Chou Jigen Game Neptune, la guerre des consoles version « moe », suite et fin : réussite, ratage, ou simple RPG de niche qui ne comblera qu’une poignée de joueurs ?
Pour ma part, je dirais plutôt gâchis. Car autant l’idée de départ est géniale, autant dans le jeu la réalité est toute autre, tant au niveau de la forme que du fond : aux mains de sociétés plus compétentes que Compile Heart et Idea Factory on aurait peut-être pu avoir un jeu digne de ce nom, mais au final on se retrouve avec un titre que j’ai trouvé bancal et médiocre, ni plus ni moins. Explications.
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L’arnaque au niveau des personnages jouables
Lorsque l’on prend connaissance du scénario, l’erreur serait de se dire « chouette, on va pouvoir jouer avec les personnifications des consoles ! ». Tout simplement parce que le joueur ne dirigera que trois personnages durant tout le jeu : Neptune, Compa et If.
Quel est donc le rôle des trois autres déesses que sont Blanc, Vert et Noire ? Et bien le joueur se battra contre elles à diverses reprises tout au long du scénario, mais c’est tout. Il existe cependant un moyen de recruter ces trois déesses, mais ce moyen permet de les utiliser uniquement durant le donjon final et le post-game… Et les recruter est assez contraignant car cela demande de se pencher sur le système de « partage » : il existe en fait pour chaque donjon de chaque continent (mis à part les donjons que l’on doit obligatoirement faire dans le scénario) une petite barre de pourcentage dédiée à chaque continent. Recruter l’une des déesses pour le donjon final demande de monter la barre de son continent à 40 % environ, ce qui déclenchera alors un événement spécial. Mais ceci est plus facile à dire qu’à faire, car la barre de pourcentage d’un donjon d’un continent pioche en fait dans la barre d’un autre continent. C’est un système inutilement complexe et prise de tête qui demande de passer de longues heures à faire monter ses barres en faisant des aller-retours incessants dans les donjons…
A part les déesses, il existe deux autres personnages que le joueur rencontre durant le jeu : Gust et Nippon Ichi. Et là, on se dit qu’à défaut de pouvoir recruter les déesses durant le scénario principal, on pourra au moins recruter ces deux-là.
Et bien non.
Car Gust et Nippon Ichi ne seront disponibles que dans un futur DLC. En attendant elles ne sont disponibles qu’en tant que « GUEST » dans le jeu, et permettent seulement deux choses : Gust rend les objets des boutiques moins chers tandis que Nippon Ichi permet de voir les fameuses barres de « partage » de chaque continent.
Nippon Ichi, ou comment prendre les joueurs pour des pigeons
Un système de soin bancal
Dans Chou Jigen Game Neptune, on ramasse des potions pour se soigner en tuant des ennemis, en ouvrant des coffres ou bien en les achetant dans des magasins. Mais on ne peut les utiliser à partir du menu, et encore moins à volonté durant les combats : à la place, chaque personnage possède un « Item Skill » qui est une sorte de formule de commande (par exemple, se soigner à 50% lorsque les points de vie sont à moins de 30%, et uniquement lorsque l’on se protège), et ces formules s’apprennent au fur et à mesure que le niveau du personnage augmente.
Étant donné que chaque formule dépend d’un pourcentage que le joueur devra ajuster suivant un nombre d’Ability Points limité, et que la mettre à 100 % n’activera pas forcément la commande à tous les coups, inutile de préciser qu’il y a tout de même un GROS facteur chance qui entre en jeu. Cependant, il existe un moyen de rendre un peu moins fastidieux ce système de soin : changer les commandes au fur et à mesure d’un (long) combat. Car il est possible durant un combat d’accéder au menu principal à volonté, en appuyant simplement sur le bouton Start (à condition de ne pas être en plein milieu d’un combo).
Des combats mous et rébarbatifs
S’il y a bien quelque chose qui m’aura horripilée au plus au point dans ce jeu ce sont ses combats : un comble pour u RPG. Car autant le système de skills et de combo est franchement sympa, autant les combats en eux-mêmes sont horriblement ennuyeux et inutilement longs. Ils sont d’autant plus lents que leur rythme est complètement à la ramasse, et même tuer deux petits ennemis de rien du tout peut prendre du temps, surtout au début du jeu. Heureusement que cela s’améliore au fur et à mesure que le joueur gagne des techniques nettement plus rapides et efficaces, mais malheureusement la longueur des combats, à cause d’ennemis qui possèdent une très bonne défense ou encore des milliers de points de vie, reste un problème tout au long du jeu. Surtout lorsque certaines attaques baissent la barre de défense au lieu de la barre de vie des ennemis… Il n’est donc pas impossible, dans certains donjons de la deuxième partie du jeu, de passer plus de cinq minutes sur un simple combat aléatoire.
