[PS3] Suzumiya Haruhi no Tsuisou

J’avais au départ prévu d’attendre une baisse du prix mais aussi le retour des critiques avant de me procurer ce titre. Mais lorsque l’on se retrouve dans une boutique de jeux vidéo qui te propose sous les yeux la version collector dédiée au personnage de Yuki, il est parfois difficile de résister plus longtemps. Oui, je suis faible.

Ce titre basé sur la licence Suzumiya Haruhi no Yuuutsu, c’est Suzumiya Haruhi no Tsuisou (The Reminiscences of Haruhi Suzumiya en anglais dans le jeu), sorti à la fois sur PSP et PS3. A priori, pas vraiment de différences dans les deux versions, si ce n’est une compatibilité des sauvegardes histoire de jongler entre les deux supports pour les pigeons joueurs qui voudraient se procurer les deux jeux… Mais pour cet article je ne me baserai que sur la version PS3, n’ayant joué qu’à cette dernière.

Suzumiya Haruhi no Tsuisou est la suite directe du film Suzumiya Haruhi no Shoushitsu, la Disparition de Haruhi Suzumiya : il est donc inutile de préciser qu’il est absolument impératif d’avoir regardé ce dernier avant. Il est de plus avant tout destiné aux fans de la saga car il comporte pas mal de petits clins d’œil et une dose non négligeable de fan service, les différents personnages secondaires étant par ailleurs mis assez en avant. J’ai même été agréablement surprise de voir que Ryôko Asakura a eu droit à un joli traitement dans ce jeu, d’autant plus qu’elle y est très présente.

Et une boucle temporelle, une !

Suzumiya Haruhi no Tsuisou est une sorte de visual novel, d’apparence assez complexe, avec une intrigue qui commence par la dernière scène du film. Cette même scène où Yuki et Kyon sont sur le toit de l’hôpital et où Yuki lui dit qu’elle va être sûrement jugée et punie pour ce qu’elle a fait, Kyon lui répondant que s’il lui arrive quoique ce soit il fera en sorte que Haruhi créé un monde où l’Entité n’existe pas.

Le lendemain matin, Kyon se réveille assez surpris : il se trouve non pas dans son lit d’hôpital mais dans une salle de club vide. Dehors, il n’y a plus de neige, et c’est visiblement le jour du festival de son lycée. La porte du club s’ouvre, et c’est en voyant une Yuki avec des lunettes qui y entre que Kyon comprend qu’il est probablement de retour dans ce monde alternatif, celui où la brigade SOS n’existe pas et où Haruhi n’a jamais été transférée dans son école. Il finit par croiser Mikuru et Tsuruya, qui effectivement ne le reconnaissent plus : c’est à ce moment-là qu’il se demande si c’est encore de la faute à Yuki s’il se retrouve dans ce monde alternatif, bien que cette dernière ne lui ai pas laissé d’indices cette fois-ci.

Heureusement pour lui, Kyon reçoit un coup de fil d’un numéro inconnu sur son portable qui s’avère être celui de Mikuru, et plus précisément de la Mikuru du futur. Après l’avoir rejoint dans un endroit de son lycée à l’abri des regards, elle lui explique qu’il se trouve dans un monde qui ne dure que 48 heures, le passé et le futur en dehors de cette limite de temps n’existant plus. Au-delà de 48 heures, la seule chose qui pourra arriver à Kyon est de revenir au début du tout premier jour… Ces explications rappellent de très mauvais souvenirs à Kyon (et au joueur) à cause d’un certain été qui s’était répété inlassablement des milliers de fois. Il est cependant un peu rassuré d’apprendre que cette fois-ci la situation est différente et qu’il gardera le souvenir de tout ce qui s’est passé à chaque répétition de la boucle.

