 25 épisodes à « comment Tokuchi va réussir à faire gagner/sortir du pétrin son équipe? ». Parce que le héros, ici, ne perd jamais. Donc pas de surprise à ce niveau-là, et il ne vaut pas mieux regarder la série pour ça (ni pour un quelconque développement des personnages) : tout est plutôt misé sur les tactiques toutes plus tordues les unes que les autres, et sur le suspense. Il n’y aura que lors du dernier épisode où, accusé à tort de tricherie par l’équipe adversaire, Tokuchi réussira à renverser la situation au dernier moment, sans non plus spécialement se venger de la personne à cause de qui il a failli le renvoi.

Au final j’ai beaucoup aimé cette série, très rafraichissante, principalement grâce à son héros un peu spécial, et je ne serai pas contre une seconde saison. A moins que Liar Game, du même auteur, soit un jour adapté en anime.

 

MARIA†HOLIC (épisodes 5 à 12 – FIN)

IMPRESSION FINALE :

Pour être franche, cette série aura été pour moi la plus grosse déception des nouveautés de cet hiver. Peut-être parce que j’en attendais trop de la part du studio Shaft… Mais autant j’avais quand même bien aimé le premier épisode, autant une fois l’effet de surprise passé j’ai trouvé que ça tournait un peu trop en rond et que c’était très très lourd à supporter au niveau de l’humour, en plus d’être légèrement soporifique. Alors pourquoi avoir poussé le masochisme à continuer de regarder jusqu’au dernier épisode? Et bien parce que je voulais quand même voir de quelle manière tout ça allait se terminer, mais aussi parce que j’aime bien le duo Mariya/Matsurika. Manque de chance, la série n’a pas de fin (et on sent bien venir la seconde saison), mais en plus Mariya n’était finalement pas si souvent présent que ça à l’écran.

Pourtant l’anime est joli à regarder et bien réalisé, mais certains gags étaient parfois lourds et redondants (les saignements de nez, qui vont même jusqu’à colorier en rouge l’univers entier…), le personnage de Kanako m’aura un peu énervée, et les personnages secondaires étaient tellement peu présents que je me souviens à peine d’eux. Au terme de ces douze épisodes, j’ai eu l’impression d’avoir regardé une série vide et qui se reposait trop sur son côté artistique. Heureusement que les génériques de début et de fin (kyun!) rattrapent le reste, mais en tout cas si il y a une seconde saison ça sera sans moi.

 

MICHIKO & HATCHIN (épisodes 2 à 22 – FIN)

IMPRESSION FINALE :

Dernière production en date de Manglobe, Michiko & Hatchin était une série que j’ai trouvée vraiment très sympa à suivre. Sorte de road movie avec une ambiance qui change de la plupart des autres anime diffusés au Japon, c’est un peu une version réussie de l’autre série du même genre de 2007, El Cazador de la Bruja. Ici, ce sont surtout les personnages qui m’auront intéressée, plutôt que la réalisation (qui était tout de même nettement supérieure dans la première moitié des épisodes, je trouve). Les épisodes étaient d’ailleurs très inégaux en terme d’intérêt, mais ce que j’ai beaucoup aimé c’est cette manière qu’a eu la série de briser les clichés au niveau du scénario : finalement, Hiroshi n’est pas tellement celui que l’on croit et n’est qu’un type paumé en plus d’être un coureur de jupons, Hana se retrouve toute seule à la fin avec un gosse à élever (wtf!?), et Michiko se rend à la police…

En tout cas, ce qui est sûr c’est que la série est loin de faire l’unanimité sur la blogosphère, et que beaucoup ont été déçus (j’ai même l’impression que pas mal de personnes ont abandonné la série en cours de route). Cette série fut donc de mon côté une bonne surprise, mais je pense qu’un format plus court aurait peut-être été plus appréciable. En tout cas j’attends de pied ferme la prochaine production du studio! *part finir de regarder Samurai Champloo*

 

 

SKIP BEAT ! (épisodes 3 à 25 – FIN)

IMPRESSION FINALE :

Je regrette vraiment que cette série se soit terminée. 25 épisodes, c’était finalement loin d’être suffisant, et achever l’anime sur une fin en queue de poisson est extrêmement frustrant; surtout que j’avais l’impression qu’on était en plein milieu d’un arc, qui ne sera donc peut-être jamais résolu.