L’autre problème est que l’animation pour attaquer (surtout celle des ennemis) est LENTE. Heureusement il est possible de sauter les animations spéciales en pressant L2, mais pour le reste il faudra attendre un prochain DLC déjà prévu qui devrait permettre de réduire le temps des combats. Merci de vendre des jeux non finis.
Le pire est tout de même le fait de se faire attaquer en permanence par des monstres faibles, surtout lors des donjons obligatoires qui servent de ponts entre deux continents. Pour pallier à cela, il existe une méthode à laquelle j’ai eu recours et qui m’aura énormément évité de nombreuses crises de nerfs : éviter les ennemis en chargeant sa sauvegarde. Comme il est possible dans le jeu de sauvegarder n’importe où, et que le joueur se fait attaquer tous les 32 pas environ, il suffit de faire 30 pas, de sauvegarder, de recharger de suite sa sauvegarde, puis de refaire de nouveau 30 pas, et ainsi de suite. Car le nombre de pas est remis à zéro lorsque l’on charge des données, et utiliser cette méthode est BEAUCOUP plus rapide que de faire un combat, car cela ne prend qu’une poignée de secondes.
Si seulement le jeu pouvait être aussi dynamique que le laisse supposer cette image :(
Un jeu techniquement pauvre
Dès les premières minutes, on sent bien que ce jeu n’a pas eu énormément de budget (même le générique d’ouverture fait un peu pitié). Tout semble tellement minimaliste que l’on est en droit de se dire que c’est assez limité pour de la PS3, avec des animations plutôt rigides, et bien que le côté technique ne soit pas non plus complètement à la rue ça fait quand même un peu jeu vidéo réalisé par des amateurs.
On notera également la présence de longs temps de chargements : il faut à peu près 8 secondes entre le moment où le joueur rencontre un ennemi et le moment où le combat commence (et non, on ne peut pas installer le jeu sur le disque dur, sinon ça serait trop facile). On finit tout de même par s’y faire à la longue, et il en est de même pour le côté mou des animations des personnages qui avancent à deux à l’heure et semblent sous Prozac lorsqu’ils ouvrent le moindre coffre.
99 % des donjons ressemblent à ça. *pleure*
Mon autre reproche concerne les donjons vides qui se ressemblent tous et sont surtout extrêmement courts ; même le donjon final n’est qu’un couloir circulaire de quelques dizaines de mètres avec une pièce ronde au milieu. Cela donne un côté assez donjon-RPG mais malheureusement on peut s’en lasser assez vite, avec une forte impression de faire en boucle la même chose…
Cette monotonie est hélas un point qui est pour moi l’autre gros problème du jeu, en dehors des combats. Pendant toute sa partie le joueur devra inlassablement faire la même chose, dans des donjons qui se ressemblent tous, en exécutant (presque) toujours les mêmes attaques, affrontant toujours les mêmes ennemis parce que le bestiaire est tellement peu développé que l’on a beaucoup d’ennemis avec seulement la couleur qui change, et en écoutant les mêmes musiques. Car même les thèmes musicaux de chaque continent (surtout ceux des combats) sont identiques, mais en étant remixés d’une façon différente, donnant l’impression qu’il n’y a que 15 thèmes en tout et pour tout dans le jeu. Heureusement, les musiques ne sont pas trop mauvaises, mais écouter la même chose pendant une trentaine d’heures relève un peu de la torture mentale.
Si ces points négatifs sont ceux qui m’ont personnellement le plus gênée, tout n’est cependant pas à jeter, et il y a trois aspects dans ce jeu que j’ai bien aimés. La première chose, mais encore cela dépend des gens et du degré de tolérance de chacun envers le style « moe », est simplement le chara-design que l’on doit à l’illustratrice Tsunako : c’est mignon tout plein. La deuxième chose, ce sont les personnages en eux-même, rudement attachants, et dont les interactions sont amusantes. La troisième chose, et pas des moindre, est ce qui m’a permis de m’accrocher pendant les 30 heures environ qu’aura durée ma partie : tout le côté parodique ainsi que les références.
L’humour et l’aspect parodique
Neptune chantonne parfois en fin de combat la « victory fanfare » des Final Fantasy
Le principal intérêt de Chou Jigen Game Neptune réside en fait dans ses dialogues et ses nombreux textes. Car le fait que l’on dirige des consoles qui se battent contre la personnification du piratage n’est que secondaire : en fait, cela n’a même pas l’air très important dans le jeu, et les développeurs ne sont franchement pas allés à fond là-dedans.