Mikuru demande donc à Kyon de l’aider à « réparer » cet univers (similaire à celui qu’il avait déjà visité dans le film) en précisant que lui seul est capable de le faire car il est un peu comme une anomalie dans ce monde. Pour aider Mikuru, Kyon devra donc réunir des marque-pages dimensionnels. Ces marque-pages peuvent revêtir n’importe quelle forme, et les réunir permettrait a Kyon de revenir également dans son monde originel. Le jeu se déroule en fait en cinq phases bien distinctes, la première faisant un peu office de tutoriel et permettant à Kyon de rencontrer Haruhi, venue assister au festival de son lycée en compagnie de Itsuki.

La « première » rencontre avec cette Haruhi commence mal, à cause de Kyon qui se présente directement comme étant un certain John Smith, mais elle ne le croit absolument pas. C’est cependant au terme de ces deux jours et suites à quelques répétitions de la boucle temporelle que Kyon finira par arriver à gagner la confiance de Haruhi, cette dernière lui remettant son fameux ruban jaune… qui se révèle être en fait l’un des marque-pages dimensionnels recherchés par la Mikuru du futur.

Le lendemain, le même jour se répète, à la différence près que Haruhi se souvient parfaitement de Kyon. Ce qui n’est pas le cas de Itsuki, assez perplexe de voir Haruhi connaître Kyon alors que pour lui il ne l’a jamais rencontré ni entendu parler de lui, ce qui lui provoque un petit sentiment de jalousie. Le but de la seconde phase de jeu est donc de faire en sorte que Itsuki se souvienne de Kyon à chaque boucle temporelle, comme c’est arrivé avec Haruhi. Cette seconde phase se termine lorsque Kyon, Haruhi et Itsuki se prennent en photo ensemble ; cette photo est également un marque-page dimensionnel, sauf qu’il ne peut être utilisé : la Mikuru adulte explique alors que cette photo n’a pas assez de puissance… Kyon lui dit en plaisantant que c’est parce qu’il manque deux membres de la brigade SOS dessus, mais malheureusement pour lui il a raison : pour remettre les choses en place dans ce monde et en sortir, Kyon doit donc de nouveau réunir la brigade SOS au complet, mais aussi faire en sorte de prendre une photo où ils seraient tous les cinq dessus.

La troisième et quatrième phase du jeu, les plus longues, demanderont à Kyon de faire un certain nombre de retours dans le passé tout en alternant avec divers embranchements parallèles, car bien entendu rien n’est linéaire dans ce jeu, chaque décision du joueur ayant son importance et pouvant apporter un ou plusieurs embranchements. Ces phases mettent davantage l’accent sur Mikuru et Yuki ainsi que Tsuruya et Ryôko, mais c’est cependant après avoir pris la brigade SOS au complet en photo, mettant ainsi la main sur le dernier marque-page dimensionnel, que Kyon se demande ce qu’il va advenir de ce monde et s’il va être tout simplement effacé… Il demande alors à la Mikuru adulte de lui faire revivre une dernière fois ce monde de 48 heures, avec cette fois-ci l’idée de réaliser un film, durant le tournage duquel il dit à Yuki qu’il a fait tout ça pour elle, ce que bien évidemment cette dernière ne comprend pas ce qu’il veut dire par là. Car Kyon éprouve quand même des regrets en repensant à cette Yuki  de l’autre monde, celle de la Disparition, et à laquelle il avait rendu son formulaire d’admission au club de littérature en lui disant qu’il ne pouvait pas l’intégrer.

La dernière phase du jeu permet donc à Kyon d’accomplir un dernier miracle grâce à un marque-page dimensionnel et de revoir la Yuki du film, où il découvre que cette dernière l’attendait toujours, et qui était visiblement la cause des problèmes temporels du monde limité à 48 heures (ainsi que le fait que Kyon s’y soit retrouvé !). Il lui explique qu’il vient d’un monde parallèle et qu’il souhaite lui donner sa feuille d’admission au club de littérature, avec cette fois-ci son nom dessus, avant de devoir repartir pour de bon dans son propre univers. Mais il est toutefois soulagé d’apprendre que cette Yuki-là ne regrette pas qu’il s’en aille ainsi : elle est au contraire heureuse d’apprendre que dans le monde d’origine de Kyon ils sont ensemble dans le même club et lui dit que tout ira bien pour elle, lui faisant ainsi ses adieux définitifs lors d’une scène de dialogue des plus touchantes.