En tout cas mon avis sur cette série aura vraiment évolué avec le temps, et en bien : j’avais failli l’abandonner à cause de ses premiers épisodes laborieux et de sa réalisation un peu vieillotte, et là je l’aurais regretté. C’est vraiment au fil des épisodes que l’on se rend compte que l’on a là une adaptation d’un shoujo qui sort des sentiers battus et qui est au final très rafraîchissant et doté d’une héroïne au caractère très fort. Car je me suis vraiment attachée aux personnages, et donc terminer la série de cette manière n’est vraiment pas très gentil pour ceux qui ne sont pas encore arrivés là avec le manga. ;_;

D’ailleurs, à ce que j’ai pu lire sur des blogs anglophones, la fin de l’anime correspond donc au début du volume 12 (tandis qu’on en est arrivé au cinquième en France, merci Casterman d’éditer cette série~) : sachant qu’il y a visiblement 21 volumes de parus en japonais, ça laisse donc largement de quoi faire une seconde saison. Mais une autre rumeur amusante qui court sur 2chan serait qu’en fait, le jeu de Skip Beat qui doit sortir sur PS2 en mai prochain irait plus loin dans l’histoire et serait la véritable saison 2! XD*il me faut ce jeu même si le design des persos me fait peur.

 

GENJI MONOGATARI SENNENKI (épisodes 2 à 11 – FIN)

IMPRESSION FINALE :

Si j’ai voulu regarder cet anime, c’était pour deux raisons : pour le côté culturel, et aussi parce que le duo Dezaki/Sugino était derrière. En onze épisodes, il était bien entendu impossible d’adapter l’intégralité du roman, on se retrouve donc ici avec une petite partie, mais bien représentative de la vie de Genji. Pour résumer, durant cette série qui est pire que Dallas, Genji aura entre autre courtisé de nombreuses femmes et couché avec sa belle-mère, en lui faisant au passage un enfant (ce qui fait que cette dernière coupe dès lors tout lien avec son beau-fils, car elle est la quand même la concubine de l’empereur). Puis Genji se marie avec Dame Aoi, et lui fait aussi un enfant. Sauf que Dame Rokujou (l’une de ses amantes) est jalouse et fait inconsciemment apparaître un esprit maléfique, qui s’en prendra à Dame Aoi et la tuera. Mais heureusement, cette dernière met au monde son enfant avant de mourir. Chagriné, Genji part s’éloigner quelques mois loin du palais. Puis l’empereur meurt, et c’est le demi-frère de Genji qui devient empereur. Mais entre-temps la belle-mère de Genji a tellement honte de son crime et du secret de la naissance de son enfant qu’elle part s’exiler loin dans un temple. Et lorsque Genji revient au palais, sa relation avec l’une des concubines du nouvel empereur éclate au grand jour : accusé de trahison, Genji se retrouvera exilé pendant quelques années.

La série se termine lorsqu’il revient au palais, accueilli par la petite Murasaki, qu’il avait adoptée afin de s’occuper de son éducation et de la transformer en l’épouse idéale, et pour laquelle ses sentiments ont bien changé. L’anime a donc réussi à condenser tout ça en l’espace de onze épisodes, inutile donc de dire qu’on reste bien sur sa faim. En tout cas j’ai bien aimé, même si j’ai trouvé cet anime parfois un peu mou. Quand même moins mou que le roman, et largement plus compréhensible, mais mou quand même. Je n’ai pas trop aimé non plus les effets de style un peu exagérés, ni l’abus de CG. Les décors restent quand même jolis à regarder, mais ça fait un peu « trop ». Mis à part ça, je demande quand même si un jour on aura une véritable adaptation en entier du roman…