En revanche, là où le jeu trouve sa force, c’est au niveau des petites séquences que l’on débloque au fur et à mesure que l’on avance dans le scénario (ou lorsque l’on termine un certain nombre de donjons secondaires). Ces scènes,non doublées malheureusement, sont toutes une référence à un titre en particulier. Cela peut être par exemple un personnage portant un masque, qui dit être mangaka, et qui parle de l’existence d’immenses ombres en forme de dragon… Ou encore la rencontre de Neptune avec une étrange tortue dans un mystérieux royaume des champignons, et raconte être poursuivie par deux frères qui font de gigantesques sauts…
Les autres aspects parodiques se retrouvent également dans les objets rares mais inutiles que l’on peut trouver dans des coffres (comme des badge ou des figurines), le nom des lieux et des donjons, des ennemis (il y a des chocobos !) mais aussi et surtout durant les combats. Et plus particulièrement au début et à la fin de ces derniers.
Et à ce niveau-là, le jeu est complètement bourré de références, qui n’englobent pas que les jeux vidéo mais aussi les anime et la culture populaire (principalement les mème issus de 2ch et Nico Nico Douga) : il est toujours amusant de voir l’héroïne crier de célèbres phrases tirées d’anime comme « je ne dois pas fuir je ne dois pas fuir je ne dois pas fuir » ou encore « Au nom de Neptune, je vais te punir ! » au début d’un combat, et il est intéressant de retrouver du Slam Dunk, Yugioh, Gundam ou encore du Dragon Ball Z qui côtoient des références tirées de jeux vidéo comme Gears of War ou encore les Super Robot Taisen…
Même les transformations rappellent Sailor Moon
Les noms des quêtes et des événements sont aussi des références à un peu de tout et n’importe quoi, de Yoshi Island à Valkyrie Profile en passant par Tales of Vesperia, et je retiens particulièrement la mission intitulée « Kuso Machine of the Year », hommage au célèbre classement japonais des jeux vidéo les plus mauvais, le Kusoge of the Year. Même si un jeu du niveau de Chou Jigen Game Neptune qui se moque des navets vidéoludiques peut faire sourire… Et une option dans le menu permet même de faire défiler à l’écran le nom des attaques, de la même manière que les commentaires du site Nico Nico Douga qui défilent sur les vidéos.
Étant donné que si tout se passe bien ce jeu devrait sortir en occident (les trophées sont déjà en anglais), j’ai quand même bien peur pour les références car certaines risquent de passer à la trappe. Je ne vois pas comment ils vont faire pour tout adapter, tant au niveau des dialogues que des attaques dont certaines utilisent des smileys issus de 2ch, ou alors il faudra réécrire une bonne partie des textes.
Le mot de la fin
En tant que RPG pur et dur, Chou Jigen Game Neptune est un jeu que j’ai trouvé relativement mauvais et techniquement pauvre et dont le côté répétitif pourra en lasser plus d’un. Entre des personnages qui ne seront jouables que dans un futur DLC, un level design honteux, des musiques et des ennemis quasiment tous identiques ainsi qu’une certaine mollesse au niveau des combats, j’étais quand même en droit de m’attendre à un peu mieux.
Restent heureusement des personnages attachants, un chara-design mignon et surtout beaucoup d’humour avec énormément de références. Ceux qui s’attendent donc à un RPG offrant le minimum syndical et un scénario complexe peuvent donc passer leur chemin et économiser leur argent, car Chou Jigen Game Neptune reste quand même un RPG rempli de fan service qui n’a certainement pas d’autre prétention que de faire passer un bon petit moment ; ceux qui n’ont pas peur des jeux minimalistes et répétitifs où il faudra inlassablement faire la même chose pendant 30 heures peuvent lui donner une chance, ne serait-ce que pour l’humour des dialogues, puisque le principal intérêt de ce jeu réside dans ses textes.
Il est tout de même dommage que le concept des consoles de jeu qui se battent ensemble n’ait pas été poussé plus loin, à croire que Compile Heart a eu peur de pousser le délire à fond, ce qui fait que l’on se retrouve au final avec quelque chose de bien gentillet et trop politiquement correct. Tant pis.
Sinon on peut aussi choper Deathspank sur le PSN. Là aussi le vrai (seul) intérêt du jeu c’est les dialogues mais au moins le gameplay est pas catastrophique, le tout pour bien moins que 7000 yens :p
Ouch, 8 secondes de temps de chargement ? Et il n’y a pas d’installation sur le disque dur de la PS3 ?