 Un système de jeu trop complexe ?

C’est ce que pourrait laisser penser ce Suzumiya Haruhi no Tsuisou la première fois qu’on le commence : gérer différentes possibilités sur une même ligne temporelle dans un univers alternatif, avec à la clef de multiples embranchements et différentes fins dont une seule qui permet à chaque fois de passer à la « phase » suivante, ça a de quoi faire peur au début. Sans parler du fait qu’il existe 21 fins différentes, toutes étalées sur les 5 phases du jeu… Mais en fait il en est tout autrement, car cela n’a absolument rien de compliqué.

Une fois le prologue terminé et le jeu qui débute pour de bon, on commence avec une première « phase » pas très complexe qui fait un peu office de tutoriel. Il est alors possible à tout moment de faire apparaître une sorte de carte qui montre au joueur son avancée dans la ligne temporelle, les différents embranchements possibles mais aussi les événements qui risquent de s’y produire, même si on ne sait pas vraiment à l’avance ce que cela va être. Sur chaque ligne se trouve un petit point rouge, qui représente tout simplement une scène (un événement, un dialogue…). La première fois que l’on joue on ne tombera pas forcément sur la « bonne » fin qui fera avancer à la phase suivante, mais néanmoins Kyon sera aidé par la Mikuru du futur, qui lui enverra des e-mails comportant assez souvent des conseils importants et sur ce qu’il faut faire pour avancer.

En cas d’erreur Kyon se retrouvera forcé de recommencer au début du premier jour d’une phase ou à un précédent « marque-page », et ceci peut parfois devenir un peu pénible lors des dernières phases, très complexes et aux multiples embranchements, qui demandent au joueur de bien se servir du système de marque-page et de revenir en arrière au bon moment. Car il existe en effet un système de marque-page : si le scénario demande à Kyon de trouver des marque-pages dimensionnels, dans le jeu ils permettent au joueur, comme leur nom l’indique, de marquer un passage dans la ligne temporelle afin de pouvoir y revenir plus tard, comme par exemple au début d’un embranchement lorsque l’on se voit offrir plusieurs choix par un personnage.

On pourrait alors se dire « autant sauvegarder puis charger sa partie en cas d’erreur », or ce n’est pas du tout la même chose : il faudra très souvent obligatoirement avancer dans le jeu quitte à obtenir une mauvaise fin pour récupérer tel objet, et ce afin de pouvoir l’utiliser en retournant dans le passé. Car tous les objets trouvés par le joueur sont définitivement acquis et donc réutilisables à volonté, même si le joueur obtient une « mauvaise » fin et qu’il doit retourner au début de la boucle temporelle. L’une des phases demandera même au joueur de poser des marque-pages aux bons embranchements afin d’y retourner une fois un certain objet acquis, et ce sur plusieurs embranchements à la fois : Kyon possède ici la possibilité de retourner quand bon lui semble à un précédent point dans le temps via ces marque-pages grâce aux pouvoirs de la Mikuru du futur.

Si ce système de marque-pages est donc important, le reste du jeu est cependant plus proche de ce que l’on peut attendre d’un titre s’apparentant à un visual novel. Il y a donc de très nombreuses phases de dialogues et énormément de textes, dont des dialogues aux nombreux choix multiples. Lors de certaines conversations il sera possible de débloquer d’autres sujets de conversations, qui à leur tour en débloqueront d’autres si on choisit la bonne phrase. Ceci est important car cela permet, en faisant les bons choix, de faire avancer l’histoire.