 

KUROSHITSUJI (épisodes 4 à 24 – FIN)

IMPRESSION FINALE :

Cet anime aura été pendant ces six derniers mois mon petit guilty pleasure. Je n’ai jamais caché le fait que je l’ai regardé à cause du personnage de Sebastian (et surtout de son doubleur Daisuke Ono, fufu~) mais aussi parce que j’aimais bien l’ambiance et le fait que ça ne se prenait absolument pas au sérieux. Le problème est que autant la série commençait relativement bien, autant vers la seconde moitié ça a commencé à sérieusement partir en sucette, avec des épisodes qui ne servaient absolument à rien et le sentiment d’avoir une série dont le potentiel a fini par être complètement gâché. Rien n’aura vraiment évolué tant au niveau de l’histoire que des personnages, et c’est dommage qu’il aura fallu attendre le dernier épisode pour que ça bouge enfin. Quoi que dans ce dernier, ils ont fait fort au niveau fan-service avec ces tas de sous-entendus douteux (je n’ose pas imaginer combien de doujinshi et de fanfics vont faire leur apparition à cause de la scène finale).

Mais je suis quand même soulagée que la série n’ait pas choisi la voie de la facilité en trouvant un moyen de sauver Ciel : ça change d’avoir un semblant de bad end un peu déprimant.Ça restera donc une série que je retiendrai pour ses personnages, son ambiance et son second générique de fin par Kalafina. A part ça, je me demande quand même à quoi ressemble la véritable forme de Sebastian? (parce que bon, le coup des talons aiguilles, erggg. On n’est pas dans Angel Sanctuary, mince).

 

RIDEBACK (épisodes 2 à 12 – FIN)

IMPRESSION FINALE :

J’aurais fini par vraiment beaucoup apprécier Rideback, et je regrette d’autant plus que la série ne fasse que douze épisodes : elle en aurait largement mérité deux fois plus, car tout ce qui s’y passe aurait énormément gagné à être développé (tant au niveau des personnages que du développement de l’intrigue). Car au final, la série s’est déroulée sans grosse surprise du début jusqu’à la fin. C’est surtout la superbe réalisation qui m’aura marquée, tout comme l’évolution du personnage de Rin. En fin de compte, plutôt que de parler de terrorisme et de rébellion, la thématique semblait vraiment être le développement de Rin et la recherche de sa « lumière ». Ils ont d’ailleurs quand même osé faire un (très joli) ballet dans le dernier épisode lorsque Rin « danse » avec Fuego.

Je me souviendrai en tout cas de cet anime comme d’une jolie petite série agréable à regarder, et je ne retiendrai pas vraiment son scénario finalement pas très approfondi, car le peu d’épisodes de la série m’aura vraiment empêchée de rentrer dedans. Néanmoins ce fut très plaisant à suivre et ça changeait beaucoup des autres mangasseries bourrées de fan service ecchi et de fillers à la noix (c’était le petit coup de gueule du jour~).

 

MINAMI-KE ~ OKAERI (épisodes 2 à 13 – FIN)

IMPRESSION FINALE :

En voilà une série que j’aurais dû abandonner dès le départ, mais par masochisme (et aussi pour voir jusqu’où pouvait s’enfoncer le studio Asread), j’ai décidé de la regarder en entier. Au départ je pensais que ça allait plutôt renouer avec la première saison, la qualité de l’animation et des dessins en moins, ne serait-ce qu’avec le découpage d’épisode plus proche et l’absence d’histoires originales. En fait c’étaient treize épisodes d’ennui, à plutôt me demander comment la réalisation était tombée aussi bas. A croire que tout le budget de la série est passé dans les dix premières minutes du douzième épisode, qui tranchaient vraiment beaucoup avec le reste. J’aurais quand même tendance à placer cette saison au-dessus de la précédente, mis à part tout ce qui concerne l’animation, mais je n’ose même pas imaginer ce que donnerait une éventuelle quatrième série si c’est encore le même studio qui s’en occupe.