Sinon dommage pour ce jeu. L’idée de base était plutôt sympa mais là, ça donne quand même un jeu blindé de références à tous ces jeux qu’on connait… et de n’être que ça finalement.
Au fait, par simple curiosité, t’as acheté la version collector ou l’édition simple ?
Johann >Deathspank ? Je note. :3
neokenji > non, on ne peut pas installer le jeu sur le disque dur de la PS3, il n’y a pas d’option pour cela. J’ai d’ailleurs oublie de le preciser, alors je vais m’empresser de le rajouter dans l’article~
Sinon j’avais achete la version collector (avec l’artbook, le CD de l’OST et le sac), car c’est bizarrement la seule qui etait en vente au magasin a cote de chez moi.
Un peu ce que je craignais pour le jeu. Tu ressort les même défauts que pour Cross edge et trinity universe, a savoir des système de combats basés sur des combos alléchant sur le papier, mais terriblement lourd in game, avec des combats qui s’éternisent, même pour des monstres faibles :/ .
Je me prendrais quand même le jeu, mais a petit prix, de toute façon je sais que je ne pourrais pas résister en voyant la jaquette >_> .
« Mais si, ça va être bien, j’y crois », « Famitsu lui a mis une note moyenne, mais Famitsu n’a plus de crédibilité », « Demon’s Soul a subi le même sort », bla bla bla…
HA HA ! ;D
M’enfin, j’ai failli craquer aussi. Reste que découvrir toutes les références doit être sympa. En tout cas, merci pour beaucoup pour ces deux posts super intéressants. ^^
Pourquoi Magiquone est habillée en sorcière et pas en pirate ? =D
Plus sérieusement c’est qui la fée sur la dernière image ? Une console portable ?
N’empêche, juste Neptune, Compa et If en persos jouables de base. Ca fait pas du tout auto-promotion à peine honteuse XD
Mais je suppose que les plus grosses boites auraient fait des yeux tout aussi gros si on avait joué avec leur nom dans un RPG fanservice médiocre.
Je suis DESU Desu desu…
Enfin je m’y attendais quand même assez fortement.
Oyashiro > Cross Edge et Trinity Universe ont les mêmes défauts ? Mais comment ces jeux arrivent à se vendre ? D:
Vidok > ah c’est vrai que j’avais dit ça. Mais là, pour une fois je rejoins totalement l’avis de Famitsu !
X4713R > la fée n’est pas une console, c’est juste un personnage inédit ; d’ailleurs c’est elle qui demande à Neptune de sauver le monde.
T’auras peut être un DLC pour pouvoir l’installer sur le dd de la console.
Exelen > parce qu’il y a des couillons comme moi pour les acheter D=.
Enfin plus sérieusement ce sont des jeux qui ont également des qualités, notamment leurs humour, le chara design. Il y a l’aspect fanboy qui rentre en compte aussi (vu que cross edge et trinity universe sont des cross over d’NIS, GUST ect…
Après le gameplay en générale n’est pas inintéressant non plus, Cross edge et trinity universe ont des systèmes de combo intéressants, de l’item création et des trucs qui peuvent être assez addictifs pour peu que l’on soit sensible au power leveling.
Après c’est surtout l’ergonomie et la lourdeur/lenteur générale des jeux (je ne parle pas de l’aspect technique qui est vraiment a la ramasse et qui propose aussi des loading honteux) qui cassent tout.
C’est bête parce qu’il y a de l’idée dans ce qu’ils font, si ils travaillaient ça je suis sur qu’ils pourraient sortir des jeux très sympa.
« formule de commande (par exemple, se soigner à 50% lorsque les points de vie sont à moins de 30%, et uniquement lorsque l’on se protège), Item Skills qui s’apprennent au fur et à mesure que le niveau du personnage monte. »
> Tiens on dirait le systeme de Gambit de FFXII en pire.
Par contre vu la déception que tu t’es pris, je te déconseille sérieusement de faire Cross Edge et Trinity Universe car tu vas serieusement déjanter…
Oyashiro > c’est dommage, Compile Heart a l’air d’avoir de bonnes idees mais pas vraiment les moyens de les mettre en oeuvre. Quel gachis.
Ichikyo > et dire qu’a un moment Trinity Universe me tentait… Je me dis que ca ne peut pas etre pire que ce Chou Jigen Game Neptune, il faudrait que j’essaye de me le prendre quand meme si je le trouve a 1000 yens.
Sinon Neptune s’en est pris aussi plein la tronche via les trailers sur Nico Nico Douga, les internautes se demandant si c’etait un « doujin game ». ^^;
C’est le même développeur que trinity universe donc ?
Je vois le « style » graphique y ressemble fortement.
Sinon une question car ce jeu m’intéresse pour quand il sortira chez nous, est-il difficile ?
Cross Edge est une torture pour les nerfs, trinity universe est « relativement » simple, me demander ce qu’il en était de celui-là. Sinon je constate que compile heart aime toujours autant mettre en place des système abracadantesque pour obtenir les bonnes fins et dongeons finaux de leurs jeux :s
Sinon pour trinity tu peux l’essayer, il est répétitif (dongeon généré aléatoirement dont les maps ressemble beaucoup à tes screens de Chou Jigen Game Neptune) mais franchement il se laisse jouer sans se prendre la tête et les dialogues sont en général très drôle :P (puis aussi et surtout il y a les PRINNY jouable et ca c’est culte).
Cross edge lui par contre je l’ai fini et je déconseille, mes nerfs en sont toujours pas remis puis alors le système pour avoir la vrai fin c’est juste innommable…
Darkdamien > je n’ai pas trouvé le jeu spécialement difficile. Je l’ai même trouvé relativement simple, étant donné que l’on obtient au bout de quelques heures à peine un coup spécial surpuissant capable de tuer tous les ennemis en un seul coup.
Mais le reste dépend aussi de la manière dont tu décides d’organiser tes skills de combats et tes skills de soin. Et puis le facteur chance entre aussi en jeu, donc bon…
A lire partout que Cross Edge est à éviter comme la peste, c’est ce que je vais faire. :D Pour Trinity Universe, je vais attendre un peu si je me l’achète, là j’ai eu ma dose de donjons répétitifs pour le moment. :x
A noter que Trinity Universe n’est pas de Compile Heart, mais d’Idea Factory. :3
Et en effet, en lisant ton article sur Neptune ça m’a beaucoup fait penser à TriUni, un jeu qui avait du potentiel, dont les dialogues et situations sont sympa, mais dont le gameplay ne suit pas.
J’pense que j’achèterai Neptune comme j’ai acheté TriUni (enfin, Neptune j’attendrais un peu), puisque j’avais déjà du mal a résister aux charmes du Chara Design et du concept. Mais c’est dommage que le jeu soit « bâclé ».
OK merci de l’info, ca sera pas pire que les autres compile heart, il sera mien quand il sortira même si je pense avoir le temps d’ici là (et entre temps va y avoir atelier rorona ^__^).
Dommage quand même que les jeux de cet éditeur soit systématiquement plombé par ces histoires de dongeons répétitifs et surtout de combats trop fréquent (cross edge bordel >_<). Encore heureux que sur trinity universe ils ont fait en sorte qu'on puisse combattre tous les monstres d'un dongeon d'un coup et avoir la paix ensuite :s
Ouais mais non pour Trinity
Si t’arrive a nettoyer un trou noir où sortent les ennemis, t’aura juste la paix 5 minutes. Ensuite la marque disparait et les ennemis continueront a spammer en boucle (Ce qui était déjà un enfer dans les donjons de type LV50-130 où les donjons prenaient genre 15 minutes à être exploré entierement.)
Sinon non pour les donjons aléatoires pour Trinity. Ce sont les mêmes maps mais uniquement pour les étages concernés (ce qui facilite beaucoup pour rechercher les gravity core et les exploser, comme pour la localisation du boss et des coffres), des donjons aléatoires, ce serait surtout ce qu’on se mange sur Dark Cloud/Chronicles, Rogue Galaxy et persona 3.
Ichikyo & Darkdamien > le truc avec les monstres et les donjons a l’air d’etre le meme dans Neptune : il y a l’option « Monster Call », qui permet d’appeler des monstres et d’en affronter un paquet ; une fois elimines on a la paix pendant quelques temps, ce qui permet d’explorer le donjon a sa guise.
http://blog.livedoor.jp/maxell011/archives/1349115.html
Oh? Un manga de Neptune
Oh c’est bien cochon XD.
Ichikyo > Diantre, ils ne savent plus quoi faire pour attirer la clientèle~
[…] suffisamment parlé en long, en large et en travers de Hyperdimension Neptune ici et là. Si je le considère comme un pétard mouillé, c’est parce que sous ses airs de jeu sympa […]
http://blog.livedoor.jp/maxell011/archives/1406580.html
Et du DLC de prévu dont on en a rien a foutre mais néanmoins curieux de savoir si on en aura lors de la sortie occidentale…
[…] et doit gagner le soutien des autres consoles/déesses. A ce qu’il paraît le jeu est nul techniquement, et ne vaut qu’en tant qu’hommage nostalgique à cette génération de consoles […]