L’autre phase de gameplay du jeu est le passage où l’on choisit ou se rendre, au moyen d’une sorte de représentation du programme du festival du lycée et où le joueur dirige une version SD de Kyon. Les journées étant découpées en plusieurs parties, chacune représentant une heure (ou deux suivant les événements), il faudra alors parfois faire attention en choisissant le bon endroit où se rendre et à la bonne heure. Mais le jeu n’est pas trop pénalisant là-dessus et cela fera juste rater quelques jolies images à débloquer, d’autant plus que parfois la Mikuru adulte indiquera au joueur par e-mail où il faudra qu’il se rende pour faire avancer le scénario si jamais ce n’est pas évident. Dans le pire des cas il faudra recommencer la boucle temporelle, mais heureusement le jeu garde en mémoire les choix faits lors des boucles temporelles précédentes et indique donc cela via une marque en rouge, afin d’éviter que le joueur ne répète inlassablement la même erreur.

Outre le jeu principal, Suzumiya Haruhi no Tsuisou propose d’entrée différents petits « plus » accessibles dans le menu principal et au nombre de trois. Il y a tout d’abord Endless Fight, mon préféré, qui comme son nom l’indique permet d’enchaîner à l’infini des combats qui se déroulent d’une manière qui rappelle les RPG. Sauf que ce n’est pas un RPG mais un style de tower defense, ces jeux où l’objectif est de défendre une zone contre des vagues successives d’ennemis, avec la possibilité à la fin de chaque vague d’améliorer ses compétences. Ici le joueur dirige Kyon, qui donne des ordres à la brigade SOS tout en faisant en sorte qu’aucun ennemi ne passe sous le pont sur lequel il se trouve. Le jeu est vraiment addictif pour peu que l’on aime le genre, avec des ennemis parfois bien loufoques comme la présence de clones d’Ultraman ou encore d’un certain club de musique légère.

Le second jeu présent est Kisekae block kuzushi, qui comme son nom ne l’indique pas est un casse-brique. Mais un casse-brique un peu particulier car le joueur a dès le départ le choix entre trois tableaux représentés par un personnage féminin (Haruhi, Mikuru et Yuki), chacun de ces tableaux étant sous-divisé en plusieurs parties. Le but est est bien entendu de détruire des blocs, qui ont la particularité ici d’être invisibles mais aussi de représenter les vêtements des personnages. Donc au fur et a mesure que l’on avance dans les tableaux, les personnages finiront en petite tenue… Le tout n’est pas bien difficile et se finit à 100 % en une petite heure.

Le troisième jeu, si je peux appeler ça un « jeu », est Yuki no 365 nichi. Il s’agit simplement d’un petit bonus où l’on peut regarder Yuki assise en train de lire soit chez elle, soit dans la salle du club de la brigade SOS. Elle se contente de dire l’heure qu’il est, avec la possibilité de décorer sa chambre avec divers objets. Si jamais c’est l’anniversaire du joueur, elle le lui souhaitera également. Bref, un gadget assez inutile.

 Au final…

… ce jeu s’adresse bien entendu aux amateurs du monde de Suzumiya Haruhi, mais est uniquement destiné à ceux qui ont aimé le film et qui voudraient prolonger l’expérience en explorant un peu plus ce monde alternatif qui y est représenté même si l’univers n’est pas exactement le même. A l’image du film, tout tourne autour de Yuki sans pour autant qu’elle en soit le point central, n’étant elle-même pas si présente que ça, et le personnage principal reste bien Kyon. Le scénario du jeu en lui-même est intéressant, avec une rejouabilité assez élevée, bien que globalement j’ai une toute petite préférence pour Suzumiya Haruhi no Tomadoi sur PS2. Les deux sont toutefois d’un genre un peu différent et Tomadoi était plus un gros délire parodiant de nombreux styles de jeu.