Bref, cette suite n’arrive vraiment pas à la cheville de la première saison. Et finalement je n’aurais parlé que de son côté technique, mais bon, il n’y a pas vraiment grand chose à raconter et à développer sur une série tranche de vie qui parle de l’histoire de trois soeurs (si ce n’est que ça manquait de Hosaka, tout ça ;p).

 

24 commentaires

  1. Une belle flopée d’impressions de fin de saison ça Exelen !

    Je suis d’accord avec toi sur tout sauf sur le soporifique Rideback et le très surestimé M&H (quel plantage cette série quand même si on excepte la direction artistique…). Tout comme toi, mon gros coup de coeur de la saison, c’est Skip Beat! (et Casshern Sins aussi qui n’est pas chroniqué ici), le bon vieux shojo qui ressemble à un shonen avec son héroïne über-badass ;)

  2. ‘Même pas tenté cette nouvelle saison de Minami-ke après Okawari. Le seul truc que j’avais vraiment aimé c’était la reprise du générique de la première saison à la toute fin ( un aveu sur la médiocrité de la deuxième saison par rapport à la première, à mon avis ).

    Pas finis Maria+Holic mais j’ai bien aimé la référence au Virtual Boy.
    « Kyun! »
    : FFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFF

  3. Je n’ai vu que kuroshitsuji dans les anime listés ici. >.>
    Et j’ai adoré. Et sebastian quel homme *ç* moi aussi je veux voir ça véritable forme. J’ai eu peur quand j’ai vu les talons aiguilles j’ai pensé a une drag queen xD
    Sinon la fin elle est bien même si surprenante mais moi qui voulais une suite mais j’en aurais pas :'(
    Et puis undertaker je l’aime bien aussi.
    Sinon y a que l’episode 17 que j’ai pas aimé le comportement de sebastian. Je penserais que tu l’aurais mentionné xD

  4. kabukiman62 >> Les compte-rendus d’Exelen ont toujours été avec spoilers, c’est d’ailleurs pour ça qu’elle les cache XD

  5. Coup de coeur également pour Skip Beat pour ma part malgré une réalisation à la ramasse et une fin en queue de poisson. D’ailleurs je suis allé acheter les premiers tomes dès l’anime fini :D
    Par contre j’avoue être surpris de voir tant d’avis positifs sur Ride Back en général, et son scénario qui n’avance qu’à coup de coïncidences énormes façon Code Geass. Le coup du « roh ben zut, on était là au mauvais moment au mauvais endroit » une fois ça passe, plusieurs fois de suite beaucoup moins. C’est dommage parce que le reste (graphismes, persos, musique…) est très réussi.

  6. Zratul, je le sais bien ^^.
    Et je n’ai pas dit cela dans le ton du dégout, mais dans le ton de la curiosité et de la pulsion qui te pousse à lire, même si tu sais ce qui t’attend :/

    Je préfère le préciser, sait on jamais :p

  7. Jacut > mais pourquoi tant de haine envers Michiko & Hatchin? ;_; Enfin je reste persuadée que ça serait peut-être mieux passé si la série n’avait fait que 13 épisodes. Ça m’impressionne quand même assez le nombre de personnes qui l’ont abandonnée en cours de route. ;)

    X4713R > en parlant de référence dans Maria Holic, j’ai oublié de mentionner qu’il y a eu deux apparitions de Hatsune Miku, tiens. :3

    Game_and_Wiitch > de rien!

    Angelkappa > toi aussi tu as pensé à un drag queen en voyant les talons aiguilles. xD L’épisode 17… je parie que tu parles de celui avec la bonne soeur dans l’étable? :D Bah, ça ne m’aura pas tellement étonnée. Sebastian est un démon, quand même, qu’il agisse ainsi n’est finalement pas très surprenant. :D

    Kirox > j’avais aussi craqué sur le manga de Skip Beat en achetant les 5 premiers volumes d’un coup. Maintenant c’est encore plus frustrant d’attendre la suite. ;_;
    Pour Rideback, je n’ai pas fait tellement attention au scénario et à ses problèmes, à vrai dire (même si c’est plus son manichéisme que ses coïncidences qui m’auront un poil gênée). En fait c’était totalement secondaire pour moi, tellement la réalisation était bonne. Et pour une fois qu’on a une CG pas trop dégueux et bien incrustée à l’écran, je n’allais pas bouder ça. :)

    kabukiman62 > la curiosité est un vilain défaut. :p Comme l’a dit Zratul, je spoile toujours d’où la présence de texte caché, et qui est plus sur des impressions sur des séries qui se terminent où là je spoile carrément sur la fin. ^^;

  8. Alors la question qui tue.
    Est ce que dans les nouvelles séries, tu va bloguer sur queen’s blade.

  9. asmodeal > bien sûr, je vais même bloguer sur TOUTES les nouvelles séries. :D D’ailleurs je viens de voir le premier épisode de Queen’s Blade il n’y a même pas une heure, et je n’ai qu’une chose à dire : WTF (punaise, la fille avec les seins qui explosent, je ne m’en suis toujours pas remise XD).

  10. Gundam 00 ça se regarde mais faut bien reconnaître que Seed reste la référence dans le genre.

    Queen’s Blade ça fleurte sacrément avec le hentaï non ? Kanokon passe pour les bisounours à côté d’après les images que j’ai vu.

    Pour le reste j’ai fini aucune des séries que tu évoques. En plus je viens de récupérer ce qui me manquait de Toradora et To Love-ru mais je sais pas quand je vais m’y remettre. Ma liste de On-hold est bien trop longue sur MAL ^^’.

  11. Objection votre Honneur, je m’inscris en faux sur l’affaire Maria†Holic ! Cette série a juste été victime de sa promotion qui mettait en avant un personnage de travesti, alors que l’histoire tourne autour d’une lesbienne perverse honteusement (ou malicieusement ?) mise à l’écart lors de ladite promotion ! Don’t blame Kanako, blame society ! Je compte bien de toute façon traiter ce dossier dans un prochain article, pour que la Vérité éclate au grand jour !

    Pour One Outs : tout à fait d’accord
    Pour Michiko to Hatchin : tout à fait d’accord (et merci pour le lien)
    Pour Minami-ke Okaeri : les mots me manquent pour décrire ce naufrage

    Tentai Senshi Sunred m’intéresse depuis un bout de temps mais le manque de traductions à l’heure actuelle bloque pas mal mon entrain (et ma compréhension). Mais je garde cette série sous le coude !

  12. Zechs Marquise >oui, Kanokon c’est rien du tout à côté de Queen’s Blade… enfin il vaut mieux que tu vois l’ampleur de la chose de tes propres yeux. ;-)

    cyberpenpen > il y a un peu de ça, aussi, parce que je m’attendais nettement plus à ce que ça tourne autour du trap. Vivement que tu fasses un prochain article dessus, j’ai hâte de lire ton point de vue~

  13. N’ayant pas joué à Tales of Abyss, j’apprécie assez l’adaptation, même si il a fallu pas mal de temps pour que j’accroche enfin à l’histoire. Je la vois un peu comme le premier véritable « Tales of » animé réussi. La série y aurait presque gagné à ce qu’il n’y ait pas de jeu en parallèle, ça aurait évité toutes les comparaisons possibles.

    L’adaptation de Tales of Vesperia est une bonne nouvelle à mes yeux, si ça produit le même effet que pour les OAV Tales of Symphonia je risque d’apprécier. Comme toujours j’ai l’impression que les créateurs de la série sont bien meilleurs sur les travaux d’animation que sur les jeux vidéo en eux-même, j’aimerais qu’ils travaillent sur une série animée indépendante pour voir le résultat que ça donnerait sans ce rattachement vidéoludique.

    Queen’s Blade, pire que Kanokon ? Houla, pas pour moi ça, j’imaginais même pas que ça pouvait exister >.>

  14. N’ayant pas joué à Tales of Abyss, j’apprécie assez l’adaptation, même si il a fallu pas mal de temps pour que j’accroche enfin à l’histoire. Je la vois un peu comme le premier véritable « Tales of » animé réussi. La série y aurait presque gagné à ce qu’il n’y ait pas de jeu en parallèle, ça aurait évité toutes les comparaisons possibles.

    L’adaptation de Tales of Vesperia est une bonne nouvelle à mes yeux, si ça produit le même effet que pour les OAV Tales of Symphonia je risque d’apprécier. Comme toujours j’ai l’impression que les créateurs de la série sont bien meilleurs sur les travaux d’animation que sur les jeux vidéo en eux-même, j’aimerais qu’ils travaillent sur une série animée indépendante pour voir le résultat que ça donnerait sans ce rattachement vidéoludique.

    Queen’s Blade, pire que Kanokon ? Houla, pas pour moi ça, j’imaginais même pas que ça pouvait exister >.>

  15. N’ayant pas joué à Tales of Abyss, j’apprécie assez l’adaptation, même si il a fallu pas mal de temps pour que j’accroche enfin à l’histoire. Je la vois un peu comme le premier véritable « Tales of » animé réussi. La série y aurait presque gagné à ce qu’il n’y ait pas de jeu en parallèle, ça aurait évité toutes les comparaisons possibles.

    L’adaptation de Tales of Vesperia est une bonne nouvelle à mes yeux, si ça produit le même effet que pour les OAV Tales of Symphonia je risque d’apprécier. Comme toujours j’ai l’impression que les créateurs de la série sont bien meilleurs sur les travaux d’animation que sur les jeux vidéo en eux-même, j’aimerais qu’ils travaillent sur une série animée indépendante pour voir le résultat que ça donnerait sans ce rattachement vidéoludique.

    Queen’s Blade, pire que Kanokon ? Houla, pas pour moi ça, j’imaginais même pas que ça pouvait exister >.>

  16. Dommage pour G00, tu ne sauras pas comment fini Patrick (ni Ali). :D

    J’ai lu beaucoup de déceptions à propos de Michiko to Hatchin, en fait je ne trouve pas qu’il y ait de réel fil conducteur, du coup il y a des problèmes de rythme dans certains épisodes. Cependant l’anime reste très bon et très agréable à suivre (et puis Michiko *__*).

  17. Tout à fait d’accord pour Sunred, même si en fait, j’ai plus l’impression d’avoir du slice of life mais avec un « héros » de sentai en protagoniste principal, sans les bastons et les poses/chorégraphies propres au genre. Et de toutes façons, même une série comme Sunred est largement mieux animée que Minami-Ke Okaeri lol.

    Pour Zoku Natsume Yujinchoun, je viens juste de voir le premier épisode. J’ai l’impression de retrouver l’ambiance d’un Okami ou presque et ça tue.

  18. je suis d’accord pour skip beat… Ca ne ressemble pas à une fin.
    Mais je suis contente d’avoir découvert cet anime; c’est grâce à lui que j’ai commencé un des meilleurs manga shôjo… D’ailleurs pour ceux qui ne l’ont pas encore lu… N’hésitez pas! C’est 10 fois mieux (au moins)

    Pour la merveille de queen’s blade; j’ai juste regardé le trailer… Ca m’a suffit… En même temps je ne pense pas faire partie du public visé ^^’

  19. Pour la dernière saison de Minami ke je plussois totalement, une grosse grosse déception…(Se dire que hormis la première saison ont peut oublier toute la série st’un peu triste quand même).

  20. Tout à fait d’accord pour Minami-ke ~ Okaeri, je n’ai vu que les deux premiers épisodes mais ces derniers m’ayant royalement fait chier je n’ai voulu reprendre, du coup c’est en On-Hold pour le moment.
    En tout cas je dirai que la série a sombrée progressivement, la première saison était très bonne, la deuxième moyenne, et celle ci paraît ennuyeuse à mourir.

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