Suzumiya Haruhi no Tsuisou n’est cependant pas dénué de reproches : outre le fait que je l’ai trouvé finalement assez court, l’ayant terminé en obtenant les 21 fins en une quinzaine d’heures, je déplore surtout le fait qu’il n’yait visiblement pas de différences au niveau des graphismes avec la version PSP. Je n’ai pas joué à cette dernière, mais au vu des quelques trailers et autres screenshots (les images de cet article proviennent de la version PSP), je ne vois absolument aucune différence avec la version PS3. On aurait dit que le jeu était vraiment prévu uniquement pour la PSP au départ, et Bandai aurait pour je ne sais pour quelle raison décidé de le porter sur PS3… C’est assez dommage, mais heureusement que le jeu est du type « visual novel », donc cela ne dérange pas trop.

Pour finir, la version collector est surtout dédiée aux fans de Yuki, avec à l’intérieur des pochettes transparentes à l’effigie de Yuki et Haruhi, un livre intitulé Games Archives qui présente les différentes incursions de Suzumiya Haruhi dans le domaine du jeu vidéo, une pochette cartonnée aux couleurs de la brigade SOS, des posters en 3D de Haruhi, Mikuru et Yuki avec des lunettes fournies avec pour les voir en relief, et enfin des cartes pour télécharger des thèmes gratuitement sur le Playstation Network. A noter pour finir que la jaquette du jeu est réversible, avec d’un côté Yuki portant des lunettes et de l’autre sans, sachant qu’il s’agit de la même illustration.

 

11 commentaires

  1. Entre ce jeu et le manga Nagato Yuki no Yûutsu, la Kadokawa met le paquet sur les spin-off fausses suites au film et ne manque pas une occasion de caser la Nagato qui rougit et sourit (et la Asahina qui a encore plus de gros seins). Mais ça fait quand même sacrément fanfiction officielle ce truc tant ça brode de partout et que ça recycle des idées déjà vues.
    En tout cas je suis pas assez fan pour DL l’iso PSP et essayer de comprendre ce que je peux dans le japonais du jeu (il est complètement doublé ?).

  2. Je dois normalement le recevoir dans quelques jours, j’espère que je vais m’en sortir avec le japonais.

  3. Galaf > c’est-à-dire ? xD

    Tetho > le jeu est clairement un キャラゲー qui surfe sur le succès du film de la Disparition (et la version moeblob de Yuki), et il ne s’en cache vraiment pas. Mais le résultat est tout de même honorable pour un titre à licence, même si comme tu le dis ça tourne vraiment à la fanfiction officielle.
    Et pour les dialogues, tout est complètement doublé.

    Klonoa > bon jeu à toi !

  4. N’étant pas fan de la licence Haruhi je n’ai pas entièrement lu ton article mais merci tout de même pour ce test qui me semble particulièrement exhaustif.

    Autrement aura-t-on droit à une petite review de Pandora no Tou ? J’ai vu sur ton twitter que le jeu t’intéressait, mais il serait peut-être sage d’attendre les premiers retours : je reste personnellement interpelé mais méfiant.

  5. Note aux brigadistes qui pourraient se balader par ici :

    Pensez à demander à Exelen son autorisation de mettre cet article dans Yuki, sous la forme de son choix.

    Sinon je suis globalement du même avis que Tetho sur ce coup. Le monde de la Disparition à toutes les sauces c’est gentil mais c’est aussi usant qu’incohérent.

  6. GregN8 > Merci !
    Idem pour Pandora no Tou, j’hésite encore car j’ai peur d’être déçue. mais qui sait, peut-être que je craquerai et que j’achèterai le jeu demain. Je verrai… Et si c’est le cas, il aura probablement lui aussi droit à une review. :-)

    Kabu > C’est sûr qu’on risque de friser l’overdose avec tous ces recyclages de la Disparition à tout va, et je ne crois pas que Kadokawa & co se préoccupent vraiment des incohérences que ça apporte à la série. Comme dit plus haut, il vaut mieux prendre ce jeu comme une fanfic officielle.

  7. Merci à toi pour cet article ayant une psp j’hésitais un peu à l’acheter mais sa ma l’air de valoir largement le coup !!!

  8. Je suis en train de regarder certains des bonus de la box du jeu et j’adore… God Knows en version CG, que du bonheur ! <3

Répondre à kantouAnnuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *